La boîte à musique
1. Bienvenue à Pandorient
Une BD de Carbone et Gijé chez Dupuis - 2018
01/2018 (26 janvier 2018) 54 pages 9782800173191 Format normal 315788
Pour son huitième anniversaire, Nola, petite fille espiègle, reçoit de la part de son père Martin la boîte à musique de sa mère, Annah, récemment décédée. Cette boîte est un symbole pour la petite fille, mais très vite, la fillette croit voir des signes de vie à l'intérieur. Oui, elle ne rêve pas : quelqu'un lui fait signe et lui demande de l'aide. Dès lors, en suivant les instructions d'Andréa, la fille de la boîte à musique, Nola rapetisse, entre dans la boîte et découvre le monde de Pandorient, un monde incroyable... Le temps presse cependant,... Lire la suite
C'est toujours un peu triste de lire une bd qui s'adresse à la jeunesse et qui concerne la perte d'une maman. Notre héroïne Nola (8 ans) se réfugie alors dans un monde imaginaire à savoir Pandorient qui est aussi merveilleux que dangereux à l'aide d'une boîte à musique boule de neige. En filigrane, le thème sera celui du deuil d'un être cher.
Bien entendu, c'est mâtinée d'un univers assez féerique que souligne d'ailleurs également le graphisme et les couleurs harmonieuses et engageantes. Il y a une certaine ambiance assez sympathique.
C'est un premier tome assez introductif où il ne se passera pas véritablement grand chose. Il faudra lire la suite pour se faire une idée un peu plus précise.
Pas facile pour Nola. Elle a perdu sa maman. Son papa s’en occupe du mieux qu’il peut. Justement, c’est l’anniversaire de sa fille. Il lui offre un cadeau extrêmement précieux : la boite à musique qui a appartenu à sa maman. Une jolie boîte à musique ? Rien que cela ? Vraiment ?
Critique :
L’univers magique de « La boîte à musique » est chargé d’émotions. Des émotions d’un genre qui en général ne plaît pas aux enfants : affronter la mort d’un des parents. Ici, le décès de la maman de notre héroïne, Nola.
Un cadeau, une boîte à musique, sera la clé qui va transporter Nola dans un autre univers bien différent du nôtre.
Les dessins et la mise en couleurs sont magnifiques et très contemporains. Mais qu’en est-il du scénario ? On peut l’aborder sous différents angles : d’abord, évidemment, le décès d’un parent, mais il est aussi question des méfaits de la drogue (et de l’overdose) ; des interdits (Pandorient a à sa tête un souverain qui promulgue beaucoup de lois contenant beaucoup d’interdictions, par exemple, on ne peut aimer qui on veut) ; un monde parfait n’existe pas (malgré son côté féérique, à Pandorient les problèmes ne manquent pas) ; l’importance d’une eau de qualité (absolument vitale pour les êtres vivants)…
Le livre devrait être à la portée d’enfants à partir de huit ans.
Petit plus, la magnifique couverture en relief !
Bon.
C’est mignonnet.
Les dessins ne sont pas mauvais mais souffrent d’un huis clos prononcé, de cadrage plutôt serré et frustrent un peu : on nous explique qu’il existe un monde de ouf et on reste coincé dans une chambre ou un grenier… Dommage.
L’histoire se suit mais reste, de son côté, assez simpliste.
Et au final, quand on a terminé l’ouvrage, on reste un peu sur sa faim…
Un dessin merveilleux, des couleurs vraiment sublimes, une histoire magique et poétique qui commence en douceur.... ce tome n'est que le début d'une belle aventure à Pandorient.
Ce premier tome nous plonge directement dans l'univers de Pandorient, nous restons sur notre faim avec beaucoup de questions à l'esprit... vivement le prochain ! Une série qui va marquer les esprits.