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D'emblée je me suis perdu dans le fil de cette histoire contant les derniers moments de la civilisation Aztèque avant l'arrivée des conquistadors espagnols. La faute à trop de personnages (dont certains se ressemblent, ajoutant à la confusion de l'ensemble) et trop de cheminements divers qui me sont apparus totalement obscurs.
J'aime pourtant le style graphique de cet auteur mais j'ai pas supporté le fait de me perdre totalement dans cette lecture. Lorsque des choses apparaissent brumeuses, cela pourrait passer s'il y avait une intrigue précise. Mais, ici, j'ai l'impression qu'il n'y a pas de véritable scénario avec une direction donnée.
Dans le même genre et sur cette étrange civilisation, j'ai nettement préféré la magnifique fresque de Mitton à savoir Quetzalcoatl .
Il convient avant tout de préciser qu'il s'agit d'un livre de commande. En effet ce livre a été réalisé à la demande de l'éditeur pour la commémoration de la découverte de l'Amérique par Christophe Colomb.
Andreas a choisi de s'intéresser aux Aztèques au lieu d'adopter le point de vue des "découvreurs" européens, comme nous en avons l'habitude. De son propre aveu, Andreas s'est beaucoup documenté au point de se faire dévorer par le matériel qu'il avait amassé. Le résultat est un livre bancal et très frustrant. Andreas a composé son récit en forme de mosaïque, suivant plusieurs personnages illustrant plusieurs couches de la société aztèque: un vieux marchand, une servante qui découvre qu'elle est en fait la fille d'un puissant cacique qui fut abandonnée à cause de mauvais présages entourant se naissance, un prisonnier en attente de son sacrifice, un prêtre humilié par un rival et un artisan qui se laisse dévorer par son art.
Le livre ne faisant que 46 planches, chaque intrigue n'est dévéloppée que très superficiellement. Les personnages n'ayant pas toujours une physionomie très tranchée sont parfois difficiles à identifier et l'ont ressort de cet album avec une vraie frustration. Sans doute aurait-il fallu un livre plus long ou plusieurs tomes pour qu'Andreas puisse traiter convenablement son sujet. Peut-être que des courts récits séparés auraient été préférable à la forme de récit choral privilégiée par Andreas.
C'est dommage parce que le travail sur les couleurs est très réussi et il se dégage une belle lumière de ces planches. Il s'agit sans doute de livre le plus dispensable de la bibliographie d'Andreas.
Sûrement l'album d'Andreas que j'ai le moins aimé, alors que j'adore cet auteur. Le graphisme est intéressant, tout en couleurs directes, mais le déroulement de l'histoire m'a paru inutilement compliqué. Difficile de s'y retrouver entre les différentes trames narratives, les différents personnages, les différentes destinées, même si, j'en conviens, la personnalité de certains d'entre les protagonistes m'a plu. Mais je dirais qu'Andreas veut faire trop compliqué, alors que le récit aurait pu être beaucoup plus simple, et que cette complexité - contrairement à ce qu'on observe dans d'autres de ses albums - paraît inutile.
Ceux qui souhaitent découvrir l'incroyable univers d'Andreas seront donc inspirés de commencer par autre chose que ce "Aztèques" assez décevant.
Bof!!!
L'histoire n'est qu'un puzzle composé de la vie de 3 ou 4 personnages.
Aucun lien entre les personnages, aucun suspens.
La vie quotidienne des aztèques n'est que peu évoquée alors qu'il y aurait tant à raconter.
Et les dessins sont horribles;
A fuir d'urgence.
1/10.
D'emblée je me suis perdu dans le fil de cette histoire contant les derniers moments de la civilisation Aztèque avant l'arrivée des conquistadors espagnols. La faute à trop de personnages (dont certains se ressemblent, ajoutant à la confusion de l'ensemble) et trop de cheminements divers qui me sont apparus totalement obscurs.
J'aime pourtant le style graphique de cet auteur mais j'ai pas supporté le fait de me perdre totalement dans cette lecture. Lorsque des choses apparaissent brumeuses, cela pourrait passer s'il y avait une intrigue précise. Mais, ici, j'ai l'impression qu'il n'y a pas de véritable scénario avec une direction donnée.
Dans le même genre et sur cette étrange civilisation, j'ai nettement préféré la magnifique fresque de Mitton à savoir Quetzalcoatl .
Il convient avant tout de préciser qu'il s'agit d'un livre de commande. En effet ce livre a été réalisé à la demande de l'éditeur pour la commémoration de la découverte de l'Amérique par Christophe Colomb.
Andreas a choisi de s'intéresser aux Aztèques au lieu d'adopter le point de vue des "découvreurs" européens, comme nous en avons l'habitude. De son propre aveu, Andreas s'est beaucoup documenté au point de se faire dévorer par le matériel qu'il avait amassé. Le résultat est un livre bancal et très frustrant. Andreas a composé son récit en forme de mosaïque, suivant plusieurs personnages illustrant plusieurs couches de la société aztèque: un vieux marchand, une servante qui découvre qu'elle est en fait la fille d'un puissant cacique qui fut abandonnée à cause de mauvais présages entourant se naissance, un prisonnier en attente de son sacrifice, un prêtre humilié par un rival et un artisan qui se laisse dévorer par son art.
Le livre ne faisant que 46 planches, chaque intrigue n'est dévéloppée que très superficiellement. Les personnages n'ayant pas toujours une physionomie très tranchée sont parfois difficiles à identifier et l'ont ressort de cet album avec une vraie frustration. Sans doute aurait-il fallu un livre plus long ou plusieurs tomes pour qu'Andreas puisse traiter convenablement son sujet. Peut-être que des courts récits séparés auraient été préférable à la forme de récit choral privilégiée par Andreas.
C'est dommage parce que le travail sur les couleurs est très réussi et il se dégage une belle lumière de ces planches. Il s'agit sans doute de livre le plus dispensable de la bibliographie d'Andreas.
Sûrement l'album d'Andreas que j'ai le moins aimé, alors que j'adore cet auteur. Le graphisme est intéressant, tout en couleurs directes, mais le déroulement de l'histoire m'a paru inutilement compliqué. Difficile de s'y retrouver entre les différentes trames narratives, les différents personnages, les différentes destinées, même si, j'en conviens, la personnalité de certains d'entre les protagonistes m'a plu. Mais je dirais qu'Andreas veut faire trop compliqué, alors que le récit aurait pu être beaucoup plus simple, et que cette complexité - contrairement à ce qu'on observe dans d'autres de ses albums - paraît inutile.
Ceux qui souhaitent découvrir l'incroyable univers d'Andreas seront donc inspirés de commencer par autre chose que ce "Aztèques" assez décevant.
Bof!!!
L'histoire n'est qu'un puzzle composé de la vie de 3 ou 4 personnages.
Aucun lien entre les personnages, aucun suspens.
La vie quotidienne des aztèques n'est que peu évoquée alors qu'il y aurait tant à raconter.
Et les dessins sont horribles;
A fuir d'urgence.
1/10.