Info édition : Dossier de 13 pages en fin d'album.
Info édition : Noté "Cet album a fait l'objet d'un tirage limité de 400 exemplaires, numérotés, signés, bénéficiant d'une couverture alternative et d'un carnet graphique supplémentaire de 8 pages. Ce tirage est réservé exclusivement aux souscripteurs Ulule, ainsi qu'aux auteurs et à leurs collaborateurs. Il est numéroté de 1 à 350/350 et de 1 EA à 50EA/50". Contient, en sus du carnet graphique initial, une préface d'une page par Alain Genot, et un dossier de 13 pages en fin d'album. Accompagné d'un tiré à part de la couverture de l'édition courante et d'un marque-page.
Une très bonne série, indispensable pour tout amateur de bd historique. Du bon boulot de la part des auteurs, il ne faut pas hésiter à participer aux crowdfunding à chaque nouveauté, cette série mérite de se poursuivre. J'espère quand même que les auteurs ne la feront pas s'étirer sur trop de tomes, déjà 6, et même si chaque tome est un régal, il serait bon de savoir qu'un conclusion se profile à l'horizon.
Dans la continuité de ses prédécesseurs : vraiment passionnant !
Une série fort plaisante aux traits toujours subtiles et précis. Les paysages, les rues, l'architecture... Tout est fait pour nous plonger dans cette Arles Antique avec délectation.
J'attends, la suite comme d’habitude avec cette série !
Encore un album de grande qualité avec plusieurs histoires qui continuent et se superposent.
La corporation des nautes veut profiter de l’incendie qu’elle a provoqué en rachetant les terrains aux habitants qui se retrouvent démunis. Elle leur offre même la reconstruction de leurs maisons sur un autre lieu loin du fleuve. Malheur à ceux qui n’accepteront pas comme Attius qui finira étouffé par Tiberius le père de Neiko.
Quand à Crassus englué dans son affaire de fausse monnaie il aura fort à faire avec le cruel Hortensis qui ne supporte pas d’avoir été berné. La vengeance sera terrible.
Vitalis, quant à lui, réussira à revoir son ex épouse Carmilia qui ne lui a toujours pas pardonné ses travers et lui avouera avec cruauté qu’avec son nouveau mari ils ont exposé son fils (laissé à l’abandon dans la rue jusqu’à ce qu’il meurt ou soit recueilli). Certaines personnes pour conserver leur statut sont prêtes à tout et Carmilia est de celles-ci.
Dessins magiques toujours avec ces tons sépias qui donnent un cachet d’authenticité à cette série. La vie à l’époque romaine sans légion, sénat ou empereur comme le dit Alain Genot dans sa préface. Bravo !