Astérix
33. Le ciel lui tombe sur la tête
Une BD de
Albert Uderzo
chez Les Éditions Albert René
- 2005
Uderzo, Albert
(Scénario)
Uderzo, Albert
(Dessin)
Mébarki, Thierry
(Couleurs)
Mébarki, Frédéric
(Encrage)
Janvier, Michel
(Lettrage)
Studio 56
(Autres)
10/2005 44 pages 2864971704 Format normal 51223
De retour de la chasse et après avoir consommé de la potion magique, Astérix et Obélix découvrent que tous les villageois sont figés, à l’exception de Panoramix qui a bu lui aussi de la potion magique. Cette situation invraisemblable est due au champ magnétique émis par un énorme vaisseau extra-terrestre sphérique stationné au-dessus du village. Toune, le chef du vaisseau, débarque et explique qu’il a pour mission de confisquer la potion magique avant que les méchants Nagmas ne s’en emparent pour devenir les seuls maîtres de l’univers.
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Tome 1 -
Tome 2 -
Tome 3 -
Tome 4 -
Tome 5 -
Tome 6 -
Tome 7 -
Tome 8 -
Tome 9 -
Tome 10 -
Tome 11 -
Tome 12 -
Tome 13 -
Tome 14 -
Tome 15 -
Tome 16 -
Tome 17 -
Tome 18 -
Tome 19 -
Tome 20 -
Tome 21 -
Tome 22 -
Tome 23 -
Tome 24 -
Tome 25 -
Tome 26 -
Tome 27 -
Tome 28 -
Tome 29 -
Tome 30 -
Tome 31 -
Tome 32 -
Tome 33 -
Tome 34 -
Tome 35 -
Tome 36 -
Tome 37 -
Tome 38 -
Tome 39 -
Tome 40 -
HS
Dans cet album qui sera son dernier, Uderzo détruit son univers avant de le quitter. Doublement triste à pleurer.
C'est le seul album d'Astérix que je n'ai pas dans ma bibliothèque !
Pourquoi ? Je l'ai acheté, pour compléter la série, comme tout le monde...et puis je l'ai lu. Catastrophe absolue. Je me suis empressé de l'offrir à un neveu très jeune, très très jeune. Je n'aurais pas eu ce neveu, je le jetais à la poublelle !
Une catastrophe. Mieux vaut avoir un trou dans sa collection que d'avoir cet album dans sa bibliothèque.
Une catastrophe, à la limite de l'accident industriel. Scénario inepte, et sans doute un peu raciste/réac, dessins minimalistes et souvent sans décors, les rares blagues sont explicitées par des petites notes en bas de page... heureusement qu'Uderzo a lâché la rampe après cet album. Une purge de bout en bout
Mettre des extra terrestres dans Astérix. Une horreur.
Une belle bouse .
Parmi les extra terrestres. On a des clones de Superman. Incroyable.....
Je "plussoie" à toutes les mauvaises critiques: Uderzo se dépêche de sortir de la m**** pour assurer ses vieux jours; L'argent n'a pas d'odeur. Heureusement pour moi, loin d'être tombé de la dernière pluie, je visite toujours une BD à la bibliothèque communale avant d'aller jeter mon argent par les fenêtres (ou dans les poches des ces massacreursqui font se retourner dans sa tombe le seul VRAI scénariste de cette BD (et de bien d'autres) Zéro!
Insignifiant Un album pour tout jeune enfant ou ado retardé Sauf le dessin le scénario est honteux, pourris Un album pour allumer son foyer
Quel honte d'avoir fait une si mauvaise BD, d'avoir sali une si belle série de l'univers de la bande dessinée.
Un véritable malheur, c'est en lisant des BD aussi débiles qu'on a une mauvaise image de la BD.
Quand à l'histoire, elle est sans dessus dessous !!!
A fuir absolument !!!
Un scandale ! Ce titre mérité d'être brulé. Tout est débile ...
