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L’Association en Inde, c’est une joyeuse bande d’auteurs de bande dessinée qui font un périple avec leur famille à travers ce pays fascinant. Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’on n’apprendra pas grand chose. C’est vraiment dommage lorsqu’on axe son récit sur un pays particulier. C’est censé être un documentaire sur l’Inde.
Encore une fois, je reconnais la patte si caractéristique de Guy Delisle qui insiste sur des détails liés au manque de confort que tout occidental est en droit d’attendre. Cela en devient presque énervant de tout tirer de l’anecdotique. Ainsi parce qu’ils ont quitté la place deux jours avant le terrible tsunami, ils auraient pu y rester. Oui, ça m’énerve tous ces gens qui vont en Inde et qui ne sont pas capables d’avoir un regard approprié !
Le premier récit est sans doute le plus réussi même d’un point de vue graphique. Bon, il était difficile de faire pire… Sur le fond, on apprendra qu’il ne vaut mieux pas circuler dans un bus bondé de ce pays. Merci pour l’info mais encore ? Les habitants ont un rapport étrange avec la mort. Vous pourriez crever à côté d’eux qu’ils ne réagiraient même pas. Ah bon ? On nous explique que c’est lié à des questions religieuses où l’âme serait transférée dans un autre corps. Espérons que cela soit la bonne théorie. Mieux vaut d’ailleurs ne pas la mettre en application car on ne peut jamais vérifier.
Le guide du routard se paye une sacrée critique. Pour l’avoir abondamment pratiqué l’année dernière, je dois dire que les conseils donnés m’ont beaucoup aidé dans la découverte d’un pays. Du coup, je trouve cette remarque injustifiée.
Voilà, voilà. Vous aurez compris qu’on peut passer à côté car cela n’apporte pas grand chose.
L’Association en Inde, c’est une joyeuse bande d’auteurs de bande dessinée qui font un périple avec leur famille à travers ce pays fascinant. Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’on n’apprendra pas grand chose. C’est vraiment dommage lorsqu’on axe son récit sur un pays particulier. C’est censé être un documentaire sur l’Inde.
Encore une fois, je reconnais la patte si caractéristique de Guy Delisle qui insiste sur des détails liés au manque de confort que tout occidental est en droit d’attendre. Cela en devient presque énervant de tout tirer de l’anecdotique. Ainsi parce qu’ils ont quitté la place deux jours avant le terrible tsunami, ils auraient pu y rester. Oui, ça m’énerve tous ces gens qui vont en Inde et qui ne sont pas capables d’avoir un regard approprié !
Le premier récit est sans doute le plus réussi même d’un point de vue graphique. Bon, il était difficile de faire pire… Sur le fond, on apprendra qu’il ne vaut mieux pas circuler dans un bus bondé de ce pays. Merci pour l’info mais encore ? Les habitants ont un rapport étrange avec la mort. Vous pourriez crever à côté d’eux qu’ils ne réagiraient même pas. Ah bon ? On nous explique que c’est lié à des questions religieuses où l’âme serait transférée dans un autre corps. Espérons que cela soit la bonne théorie. Mieux vaut d’ailleurs ne pas la mettre en application car on ne peut jamais vérifier.
Le guide du routard se paye une sacrée critique. Pour l’avoir abondamment pratiqué l’année dernière, je dois dire que les conseils donnés m’ont beaucoup aidé dans la découverte d’un pays. Du coup, je trouve cette remarque injustifiée.
Voilà, voilà. Vous aurez compris qu’on peut passer à côté car cela n’apporte pas grand chose.