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Là encore, j'ai cru que c'était deux filles qui étaient en train de s'embrasser ce qui ne m'auraient pas dérangé outre mesure mais il s'agit d'un couple mixte car Bidouille est bien un mec. Bref, je ne distingue plus très bien les traits masculins. J'aurais aimé avoir un peu plus de clarté au niveau du graphisme, c'est tout.
Il est vrai que ce dessin me rappelle ceux des années 70 ce qui collent bien à l'intrigue censé se situer dans ces années-là. Pour le modernisme du trait, il faudra repasser. J'ose avouer que ce n'est pas le type de graphisme que j'apprécie. Dès lors, cela m'a semblé plus difficile d'entrer dans cette lecture de façon sereine.
Bon, c'est vrai que la préface est signée par Nicolas Sirkis, le chanteur d'Indochine, qui accorde aux adolescents une place assez importante dans son répertoire par les morceaux qui leur est destinés principalement. Le thème est celui des premiers amours.
Bon, du même auteur, j'ai adoré la saga « Sambre » qui n'est d'ailleurs toujours pas terminé. Cependant, force est de reconnaître qu'on est assez éloigné de cet univers post-révolutionnaire et romantique à souhait.
C'est vrai qu'il va y avoir une évolution au gré des saisons qui défilent et le ton ne sera pas vraiment le même. C'est léger et enjoué au début avec un côté très bon enfant. Cela se termine en tragédie shakespearienne à la manière de Roméo et Juliette d'ailleurs souvent évoqué.
Evidemment, je ne comprends pas l'obstination du père de Bidouille qui souhaite empêcher cette relation qui nuit à l'apprentissage des études de son fils. Il indique qu'il est dans son rôle de père même s'il faisait la même chose en étant adolescent.
Par ailleurs, il est vrai que cette relation est basée sur un couple qui s'assortit assez mal ensemble, mais pas que sur le plan physique. Je n'ai pas senti une belle histoire d'amour, je suis désolé de le dire ainsi même si leurs sentiments étaient guidés par une certaine timidité.
On quitte cette lecture avec un sentiment assez dépité tant sur le fond que sur la forme. Evidemment, j'ai eu un peu de peine pour ces deux personnages assez sympathiques qui ne méritaient pas cela.
Souvenirs, souvenirs....
J'ai découvert cette série à la fin des années 70 dans le journal Spirou.
Redécouverte à l'occasion de l'intégrale, je me suis replongé avec délice dans cette amourette d'adolescents où Hislaire distillait légèreté, conflit des générations derrière un humour feutré.
Car c'est vrai que cette romance reste somme toute assez triste.
Seul, le volume de "la reine des glaces" m'a laissé de marbre, cette fable onirique ne m'a guère touché.
Sinon, j'ai eu plaisir à retrouver l'ambiance des années 80, ambiance que Janin retranscrira avec brio dans Germain et nous.
BAM…la nostalgie m’est littéralement tombée dessus lors de la lecture de ce petit bijou que je ne connaissais pas du tout. Difficile d’expliquer mon ressenti mais cette lecture a été un véritable coup de cœur.
Le personnage de Bidouille avec cette bouille si particulière et celui de Violette sont adorables et franchement inoubliables.
C’est bizarre que je n’en ai jamais entendu parler car l’histoire est tout de même assez forte, parfois sombre et à la fois pleine de douceur, de sensibilité et de fraîcheur.
Et puis, les prises de vue, les décors (le banc des amoureux, le toit des maisons,…), et l’ambiance post hippie représentés par Yslaire sont des éléments immersifs qui évoquent chez moi des émotions et souvenirs de jeunesse immense.
J’ai lu l’intégrale d’une traite, impossible pour moi de décrocher avant la fin.
Un hymne à l’amour et au romantisme à découvrir ou redécouvrir. Qu’est-ce que ça fait du bien !
Poésie tendre et naïve.
Légèreté de ton, graphismeaux courbes douces.
Un univers magique et triste, une époque et une période magiques, les premiers sentiments amoureux, un romantisme d'écolier, c'est un bonheur de lire Bidouille et Violette, où rien n'est sérieux, où tout est rêverie, même si parfois le rêve à des allures de cauchemar.
Témoignage de l'évolution rapide d'un auteur inclassable, prémices d'une oeuvre à venir et d'un pessimisme nuancé, cette chronique adolescente d'un autre âge a la saveur magique des premiers baisers sous la pluie, quand plus rien n'existe, pas même nous...
Une histoire d'amour d'adolescents merveilleusement racontés par Hyslaire.En lisant les aventures de Bidouille et Violette un sentiment de mal être peux apparaitre(mais qui sommes nous pour épier ces deux jeunes gens dans leurs premiers émois ...)
Et si au quatrième opus on est triste ,on se consolera en relisant les premiers,en ommettant pas à chaque fois de refermer doucemnent les albums pour ne pas déranger ces deux amoureux...