Je ne souhaite même pas à mon pire ennemi de lire cette purge !
Le summum de la nullité. Un univers bafoué, une histoire débile, tout est à jeter. On est loin de la double lecture et des jeux de mots Goscinnyens ! Ce sera heureusement le dernier Uderzo et ce n'est pas un mal, on se demande ce qu'il aurait pu inventer de plus stupide après celui-là ! Cet album est sans intérêt à part celui de gonfler un peu plus le compte en banque de l'auteur !
Catastrophe industrielle grave !
Uderzo le dit à la fin, il a voulu rendre hommage à Walt Disney... en faisant: n'importe quoi !
Heureusement, Uderzo a jeté l'éponge ensuite et cédé la plume.
une aventure d'astérix sans intêret, albert uderzo est un exelent dessinateur mais malheureusement un mauvais scénariste, rené goscinny n'aurrait jamais fait une histoire comme ça, nul de chez nul, pauvre astérix
Le ciel lui tombe sur la tête, les bras m'en tombent et l'album m'en tombe des mains.
Inutile de chercher des excuses à Uderzo, c'est l'album de trop créé pour toucher les droits sur 2 à 3 millions de ventes à la nouveauté.
Je ne l'ai pas encore brulé, de peur qu'il devienne rare et qu'il soit recherché.
Merdique 1000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000 de fois. Pauvre Goscinny...!
laissez moi éclairer votre lanterne.
pour ce 33ème album, (réference à la franc maçonnerie évidente), Je constate amèrement, en lisant les critiques faciles que peu ont saisi le message de ce 33ème album. Si je mentionne la Franc maçonnerie ( ref au 33è degrès) c'est que l'auteur a ici délivré un message en dénonçant la technologie militaire américaine secrête mise en oeuvre pour la domination mondiale, sous couvert d'une pastiche INCOMPRISE du petit monde de la conspiration.
pèle mêle, je vous fais la lecture :
l'extra terreste est un MICKEY déformé ( gants blancs avec 3 à chaque main 33°,) pour insister, il apparait meme en noir et blanc dans l'album pour les mous du cerveau - MICKEY représentant le projet MONARCH (MK = mickey) il represente la manipulation mentale orchestrée par les états unis sur le monde.
le SUperman represente evidement la "police du monde" symbole de l'impérialisme américain, lui aussi sorti de la "sphère"
ces sphère d'ailleurs sont utilisées par les américains pour le contrôle mental à distance : ce controle est dénoncé dès le début de l'album, avec les personnages figés , petrifiés par ondes ( ces ondes qui servent à laver le cerveau des gaulois , d'ailleurs, à la fin de l'histoire pour leur effacer la mémoire : précisément ce sur quoi le projet monarch est basé.
quand à la bataille entre les deux races extra terrestres, ici l'auteur dénonce le "projet blue beam" dénoncé par SErges Monast dans les années 80, c'etait un projet qui a la base devait faire croire aux humains qu'une menace extra terrestre sera évités grâce aux sauveurs américains. précisément ce à quoi nous assistons dans la scène entre insectes et les super mans.
bref, les USA semblent sauver le monde dans cet album, tout comme l'imperialisme l'a fait pour la seconde guerre et comme il le refera dans quelques années.
bref, si t'as rien compris à ce que j'ai écrit, c'est normal que t'aies rien compris à l'album (que je trouve moi aussi complètement nul si on ne saisi pas le message) 5 étoiles pour avoir eu les couilles de dénoncer cette technologie. Je connais 2 personnes mortes assassinées pour l'avoir fait (plus directement) justice est rendue, mes hommages à l'auteur.
album qui aurait pu etre mieux mais il faut savoir lire entre les lignes ou il rend aussi bien hommage à la culture des cartoon et aussi une critiques des mangas
Aie aie aie quelle catastrophe !!!!! C'est affligeant de voir un album aussi médiocre !!!!!! Depuis quelques albums c'est atroce ! Album inutile car médiocre
C'est quand même dommage que le dernier album d'Uderzo soit celui là...
