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C’est franchement super drôle et très bien écrit. J’ai tout particulièrement aimé les albums 2,3 et 4. Le scénariste a été très inspiré. Les blagues sont à toutes les pages et, pour beaucoup, c’est une franche rigolade. La relation Sherlock – Watson est vraiment bien vue, avec un Watson qui a plus de notoriété que son comparse au grand dam de Holmes. Ils ne se ménagent pas l’un et l’autre. Les personnages de Lestrade et de la gouvernante apportent beaucoup d’humour, surtout lors du voyage en Inde.
Le dessin est vraiment bien et les expressions des personnages sont excellentes. Encore une fois, j’ai trouvé les albums 2, 3 et 4 au-dessus des deux autres graphiquement.
Voilà une série qui dépoussière sérieusement avec humour le mythe de Sherlock Holmes. Elle le fait agréablement bien. J'aime ce personnage haut en couleur qui fait de mauvaises blagues à son ami le Dr Watson quelquefois plus perspicace que ce grand détective présomptueux.
Que dire également des enchaînements entre les scènes qui font que le découpage est parfaitement réussi. Il y a manifestement présence d'une grande habileté du scénariste.
Cette parodie humoristique est brillante avec ses situations cocasses et ses dialogues savoureux. Dommage cependant que la mise en couleur ne soit pas forcément réussie. Le dessin quant à lui arrive à nous faire ressentir les mimiques des personnages et accentue le côté drôle. C'est une série à suivre avec le plus grand intérêt. Une vraie réussite !
Dans cette série le ton est délibérément humoristique. Le dessinateur, au crayonné prometteur, a joliment croqué Jeremy Brett, le Sherlock Holmes de la TV, dans le rôle principal. Ce recueil de 5 courtes histoires (L’incident sur la Tamise, Ophiophobie, Tossing the caber, Le bois rouge de Pernambouc, Rançon pour une momie) est néanmoins décevant. Il faut dire que la mise en couleurs, plutôt loupée, n’aide pas vraiment à rentrer dans le texte. Aussi le Groom 99 décerné par la Société Sherlock Holmes de France doit-il davantage être considéré comme un encouragement que comme la récompense matérialisant la maîtrise d’une œuvre.
Pour se changer des agents secrets tatoués, des héros roux un peu bénêts aux pouvoirs absolus ou des millardaires en basket, rien de tel qu’un bon vieux détective londonien irascible et prétentieux.
S’attaquer au détective le plus célèbre de Londres et en faire le héros d’un album de gags, il fallait oser. Aucun problème pour Barral et Veys, qui non contents de dépoussièrer ainsi le mythe, réussissent même un excellent pastiche, au point qu’on se demande quelle est la version la plus intéressante.
Les personnages sont désopilants à travers leur prétention et leur préciosité, y compris les personnages secondaires (mention spéciale à la cuisinière alcoolique).
Les intrigues sont d’abord là pour amener les situations comiques mais les auteurs s’amusent à y introduire le suspense et on se surprend à se prendre au jeu en plus de se régaler des crises entre Watson et Holmes.
Le dessin manque peut-être un peu d’assurance, mais l’ensemble, visiblement sans prétention au départ, est finalement réussi.
Le format gags en quelques planches est parfois frustrant, mais il a cet avantage qu’on peut en lire un peu tous les jours. On demande à voir sur une histoire plus longue, mais c’est pour l’instant une bonne série.
Sherlock Holmes version déjantée, c'est la définition que je donne de cette excellente série qu'est Baker Street.
Tout en gardant un univers très proche de celui du célèbre détective anglais, les auteurs nous proposent ici une parodie humoristique à la fois brillante et complètement loufdingue.
Sherlock Holmes est présenté comme un personnage d'une intelligence aussi grande qu'est son ego, mais surtout considéré avec mépris par la bonne société britannique !
En parallèle, le Dr Watson, lui, brille de la gloire des journaux et de la gente féminine, depuis qu'une erreur de compréhension a fait qu'on lui prête d'avoir traité la Reine Victoria de "Grosse méduse" alors qu'ils étaient en écosse.
En rapport avec le fameux duo, l'inspecteur Lestrade fait figure de souffre douleur doublé d'un incroyable crétinisme qui font de lui l'idiot de la série.
A ces personnages bien plantés, ajoutons des enquêtes plus ou moins farfelues résolues de manière particulière, des dialogues savoureux, des situations cocasses, et vous obtenez un album irresistible d'humour et de cruauté.
Un vrai plaisir.
