Blake et Mortimer (Les Aventures de)
3. Le secret de l'Espadon - Tome 3
Une BD de
Edgar Pierre Jacobs
chez Blake et Mortimer
- 1986
Jacobs, Edgar Pierre
(Scénario)
Jacobs, Edgar Pierre
(Dessin)
Biermé, Philippe
(Couleurs)
Daniels, Luce
(Couleurs)
Maes, Dominique
(Lettrage)
01/1986 (01 janvier 1953) 48 pages 2870970056 Grand format 7654
La capture de Mortimer, dans les falaises du Makran, n'est qu'un demi-succès pour Olrik. En effet, le professeur voyant venir l'inéluctabilité de sa capture, et ce malgré un combat acharné, a réussi à dissimuler les plans. Le colonel Olrik est alors mis au pied du mur, sommé par Lhassa d'obtenir du savant qu'il révèle tout ce qu'il sait de l'espadon, par n'importe quel moyen. Mortimer est donc soumis à la question. Comme il résiste bravement et refuse de parler, il commence à s'affaiblir dangereusement. Un interrogatoire trop poussé risque de le... Lire la suite
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Tome 1 -
Tome 2 -
Tome 3 -
Tome 4 -
Tome 5 -
Tome 6 -
Tome 7 -
Tome 8 -
Tome 9 -
Tome 10 -
Tome 11 -
Tome 12 -
Tome 13 -
Tome 14 -
Tome 15 -
Tome 16 -
Tome 17 -
Tome 18 -
Tome 19 -
Tome 20 -
Tome 21 -
Tome 22 -
Tome 23 -
Tome 24 -
Tome 25 -
Tome 26 -
Tome 27 -
Tome 28 -
Tome 29 -
Tome 30 -
HS1 -
HS2 -
HS3 -
HS3 SupHC -
HS4 -
HS5 -
INT -
INT1 -
INT2 -
INT4TT -
INT5 TL1 -
INT6 -
INT6a -
INT7 TT
Karachi.
Un train de déportés embarque intellectuels et techniciens à destination des terribles camps de concentration de l'Himalaya.
Parmi les détenus, l'espoir renaît. L'un d'eux raconte la fantastique évasion du professeur Mortimer, d'abord par hélicoptère, ensuite par sous-marin. Tout d'un coup, la porte s'ouvre et un prisonnier est jeté à l'intérieur du wagon à coups de crosses. Donald Bell raconte sa capture, lorsqu'un prisonnier découvre un levier de fer dissimulé sous la paille. Voilà qui pourrait s'avérer bien utile pour pratiquer une évasion…
Critique :
Voici l'apothéose de cette aventure extraordinaire, rien moins qu'une Troisième Guerre mondiale… au sortir de la Seconde !
Ce volume, très riche en actions, surtout avec la bataille finale, voit le colonel Olrik vouloir s'emparer des secrets de l'Espadon pour son propre compte, alors même que son étoile pâlit de plus en plus suite à l'évasion de Mortimer. L'empereur apprenant que son cher colonel envisageait de faire cavalier seul une fois en possession de ces secrets décide de lui offrir un joli voyage…
La finale est digne des plus grands films hollywoodiens. Graphisme, mouvement, tout y est pour parfaire le chef-d'oeuvre de Jacobs.
Quand on voit à quel point les albums de Blake et Mortimer foisonnent d'inventions, on peut comprendre qu'Edgar Pierre Jacobs n'en ait pas écrit des masses (une dizaine). Heureusement, contrairement à Hergé, il a permis de poursuivre l'existence de ses personnages après sa mort.
Karachi.
Un train de déportés embarque intellectuels et techniciens à destination des terribles camps de concentration de l'Himalaya.
Parmi les détenus, l'espoir renaît. L'un d'eux raconte la fantastique évasion du professeur Mortimer, d'abord par hélicoptère, ensuite par sous-marin. Tout d'un coup, la porte s'ouvre et un prisonnier est jeté à l'intérieur du wagon à coups de crosses. Donald Bell raconte sa capture, lorsqu'un prisonnier découvre un levier de fer dissimulé sous la paille. Voilà qui pourrait s'avérer bien utile pour pratiquer une évasion…
Critique :
Voici l'apothéose de cette aventure extraordinaire, rien moins qu'une Troisième Guerre mondiale… au sortir de la Seconde !
Ce volume, très riche en actions, surtout avec la bataille finale, voit le colonel Olrik vouloir s'emparer des secrets de l'Espadon pour son propre compte, alors même que son étoile pâlit de plus en plus suite à l'évasion de Mortimer. L'empereur apprenant que son cher colonel envisageait de faire cavalier seul une fois en possession de ces secrets décide de lui offrir un joli voyage…
La finale est digne des plus grands films hollywoodiens. Graphisme, mouvement, tout y est pour parfaire le chef-d'oeuvre de Jacobs.
Quand on voit à quel point les albums de Blake et Mortimer foisonnent d'inventions, on peut comprendre qu'Edgar Pierre Jacobs n'en ait pas écrit des masses (une dizaine). Heureusement, contrairement à Hergé, il a permis de poursuivre l'existence de ses personnages après sa mort.
Ce tome 3 clôt en beauté cette première aventure de BLAKE ET MORTIMER. L'incursion d'Olrik dans la base secrète de nos héros est géniale, et Jacobs s'en donne à coeur joie pour nous décrire celle-ci. Alors que les deux premiers tomes étaient assez réalistes, le côté science-fiction (qui sera l'une des clés du succès de la série) se met en place dans ce troisième volume : on découvre ainsi nombre d'engins scientifiques et de machines improbables, que l'auteur a pris soin de crédibiliser par des explications à rallonge plutôt bien trouvées.
Une histoire qui se termine en apothéose, des scènes spectaculaires, un dessin mieux maîtrisé et un très bon sens de la mise en scène caractérisent ce dernier volume du SECRET DE L'ESPADON.
Avis pour les 3 tomes du "secret de l'espadon"
Du bon, du très très bon !
Ok, l’intrigue est relativement simple mais by jove, que c’est efficace et jouissif !
Le « secret de l’espadon » est une pure merveille du 9ème art !
Jacobs, à la manière d’un enfant jouant aux petits soldats nous décrit avec brio, intelligence, actions et suspense, les combats d’une troisième guerre mondiale entre le camp de nos héros et une puissance chinoise dirigée par Olrik (l’ennemi sans scrupules).
Il y a beaucoup de scènes mémorables à travers cette trilogie (la lutte de fin, les couloirs de la base secrète, la cavale dans le désert, la captivité de Mortimer, le mystère et la puissance de l’espadon,…) , grâce aux descriptifs très détaillés de l’auteur qui immerge le lecteur dans l’ambiance et surtout beaucoup d’actions qui maintiennent l’intérêt de lecture jusqu’au bout.
Quelle excitation à la fin du tome 3, un vrai plaisir !
Bref, ça se savoure au même titre qu’un bon film de guerre à l’américaine.
Un S.Spielberg devrait nous adapter ça à l’écran ! J’en rêve !
Sincèrement je ne suis pas arrivé à finir ce tome et je l'ai donc lu entre les lignes, un peu comme ces classiques de la littérature française que l'on m'obligeait à lire au lycée.
Ce n'est donc pas l'extase ni coté scénario ni coté dessins.
Passons au plus vite à l'aventure suivante.
3/10.