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Deuxième album de cette série doint la seule véritable héroïne est Berlin.
Cette fois-ci c'est le blocus de 1948 qui sert de toile de fond à l'histoire.
Par rapport au précédent ce livre est en net retrait pour plusieurs raisons:
1/Pagnol dans une de ses préfaces pour "les marchands de gloire" parlait de la nécessité d'identification du spectateur ce qui entraînait d'avoir des personnages un tant soit peu positifs. Ce n'est pas le cas ici.
Même ce pauvre Stuart n'est qu'un grand benêt, attiré par l'argent, loin de tout idéalisme même s'il est le "commandant bonbon". Et ce n'est évidemment pas Reinhardt avec qui l'on peut se sentir en phase. Quant à Helena, la seule a avoir une "dimension", elle est trop faible, trop meurtrie pour que cette identification reste positive.
2/Le récit fait preuve de trop de "salgarisme". Comme dans les romans du Jules Verne italien, il s'interromp brutalement pour nous parler de l'Histoire (c'est intéressant mais cela coupe l'histoire [avec un petit h]). Les placer au début du livre ou en annexe eût été, me semble-t-il, plus astucieux.
Au final, c'est une petite déception car cette histoire de trafic entre l'est et l'ouest, ces aveux de compromissions pour gagner la "guerre froide", étaient forts et prenants. Un bel album tout de même qui ne tient pas complètement ses promesses.
Deuxième album de cette série doint la seule véritable héroïne est Berlin.
Cette fois-ci c'est le blocus de 1948 qui sert de toile de fond à l'histoire.
Par rapport au précédent ce livre est en net retrait pour plusieurs raisons:
1/Pagnol dans une de ses préfaces pour "les marchands de gloire" parlait de la nécessité d'identification du spectateur ce qui entraînait d'avoir des personnages un tant soit peu positifs. Ce n'est pas le cas ici.
Même ce pauvre Stuart n'est qu'un grand benêt, attiré par l'argent, loin de tout idéalisme même s'il est le "commandant bonbon". Et ce n'est évidemment pas Reinhardt avec qui l'on peut se sentir en phase. Quant à Helena, la seule a avoir une "dimension", elle est trop faible, trop meurtrie pour que cette identification reste positive.
2/Le récit fait preuve de trop de "salgarisme". Comme dans les romans du Jules Verne italien, il s'interromp brutalement pour nous parler de l'Histoire (c'est intéressant mais cela coupe l'histoire [avec un petit h]). Les placer au début du livre ou en annexe eût été, me semble-t-il, plus astucieux.
Au final, c'est une petite déception car cette histoire de trafic entre l'est et l'ouest, ces aveux de compromissions pour gagner la "guerre froide", étaient forts et prenants. Un bel album tout de même qui ne tient pas complètement ses promesses.