C’est franchement super drôle et très bien écrit. J’ai tout particulièrement aimé les albums 2,3 et 4. Le scénariste a été très inspiré. Les blagues sont à toutes les pages et, pour beaucoup, c’est une franche rigolade. La relation Sherlock – Watson est vraiment bien vue, avec un Watson qui a plus de notoriété que son comparse au grand dam de Holmes. Ils ne se ménagent pas l’un et l’autre. Les personnages de Lestrade et de la gouvernante apportent beaucoup d’humour, surtout lors du voyage en Inde.
Le dessin est vraiment bien et les expressions des personnages sont excellentes. Encore une fois, j’ai trouvé les albums 2, 3 et 4 au-dessus des deux autres graphiquement.
Une très bonne série !
Voilà une série qui dépoussière sérieusement avec humour le mythe de Sherlock Holmes. Elle le fait agréablement bien. J'aime ce personnage haut en couleur qui fait de mauvaises blagues à son ami le Dr Watson quelquefois plus perspicace que ce grand détective présomptueux.
Que dire également des enchaînements entre les scènes qui font que le découpage est parfaitement réussi. Il y a manifestement présence d'une grande habileté du scénariste.
Cette parodie humoristique est brillante avec ses situations cocasses et ses dialogues savoureux. Dommage cependant que la mise en couleur ne soit pas forcément réussie. Le dessin quant à lui arrive à nous faire ressentir les mimiques des personnages et accentue le côté drôle. C'est une série à suivre avec le plus grand intérêt. Une vraie réussite !
Dans cette série le ton est délibérément humoristique. Le dessinateur, au crayonné prometteur, a joliment croqué Jeremy Brett, le Sherlock Holmes de la TV, dans le rôle principal. Ce recueil de 5 courtes histoires (L’incident sur la Tamise, Ophiophobie, Tossing the caber, Le bois rouge de Pernambouc, Rançon pour une momie) est néanmoins décevant. Il faut dire que la mise en couleurs, plutôt loupée, n’aide pas vraiment à rentrer dans le texte. Aussi le Groom 99 décerné par la Société Sherlock Holmes de France doit-il davantage être considéré comme un encouragement que comme la récompense matérialisant la maîtrise d’une œuvre.
Trés drole, dessin plein d'expressions, d'humour , indispensable
Pour se changer des agents secrets tatoués, des héros roux un peu bénêts aux pouvoirs absolus ou des millardaires en basket, rien de tel qu’un bon vieux détective londonien irascible et prétentieux.
S’attaquer au détective le plus célèbre de Londres et en faire le héros d’un album de gags, il fallait oser. Aucun problème pour Barral et Veys, qui non contents de dépoussièrer ainsi le mythe, réussissent même un excellent pastiche, au point qu’on se demande quelle est la version la plus intéressante.
Les personnages sont désopilants à travers leur prétention et leur préciosité, y compris les personnages secondaires (mention spéciale à la cuisinière alcoolique).
Les intrigues sont d’abord là pour amener les situations comiques mais les auteurs s’amusent à y introduire le suspense et on se surprend à se prendre au jeu en plus de se régaler des crises entre Watson et Holmes.
Le dessin manque peut-être un peu d’assurance, mais l’ensemble, visiblement sans prétention au départ, est finalement réussi.
Le format gags en quelques planches est parfois frustrant, mais il a cet avantage qu’on peut en lire un peu tous les jours. On demande à voir sur une histoire plus longue, mais c’est pour l’instant une bonne série.
Sherlock Holmes version déjantée, c'est la définition que je donne de cette excellente série qu'est Baker Street.
Tout en gardant un univers très proche de celui du célèbre détective anglais, les auteurs nous proposent ici une parodie humoristique à la fois brillante et complètement loufdingue.
Sherlock Holmes est présenté comme un personnage d'une intelligence aussi grande qu'est son ego, mais surtout considéré avec mépris par la bonne société britannique !
En parallèle, le Dr Watson, lui, brille de la gloire des journaux et de la gente féminine, depuis qu'une erreur de compréhension a fait qu'on lui prête d'avoir traité la Reine Victoria de "Grosse méduse" alors qu'ils étaient en écosse.
En rapport avec le fameux duo, l'inspecteur Lestrade fait figure de souffre douleur doublé d'un incroyable crétinisme qui font de lui l'idiot de la série.
A ces personnages bien plantés, ajoutons des enquêtes plus ou moins farfelues résolues de manière particulière, des dialogues savoureux, des situations cocasses, et vous obtenez un album irresistible d'humour et de cruauté.
Un vrai plaisir.