Quitte à faire continuer la série il (ou plutôt les éditions Albert René donc la fille d'Uderzo) ont eu raisons de déléguer à d'autres
Quand le pognon devient plus important que l'art et la création.
Goscinny est vraiment mort.
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1,2/5 c'est encore trop pour se torchon. cette album méprise l'univers du manga et du comics auquel il tente de faire de faire soi disant référence, cette BD rate tout ces effets sans même se demander si il elle a les moyens de les faire, bref A FUIR.
Souvent descendu en flèche, cet album n'est pas le navet que certains veulent faire croire qu'il est est! Alors oui c'est le meilleur Astérix, alors oui le scénario brille pas par sa profondeur...mais les références aux mangas japonais et aux Etats Unis m'on beaucoup fait rire!
Une belle bulle pour un album sans intérêt, on se demande encore ce qui est passé par la tête d'Uderzo...
Quelque chose ( le ciel? ) est tombé sur la tête d'Uderzo.
Pauvre Walt Disney, à qui cet album est censé être un hommage!
Pauvre Goscinny, associé malgré lui sur la couverture de ce pitoyable album!
Dans certaines aventures peu inspirées, on pouvait ça et là se laisser arracher un sourire, se consoler avec un style graphique si particulier.
Ici pas la moindre ébauche de tremblement de lèvre pouvant s'apparenter à un sourire, et le dessin carricatural à l'excès quand il s'agit de dépeindre de grotesque extra-terrrestres donne carrément envie de pleurer, ou peu s'en faut.
J'ai revendu cet opus avec précipitation parce qu'indigne de figurer dans une collection de bandes dessinées digne de ce nom.
De qui se moque-t-on ? Du lecteur bien sûr.
Un tissu d'inepties.
Quand on a plus rien à dire, il vaut mieux s'abstenir plutôt que de continuer à polluer l'atmosphère avec un ramassis de stupidités.
J'oublie que même ça (je ne trouve pas que ça mérite le nom d'album) rapporte de l'argent : c'est de la prostitution.
A boycotter. C'est nullissime. L'album qui discrédite la série géniale. Je refuse de l'acquérir. Si on me le donne, je le mets dans la poubelle "recyclable". Uderzo devrait être condamné devant un tribunal pour haute trahison.
Je ne sais vraiment pas s'il faut en rire ou en pleurer. Je sais vraiment pas s'il faut le lire au second degré, mais j'en doute vu le lectorat auquel s'adresse ce dernier (?) opus d'Astérix. Si c'est au second degré, ce "combat des chefs" raté entre l'école franco-belge et les mangas relève plus d'un combat d'arrière garde, Uderzo semblant en effet rester figé dans les années 80, ayant fait fi des décennies suivantes. Les extra terrestres grotesques, (du télétubie à la sauterelle, en passant par Goldorak), se fondent mal dans l'univers d'Astérix le gaulois. Mais nous avions déjà eu des prémisces d'un univers fantastique insolite dans "La galère d'Obélix", album très pauvre au niveau scénario. Et que dire des effets à retardement de la potion magique sur notre Toon, qui montrent, une fois de plus, qu'Uderzo a besoin d'artifices pour tenir ses 44 pages traditionnelles. Si le dessin d'Uderzo est toujours aussi alerte, voire très bon, je ne peux que regretter le grand nombre de planches sans paysage (relisez-le, les décors sur fond bleu sont légions-romaines o-)))-) Cet hommage, voulu à Walt Disney, méritait-il un scénario aussi pauvre ? Enfin, il reste quelques bonnes réparties, les "oui chef" des romains, l'obsession d'Obelix pour ses sangliers et nos yeux pour pleurer (de rire ?). Sans vouloir semer la zizanie, la seule chose positive qu'il faut retirer de cet album, c'est la version crayonnée qui permet d'admirer le fantastique travail du dessinateur Uderzo (à ne pas confondre avec un certain Uderzo, scénariste). Alors baroud d'honneur d'un auteur écrasé par le poids du marketing, ou autodérision ? On peut en douter lorsqu'à la planche 45, le toon dit "moi, aussi, je peux faire des miracles ! afin de faire oublier cette aventure grotesque, je vais faire en sorte que les gaulois n'en gardent aucun souvenir!" Moi aussi, j'aimerais n'en garder aucun souvenir.... Les enfants adoreront peut-être, (encore qu'avec un tirage de plus de 3 millions d'exemplaires, on se demande si cette bd est vraiment faite pour eux ; et puis Goldorak ; ce n'est plus leur génération, non ?) signe sans nul doute que j'ai vieilli..
