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Je le dis tout de suite: le graphisme minimaliste ne m'a absolument pas convaincu pour son coté trop brouillon et non réaliste. Cependant, parfois, il m'arrive que je puisse apprécié une œuvre malgré cela.
En effet, c'est plutôt la démarche de l'auteure que j'ai apprécié. Elle a voulu faire le portrait non pas de super-héros qui sauvent le monde mais de personnes totalement anonymes rencontrées au fil du temps et qui sont à leur manière ce qu'on appelle de belles personnes. Elle souhaitait leur rendre hommage en image.
La première fois que j'ai entendu ce terme de belles personnes, j'ai ressenti quelque chose de neuf et d’intrigant. On n'a pas besoin d'être un héros, on peut par nos actes ou notre attitude bienveillante être de belles personnes non pas physiquement mais moralement.
Certains de ces portraits m'ont plutôt touché. Ma préféré est sans doute ce fantôme de l'abribus car il y a un côté un peu mystérieux. J'ai aimé également ce jeune trentenaire isolé au fond d'un bar qui agit en prince même s'il ne l'est pas avec ce côté poète. Il y a également cette voisine qui cultive de drôles de plantes dans son jardin ou cet éboueur qui chantent à tue tête sans oublier Mint le pauvre chien qui cache bien son jeu.
Dans ces anonymes, il y a quelque chose de profond à saisir, sans doute de l'humanité retrouvée.