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Le petit Masanori est conduit par son oncle chez le Père O’Brian. Sa mère est décédée, quant à son père… C’est un soldat américain qui les a abandonnés... L’oncle estime que ce métis n’a pas sa place au Japon. En a-t-il une pour autant aux Etats-Unis ?
New York. De nos jours.
John Masanori est devenu un homme costaud qui sait y faire… en matière d’assassinats. Il est devenu tueur à gages… Il a rendez-vous avec un certain Zimmerman. Celui-ci lui apprend qu’il n’a plus que six mois à vivre. Est-il devin ? Un peu. Il est oncologue et les derniers examens ne laissent aucun doute : son cancer du colon est à un stade trop avancé. John n’a plus qu’une envie…
Critique :
Le scénario de Koeniger est du genre classique pour un polar. Un métis qui doit se faire sa place, qui pour cela n’hésite pas à se bagarrer, au point qu’il devient un tueur patenté. Ses dernières volontés ? Retourner là où il était né, au pays du Bushido.
Cela dézingue à-tout-va dans le meilleur des mondes mafieux. Notre héros refuse à la dernière minute d’accomplir sa dernière « commande » pour ne pas violer ses « valeurs morales ». Du coup, il y a plein de méchants qui lui en veulent tout plein au point de souhaiter sa mort ! Si ! Si ! Ils sont souvent comme ça les méchants. Il faut dire qu’en refusant d’abattre sa dernière cible, il place un méchant dans une position très difficile qui pourrait lui valoir au minimum la prison à vie, et sans doute parce qu’il est aussi contribuable, il ne souhaite pas que les sous de l’état soient dépensés pour l’héberger. J’édulcore à peine.
Le dessin est très dynamique sans être fabuleux (un peu trop « comic » à mon goût). Je trouve plutôt réussie la mise en couleur d’Oscar Escamilla. Certains la trouveront sans doute tapageuse, mais nous sommes dans le milieu de la Mafia où les critères de bon goût diffèrent quelque peu de celui des du Beaugenre de la Clef des Champs de Mine de Patatras, vieille famille traditionnelle qui a su préserver la bienséance et le bon goût à la française.
Un polar mélant mafia sicilienne et yakusas.
RIen de très neuf coté scénario mais un ensemble cohérent qui rend agréable la lecture de cet album.
Des dessins corrects sans être excellents.
Attendons la suite avec impatience.
7/10.
Japon. 1955.
Le petit Masanori est conduit par son oncle chez le Père O’Brian. Sa mère est décédée, quant à son père… C’est un soldat américain qui les a abandonnés... L’oncle estime que ce métis n’a pas sa place au Japon. En a-t-il une pour autant aux Etats-Unis ?
New York. De nos jours.
John Masanori est devenu un homme costaud qui sait y faire… en matière d’assassinats. Il est devenu tueur à gages… Il a rendez-vous avec un certain Zimmerman. Celui-ci lui apprend qu’il n’a plus que six mois à vivre. Est-il devin ? Un peu. Il est oncologue et les derniers examens ne laissent aucun doute : son cancer du colon est à un stade trop avancé. John n’a plus qu’une envie…
Critique :
Le scénario de Koeniger est du genre classique pour un polar. Un métis qui doit se faire sa place, qui pour cela n’hésite pas à se bagarrer, au point qu’il devient un tueur patenté. Ses dernières volontés ? Retourner là où il était né, au pays du Bushido.
Cela dézingue à-tout-va dans le meilleur des mondes mafieux. Notre héros refuse à la dernière minute d’accomplir sa dernière « commande » pour ne pas violer ses « valeurs morales ». Du coup, il y a plein de méchants qui lui en veulent tout plein au point de souhaiter sa mort ! Si ! Si ! Ils sont souvent comme ça les méchants. Il faut dire qu’en refusant d’abattre sa dernière cible, il place un méchant dans une position très difficile qui pourrait lui valoir au minimum la prison à vie, et sans doute parce qu’il est aussi contribuable, il ne souhaite pas que les sous de l’état soient dépensés pour l’héberger. J’édulcore à peine.
Le dessin est très dynamique sans être fabuleux (un peu trop « comic » à mon goût). Je trouve plutôt réussie la mise en couleur d’Oscar Escamilla. Certains la trouveront sans doute tapageuse, mais nous sommes dans le milieu de la Mafia où les critères de bon goût diffèrent quelque peu de celui des du Beaugenre de la Clef des Champs de Mine de Patatras, vieille famille traditionnelle qui a su préserver la bienséance et le bon goût à la française.
Un bon défoulement.
Un polar mélant mafia sicilienne et yakusas.
RIen de très neuf coté scénario mais un ensemble cohérent qui rend agréable la lecture de cet album.
Des dessins corrects sans être excellents.
Attendons la suite avec impatience.
7/10.