En français cela s'appel un hors sujet, quel gâchi...Astérix et les extra-terrestres.
En tant que fan de la série je dit STOP aux albums commerciaux.
Une nullité totale ! L'ambiance n'y est plus du tout, les gags sont forcés, tellement lourds qu'on ne rigole même plus. Il est temps d'arrêter le massacre.
vraiment pitoyable, Uderzo ne sait plus quoi faire pour remplir ses cases...
Qu'il prenne un scénariste au lieu de continuer à saccager cette série, c'est quand même pas les scénaristes de talent qui manquent
Par égard au passé d'Uderzo du temps de sa collaboration avec Goscinny, j'ai mis 1, mais c'est bien payé au regard d'un album pathétique à des années lumières du monde crée par Goscinny. J'ai commencé par lire cet album avant de le survoler dès les premières pages pour en finir au plus vite. Il y avait déjà les trois films archi-nuls, il y aura maintenant un album du même bois. De plus, Uderzo ayant vendu ses parts des éditions Albert René à Hachette, on se demande ce que va devenir ce monument de la BD française.Il faut savoir s'arrêter à temps
Après une longue agonie débutée avec le Grand Fossé, et malgré un ou deux sursauts (Rahazade, le Fils), Astérix vient de rendre l'âme de la pire des façons : torturé jusqu'à ce que mort s'ensuive par son propre père ! Cet album est pathétique du début à la fin, et d'autant plus pathétique qu'il s'agit du monument Astérix. En refermant l'album je me souviens avoir eu les mains moites et la tête vide (peut-être même que j'ai fait un arrêt cardiaque, c'est pas impossible). Depuis, pas moyen de rouvrir la BD : je n'ose tout simplement pas. J'ai tous les autres albums de la série, alors je garde celui-là, sans trop savoir pourquoi, et en espérant qu'il s'agisse bien du dernier...
Cela ne faisait pas de doute que, sans Goscinny, la série des Atérix avait surtout profité d'une réputation qui dépassait de beaucoup le véritable intérêt qu’il y avait lieu de lui porter ; mais là.... L'idée même qu'un proche puisse nous l'offrir par inadvertance alors que l'on s'en était débarrassé est effrayante!
Que faire de cet objet?
- le brûler
- le déchirer
- l'offrir à son pire ennemi
- le renvoyer en recommandé à Uderzo avec des "remerciements"
En aucun cas il ne faut :
- le ranger dans sa bibliothèque à coté des autres Astérix
- le donner à un enfant ou une personne découvrant la BD...
Cet album surpasse de très loin en déchéance toutes les prolongations de séries
cultes. (Lucky luke, Spirou...). Je crois que les derniers scrameustaches sont mille
fois plus intéressants.
Je pense qu'on nous offre là le pire opus d'Astérix et c'est même que ce que je craignais. Malgré quelques albums sympathiques réalisé seul (la galère d'Obélix, ...) Uderzo s'est complètement planté. C'est l'album de trop, tout simplement, celui qui fait dire à tout le monde que cette fois, cà ne peut pas être pire. Espérons-le ...