Là encore, j'ai cru que c'était deux filles qui étaient en train de s'embrasser ce qui ne m'auraient pas dérangé outre mesure mais il s'agit d'un couple mixte car Bidouille est bien un mec. Bref, je ne distingue plus très bien les traits masculins. J'aurais aimé avoir un peu plus de clarté au niveau du graphisme, c'est tout.
Il est vrai que ce dessin me rappelle ceux des années 70 ce qui collent bien à l'intrigue censé se situer dans ces années-là. Pour le modernisme du trait, il faudra repasser. J'ose avouer que ce n'est pas le type de graphisme que j'apprécie. Dès lors, cela m'a semblé plus difficile d'entrer dans cette lecture de façon sereine.
Bon, c'est vrai que la préface est signée par Nicolas Sirkis, le chanteur d'Indochine, qui accorde aux adolescents une place assez importante dans son répertoire par les morceaux qui leur est destinés principalement. Le thème est celui des premiers amours.
Bon, du même auteur, j'ai adoré la saga « Sambre » qui n'est d'ailleurs toujours pas terminé. Cependant, force est de reconnaître qu'on est assez éloigné de cet univers post-révolutionnaire et romantique à souhait.
C'est vrai qu'il va y avoir une évolution au gré des saisons qui défilent et le ton ne sera pas vraiment le même. C'est léger et enjoué au début avec un côté très bon enfant. Cela se termine en tragédie shakespearienne à la manière de Roméo et Juliette d'ailleurs souvent évoqué.
Evidemment, je ne comprends pas l'obstination du père de Bidouille qui souhaite empêcher cette relation qui nuit à l'apprentissage des études de son fils. Il indique qu'il est dans son rôle de père même s'il faisait la même chose en étant adolescent.
Par ailleurs, il est vrai que cette relation est basée sur un couple qui s'assortit assez mal ensemble, mais pas que sur le plan physique. Je n'ai pas senti une belle histoire d'amour, je suis désolé de le dire ainsi même si leurs sentiments étaient guidés par une certaine timidité.
On quitte cette lecture avec un sentiment assez dépité tant sur le fond que sur la forme. Evidemment, j'ai eu un peu de peine pour ces deux personnages assez sympathiques qui ne méritaient pas cela.
Souvenirs, souvenirs....
J'ai découvert cette série à la fin des années 70 dans le journal Spirou.
Redécouverte à l'occasion de l'intégrale, je me suis replongé avec délice dans cette amourette d'adolescents où Hislaire distillait légèreté, conflit des générations derrière un humour feutré.
Car c'est vrai que cette romance reste somme toute assez triste.
Seul, le volume de "la reine des glaces" m'a laissé de marbre, cette fable onirique ne m'a guère touché.
Sinon, j'ai eu plaisir à retrouver l'ambiance des années 80, ambiance que Janin retranscrira avec brio dans Germain et nous.
BAM…la nostalgie m’est littéralement tombée dessus lors de la lecture de ce petit bijou que je ne connaissais pas du tout. Difficile d’expliquer mon ressenti mais cette lecture a été un véritable coup de cœur.
Le personnage de Bidouille avec cette bouille si particulière et celui de Violette sont adorables et franchement inoubliables.
C’est bizarre que je n’en ai jamais entendu parler car l’histoire est tout de même assez forte, parfois sombre et à la fois pleine de douceur, de sensibilité et de fraîcheur.
Et puis, les prises de vue, les décors (le banc des amoureux, le toit des maisons,…), et l’ambiance post hippie représentés par Yslaire sont des éléments immersifs qui évoquent chez moi des émotions et souvenirs de jeunesse immense.
J’ai lu l’intégrale d’une traite, impossible pour moi de décrocher avant la fin.
Un hymne à l’amour et au romantisme à découvrir ou redécouvrir. Qu’est-ce que ça fait du bien !
Poésie tendre et naïve.
Légèreté de ton, graphismeaux courbes douces.
Un univers magique et triste, une époque et une période magiques, les premiers sentiments amoureux, un romantisme d'écolier, c'est un bonheur de lire Bidouille et Violette, où rien n'est sérieux, où tout est rêverie, même si parfois le rêve à des allures de cauchemar.
Témoignage de l'évolution rapide d'un auteur inclassable, prémices d'une oeuvre à venir et d'un pessimisme nuancé, cette chronique adolescente d'un autre âge a la saveur magique des premiers baisers sous la pluie, quand plus rien n'existe, pas même nous...
Une histoire d'amour d'adolescents merveilleusement racontés par Hyslaire.En lisant les aventures de Bidouille et Violette un sentiment de mal être peux apparaitre(mais qui sommes nous pour épier ces deux jeunes gens dans leurs premiers émois ...)
Et si au quatrième opus on est triste ,on se consolera en relisant les premiers,en ommettant pas à chaque fois de refermer doucemnent les albums pour ne pas déranger ces deux amoureux...