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Richard Blass est un criminel notoire des années 60-70 au Québec. De nombreux meurtres, 3 évasions de prison, il a survécu à plusieurs fusillades... d’où son surnom, le Chat. Il a aussi brièvement rencontré Mesrine en prison.
Tout le matériel existait pour en faire une excellente histoire, mais cette BD est très mauvaise. Il n’y aucun développement, on retrouve plutôt ce qui semble être une série d'articles de journaux dessinés. On passe constamment d’une date à l’autre sans transition, et on avance à travers la vie de Blass sans explication, sans histoire, on fait juste suivre ses méfaits et ses discussions banales sans qu’on présente vraiment qui il était. Au lieu de raconter une histoire, l'auteur se contente de présenter des dates les unes après les autres. Le dessin est également fade, brouillon, statique, et franchement plutôt laid. Les onomatopées qui se superposent au dessin sont affreuses.
L’album est écrit en français québécois d’un bout à l’autre, ce qui est bien, malgré certains choix qui laissent perplexe. Pourquoi écrire « peanuts » à l’anglaise et non « pinottes » ou encore « piastre » alors que le mot est toujours prononcé « piasse »? Tous les autres mots québécois sont écrits comme ils sont prononcés. Surtout, on a deux gangsters à un moment donné qui sortent dans une ruelle et crient « Où il est? ». Cette formulation est très française de France. Au Québec, on dit plutôt « Il est où? », souvent prononcé « Y’é où? ». Étrange...
Ultimement, une autre BD québécoise sans intérêt au scénario mal développé et aux dessins inesthétiques. La partie la plus intéressante du livre est la préface de Claude Poirier, un journaliste qui a suivi la carrière de Blass et qui l’a déjà rencontré.
Richard Blass est un criminel notoire des années 60-70 au Québec. De nombreux meurtres, 3 évasions de prison, il a survécu à plusieurs fusillades... d’où son surnom, le Chat. Il a aussi brièvement rencontré Mesrine en prison.
Tout le matériel existait pour en faire une excellente histoire, mais cette BD est très mauvaise. Il n’y aucun développement, on retrouve plutôt ce qui semble être une série d'articles de journaux dessinés. On passe constamment d’une date à l’autre sans transition, et on avance à travers la vie de Blass sans explication, sans histoire, on fait juste suivre ses méfaits et ses discussions banales sans qu’on présente vraiment qui il était. Au lieu de raconter une histoire, l'auteur se contente de présenter des dates les unes après les autres. Le dessin est également fade, brouillon, statique, et franchement plutôt laid. Les onomatopées qui se superposent au dessin sont affreuses.
L’album est écrit en français québécois d’un bout à l’autre, ce qui est bien, malgré certains choix qui laissent perplexe. Pourquoi écrire « peanuts » à l’anglaise et non « pinottes » ou encore « piastre » alors que le mot est toujours prononcé « piasse »? Tous les autres mots québécois sont écrits comme ils sont prononcés. Surtout, on a deux gangsters à un moment donné qui sortent dans une ruelle et crient « Où il est? ». Cette formulation est très française de France. Au Québec, on dit plutôt « Il est où? », souvent prononcé « Y’é où? ». Étrange...
Ultimement, une autre BD québécoise sans intérêt au scénario mal développé et aux dessins inesthétiques. La partie la plus intéressante du livre est la préface de Claude Poirier, un journaliste qui a suivi la carrière de Blass et qui l’a déjà rencontré.