Le jour de sa sortie, je me suis précipiter à 7 heure du matin pour aller acheter le nouvel Astérix. Quel déception de voir nos héros dans une si navrante aventure.
Les dessins, ne sont pas superbes, avec cette grosse boule dorée (sans compter le découpage des planches), mais le scénario, lui, est catastrophique.
Je pense qu les gens qui lisent Astérix, l'aiment, parce que ça se passent du temps gaulois, avec des romains, des baffes et de la potion.
si l'on veut un héros avec des OVNI et extra-terrestres, on achètent une BD, qui s'y prète....... Hélas, ici, ce n'est pas le cas. Quel gachis.
Chaque fois que Uderzo a essayé de rattraper un scénario par des effets spéciaux, ce fut catastrophique. Nous avions déjà eu droit à une séquence grotesque dans ‘Le grand fossé’ avec des Romains tour à tour géants puis nains. La ‘Traviata’ est un autre exemple ou l’auteur fait du remplissage avec un Astérix fou, bondissant et finalement sauvé des eaux par (clin d’œil ?) Oum le dauphin.
Et maintenant, que dire d’un album presque sans humour ou l’entièreté du scénario est basé sur des soucoupes volantes et des petits hommes verts ?
Bref l’album que l’on aurait souhaité ne jamais voir publié.
Mon dieu mais c'est sur notre tête qu'il est tombé le ciel c'est pas possible. Comment Uderzo a pu nous pondre un "scénario" encore plus minable que Latraviata (j'aurais pas cru ça possible). Pas la peine de s'y attarder davantage passez votre chemin il y a beaucoup mieux à acheter.
Il ne faut pas exagerer ,ce n'est pas non plus une M..de, ce n'est pas le meilleur des asterix mais quand meme il y a pire , le dessin est quand meme la, bon le senar est un peu gros mais on sourit,
Passez votre chemin, il n'y a rien à voir : c'est bête à pleurer, ça dépasse l'entendement, c'est laid, c'est le niveau zéro de tout ce qu'on peut imaginer. Je préfère encore les mangas de mon fils, ce n'est pas plus laid, mais au moins, là, il y a un semblant d'histoire...
Au risque de donner un avis résolument proche de celui d'une majorité, il est difficile de trouver les points positifs dans cet album. Si on peut malgré tout apprécier le dessin de Uderzo qui reste toujours égal à lui-même on peut reprocher de nombreuses choses au scénario, aux répliques ainsi qu'au découpage. Pour le premier, je ne vais pas m'étendre, tout le monde a déjà donné son avis et je pense que le mien rejoint la grande majorité de ceux-ci. Les répliques par contre sont totalement réchauffées, Obélix qui au final ne dit qu'un mot durant toute l'histoire "Sanglier", on a déjà vu ça et le personnage était beaucoup plus charismatique à une époque plus glorieuse. Uderzo le réduit ici au personnage bougon et gourmand tel un bon cliché de son personnage en oubliant tout le côté relationnel et drôle de celui-ci. Astérix est quant à lui inexistant. Uderzo tente tant bien que mal de lui faire dire des jeux de mots par-ci par-là mais tant est de constater que ça ne fonctionne pas, je ne pense pas avoir esquissé le moindre sourire et pour la première fois, j'ai dû m'y reprendre à deux fois pour finir la bd. Le découpage enfin, ... je vous renvoie juste à une certaine page, découpée en quatre grosses cases difficilement acceptables eu égard à la renommée de l'auteur...vous savez, la fameuse planche où la fusée des méchants et bloquée par la "boule" des gentils extraterrestres? Qui, à l'heure actuelle se permettrait de faire ça? A croire qu'il voulait terminer son album plus rapidement au risque de le bâcler.
