Blueberry (La Jeunesse de)
16. 100 dollars pour mourir
Une BD de François Corteggiani et Michel Blanc-Dumont chez Dargaud - 2007
09/2007 46 pages 9782205056594 Format normal 66250
Des soldats sudistes attaquent des soldats nordistes. L'homme que les nordistes accompagnait s'enfuit à cheval, mais un Amérindien le fait tomber de cheval alors que les balles sifflent autour d'eux et que les hommes se battent au corps à corps6. Quelques heures plus tard, un contingent nordiste passe près du champ de bataille, et Blueberry ordonne que les morts soient enterrés. Un soldat sudiste d'origine amérindienne revient brusquement à lui et s'enfuit à cheval7. Le sergent Grayson le prend en chasse, suivi de Blueberry.....
stop de toute urgence au pilon quand ont voit ce que blanc dumont faisait avec cartland écrit par harlé, ont se demande comment il a pus en venir la damned!
Ce nouvel album de la série m'a un peu déçut, au tant jusqu'à l'avant dernier, les histoires étaient bien ficelées quoi qu'en disent certains en revanche dans ce dernier, l'histoire est moins interressante, meme si elle se lit.
Le dessin reste quant à lui correct.
J'espère que le second volet du dyptique seras mieux.
Une histoire assez vaseuse de versement d'or destiné pour moitié aux Sudistes et pour l'autre moitié au Nordistes. La banque Rotschild qui fait ce double prêt joue donc sur les deux tableaux et pour mieux maquiller cette opération passe dans un cas par sa succursale de Paris et dans l'autre cas par celle de Londres. Les deux gouvernements ennemis ont bien sûr l'impression d'être trahis mais comme ils ont besoin d'argent...
Evidemment de vilains rapaces veulent mettre la main sur ce paquet d'oseille. Du coup bleus et gris envisagent de travailler ensemble.
Se lit sans conviction, ni grand intérêt, et dans une affaire de prêt cela fait désordre !
Début d'une nouvelle quête, cette fois il s'agit de sauver l'or destiné à financer la guerre convoité par des francs-tireurs indiens.
Le scénario n'est pas d'une folle originalité, mais les dessins sont toujours parfaits.
Il faut attendre la suite pour juger définitivement de la qualité de ce nouveau cycle.