Blueberry (La Jeunesse de)
17. Le sentier des larmes
Une BD de François Corteggiani et Michel Blanc-Dumont chez Dargaud - 2008
11/2008 46 pages 9782205058444 Format normal 79622
Lors de la bataille de la Cumberland River, un civil accompagnant des Nordistes a été capturé par un groupe de Cherokees. Et seul cet homme connaît l’emplacement d’un train dans lequel se trouve un coffre-fort –ainsi que sa combinaison- dans lequel est contenu une énorme somme en or. L’or résulte d’un envoi de la banque Rothschild aux Nordistes ET Sudistes pour aider « à l’effort de guerre ». La banque est gagnante car, quelle que soit l’issue du conflit, elle en tirera de très gros intérêts « participatifs ». Grosse panique dans les deux camps.... Lire la suite
bof. dessins limites caricaturaux. scénario quasi indigent. on est très loin des origines qualitatives de Blueberry, ce qui va être confirmé dans les albums suivants. mais où est passé le héro au caractère bien trempé? qui est-il devenu entre les nordistes et les sudistes avec l'agence Pinkerton au milieu. On finit par s'y perdre. Cela sent hélas déjà la fin de règne et la commande nécessaire.
Suite et fin du "cycle rothschildien", un doublet de peu de valeur, ce qui est cocasse quant au nom de la banque avec lequel il est associé.
Pour agrémenter la sauce et le suspens, nos héros doivent passer au Canada et franchir un pont gardé de tous côtés.
Le thème fera penser à celui de la Planète des Singes version Tim Burton.
A l'arrivée le résultat est le même : un manque d'intérêt total !
Avouez qu'une histoire de trésor sans intérêt est le drame ultime pour un banquier !
Blueberry suit la troupe d'indien poursuivi par l'agent de Pinkerton à la recherche de l'or de la banque Rothschild destiné aux deux camps.
Histoire curieuse où on ne sait plus trop qui est de quel côté et où Blueberry semble plus subir qu'agir, limite looser, d'ailleurs il rate toutes ses cibles et n'arrête pas de se faire assommer. On retrouve presque le héros de Dust, désabusé et ne sachant plus que pernser.
J'aime beaucoup le dessin de Blanc-Dumont, sauf pour les scènes d'action et de combat qui donnent l'impression d'être mal mise en scène.
Au total, un album qui laisse une impression mitigée, mais à lire car respectant le mythe Blueberry.
Suite de 100 dollards pour mourir, cette fois, le lieutenand Blueberry, acompagné du sergent Grayson et d'une troupe de cheerokee, sont sur le point d'intercepter un train transportant de l'or, dont il s'ervirait pour la cause des indiens.
Mais en meme temps, la Pinkerton a chargé un homme de récupérer cet or à leur place.
Cette suite est resté au meme niveau que le précédent, ni mieux, ni moin bon.