Bref, 33, numéro de l'album se veut hautement symbolique, la fin d'une époque, celle d'une série probablement (et heureusement à la lecture de ses trois derniers opus). 33 c'était l'âge du Christ à sa mort et c'est aussi ce que le docteur demande de dire quand vous êtes malades. Car la série à l'heure actuelle est belle et bien malade et probablement très proche de l'agonie...
Un mauvais pastiche ? Non, c'est pour de vrai. Bon, ben on doit s'y faire, Astérix c'est terminé, depuis bien lontemps d'ailleurs... Quel naïf ai-je encore fait sur ce coup là.
Rien il ne se passe rien d'intéressant, et ces superman qui volent...
Autant le tapis volant de shérazade passait, c'était dans l'esprit potion magique mais là...
Je considére le dessin est très bien mais ce n´est pas suffisant pour s´améliorer le reste.
ASTERIX sans Goscinny cést impensable!!! MERCI
Considero que el dibujo está muy bien pero eso no es suficiente como para mejorar el resto del album.
Asterix sin Goscinny es impensable. GRACIAS
Voici le trente troisième album d'une des séries les plus lues en France qu'est Astérix. Uderzo c'est le moins que l'on puisse dire à fait tres fort. Des les premieres pages c'est tres déroutant , est-ce un mauvais rêves ? L'auteur mélange un peu tout les genres et surtout casse les frontieres qu'il s'était fixé avec Goscinny.
Uderzo dépeint la société actuelle avec une lecture à plusieurs niveaux propres aux albums d'Asterix digne de ce nom, mais le message est assez confus, regle t-il ses comptes avec le monde la Bd ou est-ce une crtique de tout ce qui se passe dans le monde sur le plan politique internationale...?
Le dessin quant à lui est une prouesse artistique de Uderzo qui à 78 ans continu avec brio à nous en mettre plein la vue. Les couleurs "flashent" un peu mais c'est de bonne guerre.
Le point négatif de l'album c'est que les personnages que sont asterix et Obélix sont un peu relayés au second plan.
Pardon pour ce jeu de mot facile, mais cette fois le ciel lui est vraiment tombé sur la tête. Uderzo n'a jamais été un scénariste génial mais là on touche le fond. Pas drole, pas d'histoire....J'ai bien peur que notre Astérix soit mort. A moins qu'un clone de Goscinny nous revienne.......
C'est la fin... Cela fait un certain temps qu'Uderzooooooooooo aurait du demander l'aide d'un jeune écrivain, mais là Asterix touche le fond. Impossible de redresser la barre. Domage. C'est la fin du mythe...
Excusez-moi mais je vais dénoter de la masse...
Si on s'arrête à l'analyse "ras des paquerettes", on ne peut pas apprécier cet album, c'est évident.
L'intention d'Uderzo est de pousser un coup de gueule envers le monde de l'édition (il ne faut d'ailleurs pas non plus attendre que les éditeurs accueillent bien cette BD)... en aucun cas il ne s'en prend au manga ou au comix... la preuve est qu'il lance quelques piques aussi envers la BD franco-belge... il dénonce purement et simplement le monde éditorial.
Son intention est tout a fait louable quand on voit ce que nous font certains éditeurs.
Après, la manière employée... j'ai eu du mal au début mais m'y suis parfaitement fait. Il employe simplement les mêmes méthodes de "bourrin" que les éditeurs... il "combat" à armes égales...
Cet aspect "bourrin" est tout à fait voulu de la part d'Uderzo, pourtant, même si peu s'en rendent compte, l'album cache plus de subtilité qu'il y en a l'air...
Si on ne lit qu'au premier degré, on pense ce que beaucoup disent ("c'est de la merde", "c'est nul" etc etc) mais si on creuse un peu, on s'aperçoit que l'album en dit plus long qu'il n'y paraît.
Uderzo, de par le fait qu'il est sa propre maison d'édition et de part sa notriété, est un des seuls auteurs à pouvoir balancer si ouvertement... il tire le signal d'alarme.
