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Deux étoiles. Cela peut paraitre sévère pour une histoire de Batman aussi culte que celle-ci. Une question de génération sans doute puisque son scénario et son dessin mais aussi, d’une manière générale, les comics des années 80 ou 90, voire plus anciens encore, ne m’ont jamais vraiment enthousiasmé (Batman 1940, #426-430).
La première chose qui me déplait n’est pas tant le dessin de Jim Aparo que la couleur. Je comprends évidemment que les techniques de colorisation et d’impression d’alors, qui devaient allier rapidité d’exécution et bas coûts, ne permettaient que ce résultat grossier et criard. Mais à la même époque, voire une décennie auparavant, la BD franco-belge produisait déjà de superbes planches de Bob Morane, de Bruno Brazil ou de XIII avec une définition et un nuancier dans les couleurs d’un niveau infiniment supérieur. De ce fait, et malgré leur ancienneté, ces albums sont encore aujourd’hui accessibles sans difficulté, par une nouvelle génération de lecteurs. La différence entre l’artisanat de la BD et l’industrie des comics ? Avec l’édition Semic, on a parfois l’impression d’avoir affaire à des coloriages d’enfants à la craie grasse…
Publié en 1988, je reconnais à ce récit l’originalité d’illustrer – quoique de façon simpliste – les relations tendues qu’entretenaient les Etats-Unis et l'Iran (jusqu’à en dépeindre l'ayatollah Khomeini en allié du Joker). Mais, trop habitué aux super-vilains de Gotham que l’on peut tabasser sans trop se soucier des conséquences, Batman parait dépassé par la politique étrangère. Le scénario de Jim Starlin n’est pas beaucoup plus subtil et accumule les coïncidences entre la recherche de la mère de Robin et les actions terroristes du Joker au point où cela en devient risible. Et la narration est lourdingue à prendre ainsi le lecteur par la main entre les résumés de plusieurs pages au début de chaque chapitre et les ribambelles de récitatifs pour le moindre mouvement ou la moindre pensée de Batman ou consorts. Bref, ça n’a vraiment pas bien vieilli.
Info édition : Contient Batman: A Death in the Family (Batman (1940) #426-429 et 440-442, The New Titans (1984) #60-61, Batman Annual (1940) #25), The New Titans (1984) #55 et Batman: Legends of the Dark Knight (1989) #100.
Deux étoiles. Cela peut paraitre sévère pour une histoire de Batman aussi culte que celle-ci. Une question de génération sans doute puisque son scénario et son dessin mais aussi, d’une manière générale, les comics des années 80 ou 90, voire plus anciens encore, ne m’ont jamais vraiment enthousiasmé (Batman 1940, #426-430).
La première chose qui me déplait n’est pas tant le dessin de Jim Aparo que la couleur. Je comprends évidemment que les techniques de colorisation et d’impression d’alors, qui devaient allier rapidité d’exécution et bas coûts, ne permettaient que ce résultat grossier et criard. Mais à la même époque, voire une décennie auparavant, la BD franco-belge produisait déjà de superbes planches de Bob Morane, de Bruno Brazil ou de XIII avec une définition et un nuancier dans les couleurs d’un niveau infiniment supérieur. De ce fait, et malgré leur ancienneté, ces albums sont encore aujourd’hui accessibles sans difficulté, par une nouvelle génération de lecteurs. La différence entre l’artisanat de la BD et l’industrie des comics ? Avec l’édition Semic, on a parfois l’impression d’avoir affaire à des coloriages d’enfants à la craie grasse…
Publié en 1988, je reconnais à ce récit l’originalité d’illustrer – quoique de façon simpliste – les relations tendues qu’entretenaient les Etats-Unis et l'Iran (jusqu’à en dépeindre l'ayatollah Khomeini en allié du Joker). Mais, trop habitué aux super-vilains de Gotham que l’on peut tabasser sans trop se soucier des conséquences, Batman parait dépassé par la politique étrangère. Le scénario de Jim Starlin n’est pas beaucoup plus subtil et accumule les coïncidences entre la recherche de la mère de Robin et les actions terroristes du Joker au point où cela en devient risible. Et la narration est lourdingue à prendre ainsi le lecteur par la main entre les résumés de plusieurs pages au début de chaque chapitre et les ribambelles de récitatifs pour le moindre mouvement ou la moindre pensée de Batman ou consorts. Bref, ça n’a vraiment pas bien vieilli.