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J'avoue avoir gardé un petit faible pour les "carnets de voyage" comme ceux de Renaud De Heyn ("La Tentation") ou encore ceux de Guy Delisle . Simon Hureau continue ici le récit de ses aventures asiatiques. Nous l' avions quitté en mauvaise posture au Cambodge, et très affecté par le vol de son carnet de croquis.
Dans ce second opus, le ton est plus tragique, moins frivole, je trouve, au moins pendant les 2/3 du livre (d'ailleurs l'épisode du chien, viande de fête, nous refroidit quelque peu). On sent le héros paumé sans son carnet de croquis, il n'a même plus rien à lire ! Confronté à la faim, au mal de ventre récurrent, aux indigènes (non dans un sens péjoratif) et à la corruption, on a pitié de lui.
Heureusement que les tracasseries administratives sont là pour apporter la grande dose d'humour qui était absente au début de l'album.
Entre les tentations de terroriste de Simon Hureau et ses gaffes (ah, l'épisode désopilant du post-it, et celui du général), rien est épargné au lecteur qui retrouve ici le héros nonchalant et cocasse du premier volume.
Dommage que les éditions Ego comme X n'aient pas gardé la même qualité de papier pour le tome 2. Au papier glacé blanc, succède un papier plus jaune qui met beaucoup moins en valeur le dessin de Simon Hureau.
Un ouvrage réussi, réaliste et souvent drôle que je recommande vivement.
Récit tronqué d'un séjour de vrai routard au Cambodge : l'auteur se concentre sur une période précise, celle où il erre (d'une errance douloureuse du fait de la maladie qui le poursuit, mais faite de découvertes et de routes) en attente d'un visa de retour, après s'être fait voler ses papiers.
Bonne maîtrise du récit, même si la fin est un peu courte. L'évocation du pays est sans complaisance.
J'avoue avoir gardé un petit faible pour les "carnets de voyage" comme ceux de Renaud De Heyn ("La Tentation") ou encore ceux de Guy Delisle . Simon Hureau continue ici le récit de ses aventures asiatiques. Nous l' avions quitté en mauvaise posture au Cambodge, et très affecté par le vol de son carnet de croquis.
Dans ce second opus, le ton est plus tragique, moins frivole, je trouve, au moins pendant les 2/3 du livre (d'ailleurs l'épisode du chien, viande de fête, nous refroidit quelque peu). On sent le héros paumé sans son carnet de croquis, il n'a même plus rien à lire ! Confronté à la faim, au mal de ventre récurrent, aux indigènes (non dans un sens péjoratif) et à la corruption, on a pitié de lui.
Heureusement que les tracasseries administratives sont là pour apporter la grande dose d'humour qui était absente au début de l'album.
Entre les tentations de terroriste de Simon Hureau et ses gaffes (ah, l'épisode désopilant du post-it, et celui du général), rien est épargné au lecteur qui retrouve ici le héros nonchalant et cocasse du premier volume.
Dommage que les éditions Ego comme X n'aient pas gardé la même qualité de papier pour le tome 2. Au papier glacé blanc, succède un papier plus jaune qui met beaucoup moins en valeur le dessin de Simon Hureau.
Un ouvrage réussi, réaliste et souvent drôle que je recommande vivement.
Récit tronqué d'un séjour de vrai routard au Cambodge : l'auteur se concentre sur une période précise, celle où il erre (d'une errance douloureuse du fait de la maladie qui le poursuit, mais faite de découvertes et de routes) en attente d'un visa de retour, après s'être fait voler ses papiers.
Bonne maîtrise du récit, même si la fin est un peu courte. L'évocation du pays est sans complaisance.