Astérix
15. La zizanie
Une BD de René Goscinny et Albert Uderzo chez Dargaud - 1970
04/1970 44 pages Format normal 30 à 50 euros 22960
Afin de retrouver du crédit auprès du Sénat, César décide de faire disparaître le village des irréductibles Gaulois. Il va confier à Tullius Détritus le soin de semer la zizanie chez nos amis. Son entreprise de guerre psychologique va commencer en présentant Astérix comme « l’homme le plus important du village », ce qui va sérieusement mettre à mal l’orgueil d’Abraracourcix. Le bruit va ensuite courir qu’Astérix aurait vendu la potion magique aux Romains. Les rumeurs vont semer la discorde dans le village. Finalement, la sagesse de Panoramix et... Lire la suite
-
Tome 1 -
Tome 2 -
Tome 3 -
Tome 4 -
Tome 5 -
Tome 6 -
Tome 7 -
Tome 8 -
Tome 9 -
Tome 10 -
Tome 11 -
Tome 12 -
Tome 13 -
Tome 14 -
Tome 15 -
Tome 16 -
Tome 17 -
Tome 18 -
Tome 19 -
Tome 20 -
Tome 21 -
Tome 22 -
Tome 23 -
Tome 24 -
Tome 25 -
Tome 26 -
Tome 27 -
Tome 28 -
Tome 29 -
Tome 30 -
Tome 31 -
Tome 32 -
Tome 33 -
Tome 34 -
Tome 35 -
Tome 36 -
Tome 37 -
Tome 38 -
Tome 39 -
Tome 40 -
HS -
TL
Ce Détritus est vraiment une horrible fripouille ! En tout cas un personnage capable de "tenir" un scénario complet, riche et qu'on relit à tout âge! Goscinny est ici au top de sa forme, Uderzo lui est parfaitement associé... quelle équipe !!! Tout fonctionne, s'imbrique, coule tout seul ! une merveille !
rené goscinny au meilleur de sa forme,une aventure bourrée d'humour,je peut relire cet album 50 fois je rigolerais toujours autant
Peut-être le meilleur épisode, un scénario somptueux qui tourne autour d'un personnage plus vrai que nature, couplé à une qualité de dessin exceptionnelle, avec en prime une méga-bagarre finale, que demander de plus?
Album en tout point remarquable, dans la lignée des meilleurs épisodes : drôle, original, avec des personnages secondaires forts appréciables (Tullius Détritus est juste exceptionnel, repoussant à souhait, y compris dans sa représentation graphique). La bataille finale est mémorable, et le running-gag de la guerre psychologique est hilarant.