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Quel scénario exceptionnel servi par un beau dessin efficace !
J'ai acheté l'intégrale sans connaître et je n'ai pu la lâcher. J'étais dans une série noire où espionnage, conscience, roublardise règnent en maître. Les retours dans le passé sont gérés de main de maître. Je recommande réellement car c'est de la grande BD
Pour apprécier vraiment la "mini-série" du 1er cycle, il faut lire les 6 albums d'une traite.
Elle fait du bien aux yeux et au cerveau, le métier d'espion (de barbouze, plutôt) est rendu crédible même si une série tv comme "homeland" l'a déjà un peu ringardisée.
Le dessin est très réussi, et je suis content pour Labiano qui a longtemps cherché le succès.
Mais la (re)lecture, quelques années après, me laisse un peu mitigé dans l'ensemble :
- j'ai décroché une 1ère fois, à cause d'une incongruité scénaristique :
Floyd, barbouze CIA, fait le tour du monde, va dans des pays où la misère est terrible, vit un déchirement (ne pas pouvoir sauver Lovna jeune) dès ses 1ères missions.
Mais c'est en rencontrant, des années après, un type pêté de thunes, issu d'une famille autrefois pêtée de thunes et (partiellement ?) spoliée par les nazis et qui veut racheter un tableau, qu'il se découvre une conscience ????
J'ai oublié de préciser que le type pêté de thunes est juif, et visiblement, ça compte beaucoup plus que tous les miséreux indiens, pakistanais, ou autres que Floyd croise dans son existence...
- L'histoire repose sur un complot, ou plutôt une opération d'envergure géopolitique (alliance mafia russe et gouvernements US contre URSS), dont on a peine à croire, car elle s'étend sur plusieurs générations. Aucun des présidents US qui se sont succédés n'a eu d'état d'âme ???
Et c'est d'ailleurs ce qui me gène le plus : quand la violence se déchaine, surtout vers la fin, le président des USA et tous ses services de renseignement sont totalement absents de l'histoire.
Tout est contrôlé par le vice-président qui, dans la réalité, n'a aucun pouvoir et est fantoche.
(qui peut citer, sans chercher sur gogole, le nom de l'actuel vice-président ? Il est pourtant là depuis 8 ans...)
L'histoire ne tient pas dans la durée.
- Le rôle exact de Lovna, je ne l'ai jamais compris.
Elle apparait, disparait, réapparait au gré de l'histoire, sans que rien ne soit vraiment expliqué.
Elle trahi quand ça arrange le scénariste, semble-t-il, mais sans que cela ne soit vraiment expliqué dans le scénario.
Je m'attendais aussi à ce que la femme de Trent, femme malheureuse, ait un rôle plus explicite ; au final, son personnage est sous-exploité, et c'est dommage.
Elle est surtout là pour servir la soupe à la grimace, mais à part ça...
Bref, une série ambitieuse dans son scénario, ce qu'il faut encourager, mais au résultat mitigé car l'histoire ne tient pas.
Pas si mal, mais pas parfait.
La "2ème saison" est un peu abusivement appelée ainsi, car elle ne comporte que 2 "épisodes", et n'est pas la suite de la "1ère saison".
Il s'agit d'une autre histoire, se déroulant cette fois sur quelques jours.
L'enquête est d'une facilité déconcertante, toutes les personnes impliquées, censées garder le silence, n'arrêtent pas de parler.
Même enrobée de violence et de sexe cru (pas montré à l'image, mais suggéré), cette histoire est surtout le prétexte d'une romance à l'eau de rose.
Le dessin est toujours le point fort de cet album, et j'espère que Fabiano retrouvera un projet fort, long et ambitieux, à la mesure de son talent.
Dommage que "Black Op" se termine ainsi, car malgré tous ses défauts, c'était une série plaisante à lire.
Quel scénario exceptionnel servi par un beau dessin efficace !
J'ai acheté l'intégrale sans connaître et je n'ai pu la lâcher. J'étais dans une série noire où espionnage, conscience, roublardise règnent en maître. Les retours dans le passé sont gérés de main de maître. Je recommande réellement car c'est de la grande BD
Pour apprécier vraiment la "mini-série" du 1er cycle, il faut lire les 6 albums d'une traite.
Elle fait du bien aux yeux et au cerveau, le métier d'espion (de barbouze, plutôt) est rendu crédible même si une série tv comme "homeland" l'a déjà un peu ringardisée.
Le dessin est très réussi, et je suis content pour Labiano qui a longtemps cherché le succès.
Mais la (re)lecture, quelques années après, me laisse un peu mitigé dans l'ensemble :
- j'ai décroché une 1ère fois, à cause d'une incongruité scénaristique :
Floyd, barbouze CIA, fait le tour du monde, va dans des pays où la misère est terrible, vit un déchirement (ne pas pouvoir sauver Lovna jeune) dès ses 1ères missions.
Mais c'est en rencontrant, des années après, un type pêté de thunes, issu d'une famille autrefois pêtée de thunes et (partiellement ?) spoliée par les nazis et qui veut racheter un tableau, qu'il se découvre une conscience ????
J'ai oublié de préciser que le type pêté de thunes est juif, et visiblement, ça compte beaucoup plus que tous les miséreux indiens, pakistanais, ou autres que Floyd croise dans son existence...
- L'histoire repose sur un complot, ou plutôt une opération d'envergure géopolitique (alliance mafia russe et gouvernements US contre URSS), dont on a peine à croire, car elle s'étend sur plusieurs générations. Aucun des présidents US qui se sont succédés n'a eu d'état d'âme ???
Et c'est d'ailleurs ce qui me gène le plus : quand la violence se déchaine, surtout vers la fin, le président des USA et tous ses services de renseignement sont totalement absents de l'histoire.
Tout est contrôlé par le vice-président qui, dans la réalité, n'a aucun pouvoir et est fantoche.
(qui peut citer, sans chercher sur gogole, le nom de l'actuel vice-président ? Il est pourtant là depuis 8 ans...)
L'histoire ne tient pas dans la durée.
- Le rôle exact de Lovna, je ne l'ai jamais compris.
Elle apparait, disparait, réapparait au gré de l'histoire, sans que rien ne soit vraiment expliqué.
Elle trahi quand ça arrange le scénariste, semble-t-il, mais sans que cela ne soit vraiment expliqué dans le scénario.
Je m'attendais aussi à ce que la femme de Trent, femme malheureuse, ait un rôle plus explicite ; au final, son personnage est sous-exploité, et c'est dommage.
Elle est surtout là pour servir la soupe à la grimace, mais à part ça...
Bref, une série ambitieuse dans son scénario, ce qu'il faut encourager, mais au résultat mitigé car l'histoire ne tient pas.
Pas si mal, mais pas parfait.
La "2ème saison" est un peu abusivement appelée ainsi, car elle ne comporte que 2 "épisodes", et n'est pas la suite de la "1ère saison".
Il s'agit d'une autre histoire, se déroulant cette fois sur quelques jours.
L'enquête est d'une facilité déconcertante, toutes les personnes impliquées, censées garder le silence, n'arrêtent pas de parler.
Même enrobée de violence et de sexe cru (pas montré à l'image, mais suggéré), cette histoire est surtout le prétexte d'une romance à l'eau de rose.
Le dessin est toujours le point fort de cet album, et j'espère que Fabiano retrouvera un projet fort, long et ambitieux, à la mesure de son talent.
Dommage que "Black Op" se termine ainsi, car malgré tous ses défauts, c'était une série plaisante à lire.