Buck Danny
35. L'escadrille de la mort
Une BD de
Jean-Michel Charlier
et
Victor Hubinon
chez Dupuis
- 1968
Charlier, Jean-Michel
(Scénario)
Hubinon, Victor
(Dessin)
Pascal, Claude
(Dessin)
<Quadrichromie>
(Couleurs)
01/1968 44 pages 2800100729 Format normal 30 à 50 euros 44486
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Tome 1 -
Tome 2 -
Tome 3 -
Tome 4 -
Tome 5 -
Tome 6 -
Tome 7 -
Tome 8 -
Tome 9 -
Tome 10 -
Tome 11 -
Tome 12 -
Tome 13 -
Tome 14 -
Tome 15 -
Tome 16 -
Tome 17 -
Tome 18 -
Tome 19 -
Tome 20 -
Tome 21 -
Tome 22 -
Tome 23 -
Tome 24 -
Tome 25 -
Tome 26 -
Tome 27 -
Tome 28 -
Tome 29 -
Tome 30 -
Tome 31 -
Tome 32 -
Tome 33 -
Tome 34 -
Tome 35 -
Tome 36 -
Tome 37 -
Tome 38 -
Tome 39 -
Tome 40 -
Tome 41 -
Tome 42 -
Tome 43 -
Tome 44 -
Tome 45 -
Tome 46 -
Tome 47 -
Tome 48 -
Tome 49 -
Tome 50 -
Tome 51 -
Tome 52 -
Tome 53 -
Tome 54 -
Tome 55 -
Tome 56 -
Tome 57 -
Tome 58 -
Tome 59 -
Tome 60 -
HS1A -
HS2 -
INTTL
Second et dernier volet de ces aventures atomiques.
Ainsi donc dans le premier volume (excellent), nous avons appris qu'une bombe atomique tactique s'est perdue dans le Mantegua (pays fictif d'Amérique du Sud) proche de la mer des Antilles. Or ce pays est en pleine guerre civile. Bien évidemment ce sont les rebelles qui ont mis la main sur le joujou et ils comptent s'en servir contre le repaire de leurs ennemis.
Après bien des aventures Buck et ses complices de toujours vont se faire embaucher par la guérilla comme pilotes.
Le deuxième album débute avec la volonté farouche de Buck de piloter l'avion qui transportera la bombe pour mieux l'escamoter. Compte tenu du danger une prime de 500.000 $ est offerte à l'équipage "nucléaire".
Du coup, les autres équipages de la guérilla vont tenter de savonner la planche de Buck. Et d'autres avanies arrivent à nos héros qui auront fort à faire.
Cela dit l'album est vraiment superbe et sans temps morts. On notera tout de même un point fort désagréable. Hubinon, malade, a laissé sa place à Jean-Claude Pascal pour une dizaine de planches. Sans vouloir incriminer ce dessinateur (qui sera utilisé à plusieurs reprises dont notamment dans Barbe-Rouge), son style n'a quasiment rien à voir avec celui d'Hubinon. Pire encore, il est assez fade. Quand un Jije ou un Paape reprend au vol les séries d'Hubinon on a droit à "quelque chose". Pas là !
C'est dommage et cela montre aussi que pour Dupuis quoiqu'il arrivât, il fallait que "the show must go on".