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Fan de Bermejo, j’ai voulu essayé ce volume que je n’avais pas encore lu, de peur d’un flop scénaristique.
Après lecture je confirme : dessins exceptionnels, ambiance géniale. Mais scénario mou et lent, inadapté à un Batman. L’histoire est pompeuse et lourde à souhait, reprenant la trame narrative du conte de Dickens.
Mais Batman n’est pas Scrooge, trop d’éléments les séparent pour parvenir à une réelle osmose, à une adaptation réussie. Batman n’est le patron de personne, il agit en solitaire : rien que par ce postulat il est inadapté de proposer un Batman-Scrooge.
Dans la galaxie Batman, on n’avait pas encore fait le petit conte de Noël. Du coup, l’auteur Lee Bermejo a eu l’idée de reprendre le conte de Charles Dickens et de l’adapter pour l’occasion. Batman jouera le rôle de Scrooge, un vieil homme replié sur lui-même, immoral et égoïste.
En effet, pour capturer le Joker, son ennemi mortel, il est prêt à tout et notamment à utiliser un pauvre père de famille qui a du faire le sale boulot. Comment reconnaître un malfrat ? Faut-il lui tirer dessus pour l’empêcher de nuire ? Le monde est gris, ni blanc, ni noir.
J’avoue aisément que c’est une belle réussite. Ce Batman ne sera pas concentré sur l’action mais plutôt sur la part du psychologique entre justice et ténèbres. Les dessins sont de toute beauté ce qui renforce la qualité de l’œuvre. J’ai apprécié la précision du graphisme. On voit que l’auteur a également pris son envol depuis le fameux Joker qui nous avait tant éblouis.
La narration va reprendre les méthodes du conte. On sera immergé par le récit. Certes, on pourrait regretter cette narration omniprésente qui laisse peu de place aux dialogues. Cependant, c’est parfaitement maîtrisé. Il y a une osmose qui est quasiment parfaite entre intrigue et dessin.
A lire pendant la période des fêtes de fin d’année pour être totalement dans l’ambiance et de préférence devant une cheminée et un sapin de Noël.
POUF !! Gregmat : quelle sévérité ! OK avec vous, mais pas pour le fait que Bermenjo ne s'en sorte pas avec ce "mélange"... C'est vrai que parfois on s'y perd un peu, mais perso, je suis tjs arrivé à tourner les pages avec impatience.
De plus le dessin est "apocalyptiquement beau" !! Comment fait-il pour passer d'un "style Luthor" avec un "style Batman Noël" ???
Je n'ai malheureusement pas le temps pour faire une analyse plus poussée (je sais, certains diront qu'elles ne sont pas souvent "poussées", je suis "épidermique", donc tendance à simplifier, mais en me faisant (j'espère) bien comprendre...
La littérature ne se marie absolument pas avec Batman. Cet album en est une preuve très pénible à lire. C'est l’histoire d'un essai raté. Une histoire de Dickens (Scrooge) sur une enquête de Batman. C'est très joli, certaine planche magnifique mais tellement ennuyeux et à côté de la plaque que j'ai brulé (numériquement) cette hérésie...
Je suis pourtant grand fan de Lee Bermejo, mais là sans façon.
Fan de Bermejo, j’ai voulu essayé ce volume que je n’avais pas encore lu, de peur d’un flop scénaristique.
Après lecture je confirme : dessins exceptionnels, ambiance géniale. Mais scénario mou et lent, inadapté à un Batman. L’histoire est pompeuse et lourde à souhait, reprenant la trame narrative du conte de Dickens.
Mais Batman n’est pas Scrooge, trop d’éléments les séparent pour parvenir à une réelle osmose, à une adaptation réussie. Batman n’est le patron de personne, il agit en solitaire : rien que par ce postulat il est inadapté de proposer un Batman-Scrooge.
Dommage.
Dans la galaxie Batman, on n’avait pas encore fait le petit conte de Noël. Du coup, l’auteur Lee Bermejo a eu l’idée de reprendre le conte de Charles Dickens et de l’adapter pour l’occasion. Batman jouera le rôle de Scrooge, un vieil homme replié sur lui-même, immoral et égoïste.
En effet, pour capturer le Joker, son ennemi mortel, il est prêt à tout et notamment à utiliser un pauvre père de famille qui a du faire le sale boulot. Comment reconnaître un malfrat ? Faut-il lui tirer dessus pour l’empêcher de nuire ? Le monde est gris, ni blanc, ni noir.
J’avoue aisément que c’est une belle réussite. Ce Batman ne sera pas concentré sur l’action mais plutôt sur la part du psychologique entre justice et ténèbres. Les dessins sont de toute beauté ce qui renforce la qualité de l’œuvre. J’ai apprécié la précision du graphisme. On voit que l’auteur a également pris son envol depuis le fameux Joker qui nous avait tant éblouis.
La narration va reprendre les méthodes du conte. On sera immergé par le récit. Certes, on pourrait regretter cette narration omniprésente qui laisse peu de place aux dialogues. Cependant, c’est parfaitement maîtrisé. Il y a une osmose qui est quasiment parfaite entre intrigue et dessin.
A lire pendant la période des fêtes de fin d’année pour être totalement dans l’ambiance et de préférence devant une cheminée et un sapin de Noël.
POUF !! Gregmat : quelle sévérité ! OK avec vous, mais pas pour le fait que Bermenjo ne s'en sorte pas avec ce "mélange"... C'est vrai que parfois on s'y perd un peu, mais perso, je suis tjs arrivé à tourner les pages avec impatience.
De plus le dessin est "apocalyptiquement beau" !! Comment fait-il pour passer d'un "style Luthor" avec un "style Batman Noël" ???
Je n'ai malheureusement pas le temps pour faire une analyse plus poussée (je sais, certains diront qu'elles ne sont pas souvent "poussées", je suis "épidermique", donc tendance à simplifier, mais en me faisant (j'espère) bien comprendre...
La littérature ne se marie absolument pas avec Batman. Cet album en est une preuve très pénible à lire. C'est l’histoire d'un essai raté. Une histoire de Dickens (Scrooge) sur une enquête de Batman. C'est très joli, certaine planche magnifique mais tellement ennuyeux et à côté de la plaque que j'ai brulé (numériquement) cette hérésie...
Je suis pourtant grand fan de Lee Bermejo, mais là sans façon.