Batman, le Chevalier Noir
1. Terreurs nocturnes
Une BD de
Paul Jenkins
et
David Finch
chez Urban Comics
(DC Renaissance)
- 2012
Jenkins, Paul
(Scénario)
Finch, David
(Scénario)
Harris, Joseph
(Scénario)
Finch, David
(Dessin)
Benes, Ed
(Dessin)
Sinclair, Alex
(Couleurs)
Cox, Jeromy
(Couleurs)
Friend, Richard
(Encrage)
Hunter, Rob
(Encrage)
Purcell, Jack
(Encrage)
Studio Makma
(Lettrage)
Aubry, Camille
(Autres)
Hanart, Xavier
(Traduction)
10/2012 (05 octobre 2012) 176 pages 9782365770552 Format comics 173350
Attaqué par une nouvelle et redoutable ennemie, Batman aura également fort à faire avec la lie d'Arkham. Double-Face, Poison Ivy, l'Épouvantail et Bane se succèdent pour mener le Chevalier Noir au bord de la folie... Superman, Wonder Woman et Flash ne seront pas de trop pour lui apporter leur aide !
Des graphismes assurés et efficaces pour une narration un peu décousue. Je ne sais pas si c'est un problème de traduction, ou s'il me manque des références mais certains dialogues sont incompréhensibles et ne collent pas avec l'intrigue.
Pour le reste, nous sommes face à un Batman classique, rongé par ses tourments et ses doutes. Un tome qui n'apporte pas grand chose à la batverse, si ce n'est le plaisir de voir le chevalier noir se dépasser, une fois de plus, et ce, face à une nouvelle ennemie bien mystérieuse.
Un Batman sans intérêt !!!
On assiste en effet à un défilé de supervilain complètement vain, l'enquête est inexistante et les personnages sont creux.
Bref un scénario ultra classique qui n'apporte rien de neuf, même les dessins de jenkins ne sauve pas l'ensemble malgré quelques belles planches, mais que dire des ressemblances de Batman et Superman sans parler des personnages féminin qui ont le même visage, grotesque.
A oublier.
Scénaristiquement bien au dessus de BATMAN Nouvelle aube dont il est la suite version NEW 52.
Paul Jenkins accompagne Finch au scénario et ça se sent. Dessin est d’un très bon niveau, composition dynamique, découpage rythmé.
Une bonne entrée dans l’univers de Batman, noir, violent et complètement dingue.
Et puis un vrai plaisir de retrouver BANE, quelques temps après son triomphe au cinéma dans TDkR.