Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
- de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
- d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Cette série fait office de seconde saison à Batman Eternal. On y retrouve en effet les mêmes scénaristes – Scott Snyder et James Tynion IV –, les mêmes impératifs de publication – une série hebdomadaire, de multiples dessinateurs dont le très bon Tony S. Daniel – et les mêmes codes : une machination tentaculaire nécessitant l’intervention de toute une galerie de personnages pour en venir à bout (Batman & Robin Eternal 2015, #1-12).
L’intrigue se déroule chronologiquement après le combat de Batman contre le Joker (dans Batman: Endgame), le chevalier noir est donc en retrait et seulement présent lors des flash-back. D’une manière générale, il s’agit d’ailleurs plus d’une histoire de Robin que de Batman, tous répondent présents – Dick Grayson (Nightwing), Jason Todd (Red Hood), Tim Drake (Red Robin) et Stephanie Brown (Spoiler) – à l’exception notable, et temporaire, de Damian Wayne. Si l’on y ajoute Harper Row, une des dernières créations de Snyder, et un nouveau personnage énigmatique – Cassandra Cain –, cela donne une galerie de second rôles très voire trop importante. Il faut vraiment aimer entendre le point de vue de toute la Bat-family et passer des acrobaties de l’un à celles de l’autre pour apprécier cette histoire.
Dans cette histoire justement, les Robin et leurs associés partent à la recherche de Maman (un drôle de nom pour un vilain mais en l’occurrence plutôt approprié), un adversaire dont la particularité est le conditionnement d’orphelins pour en faire des agents dormants (un peu à la manière du film Salt). Les révélations sont distillées au compte-gouttes, on traine parfois un peu en longueur et les cliffhangers sont souvent artificiels mais, malgré tout, on a vraiment envie de savoir de quelle manière Bruce Wayne pourrait être mêlé à ce trafic.
A noter qu’il est préférable d’avoir lu au préalable les aventures respectives des différents Robin, période New52, pour en saisir toutes les références.