La fin (ce que bcq regrette aussi... je ne vais pas dire de quoi je parle pour ne pas gacher la lecture de ceux qui ne l'ont pas encore lu... mais vous vous souvenez de la fin si vous l'avez lu et vous comprendrez de quoi je parle)... donc la fin, permet de tout remettre à plat et Uderzo nous dit simplement : "J'ai fini de gueuler... tout peut reprendre comme avant mais n'oubliez pas ce que je vous ai dit".
Pour moi cet album est un signe de courage de la part d'Uderzo qui prend des risques (pas financiers ni de notoriété) en sachant parfaitement que son message pourra être mal interprété... et a priori, il l'est par la plupart qui ne voit dans cette BD qu'un "anti-manganisme" et un "anti-comixisme" flagrants... c'est bien dommage.
Mais je persiste et je signe (de mon pseudoi seulement !!!) cet album vaut le coup d'être lu... au 2nd voire au 3ème degré... et j'ajouterai que Monsieur Uderzo est un grand homme de la BD et qu'il le restera à jamais.
Pardonnez moi pour cette lamentable fautre de note .
Complètement débile...
Extrait des journeaux du groupe "Vers l'avenir" (Belgique)
Une aventure grotesque au titre prémonitoire.
Voici l'histoire. Deux groupes d'extra-terrestres rivaux, les gentils Tadsylwiens et les méchants Nagmas débarquent au pays d'Astérix avec la même intention : s'emparer de la fameuse arme fatale (lisez la potion magique) gauloise qui devrait permettre à l'un des deux peuples de s'assurer la maîtrise définitive de l'univers...
Sans commentaires...
Je trouve que l'avis de la RTBF correspond parfaitement à mon ressenti : ""Un album qui dénature complètement l'univers d'Astérix et Obélix, les deux héros en sont réduits à faire de la figuration, tandis que deux hordes d'extraterrestres envahissent leur village. Visiblement à court d'idées, Uderzo signe un scénario débile truffé de décors dignes d'un parc d'attraction", estime la radio-télévision belge RTBF.
Uderzo qui répéte à envie depuis début Octobre qu'après lui la série sera finie car pour lui personne d'autre que lui ne pourrait conserver le vrai style "Astérix" surtout dans le scénario. Eh bien Mr Uderzo n'ayez pas cette crainte, vous venez de faire ce que vous redoutiez le plus.
J'espère simplement que cette BD ne sera pas la dernière de la série. Il serait dommage qu'une série, digne du patrimoine culturel européen, se termine comme ça: dans le mercantilisme, dans l'allégence à la culture américaine, dans le scénario vide de sens. Alors qu'elle était un des emblémes de la BD belges et de la culture francophone. Ce serait une triste épitaphes.
Allez Mr Uderzo un petit dernier, digne de vous et Mr Goscinny, histoire de finir en beauté comme le mérite Astérix et Obélix.
Franchement très très déçu... Tout l'esprit et l'univers d'asterix foutu en l'air... Pas de scénario, les mêmes Gimmicks des autres albums...
je crois que je faisais partie des rares qui appréciaient les derniers Asterix,mais,la ,catastrophe,le ciel lui est vraiment tombé sur la tete,
on a l'impression que le scrameustache et les teletubbies se sont invités chez les gaulois,ce qui passe admirablement dans Thorgal jure ici à chaque case,je me suis fait violence pour arriver au bout de cette vacuité scénaristique,achevé par la lourdeur de l'explication de l'anagramme (tsaldywienmachinchose),à pleurer!
Je suis un admirateur de cette série qui a baigné ma jeunesse est qui m'étonne toujours autant quand je relis un album.
Certain n'aime pas l'un ou l'autre album, mais je suis certain qu’en ce qui concerne celui-ci, tous le monde sera d’accord il est NUL comme la note que je me suis permis de lui donner. J’ai honte pour l’auteur et que Goscinny lui pardonne il n’a certainement pas compris ce qu’il faisait.