Info édition : Avec un dossier de 10 pages en fin d'album sur Arelate.
Info édition : Album de 72 pages (dont 48 de BD, 11 de carnet pédagogique et 8 de carnet graphique). Noté "Cet album a fait l'objet d'un tirage limité de 450 exemplaires, numérotés, signés, bénéficiant d'une couverture alternative et d'un carnet graphique supplémentaire de 8 pages. Ce tirage est réservé exclusivement aux souscripteurs Ulule, ainsi qu'aux auteurs et à leurs collaborateurs. Il est numéroté de 1 à 400/400 et de 1 EA à 50EA/50". Contient, en sus du carnet graphique initial, une préface d'une page par Dominique Garcia (président de l'Inrap), et un dossier de 11 pages en fin d'album. Accompagné d'un tiré à part de la couverture de l'édition courante.
Une série toujours attachante où l’intrigue prend de l’épaisseur (complot, trahison...). Les dessins et cette charmante colorisation "sepia" sont à nouveau un ravissement pour les yeux et on retrouve avec plaisir cet Arles antique centre de bien des débats.
Ravis d’avoir participé à la publication de cet album via le site de crowdfunding "Ulule".
Série à découvrir !
Vitalis, joueur invétéré, a perdu femme et enfant. Sa femme s’est éloignée de ses vices en trouvant un autre homme à Lugdunum. Vitalis ne rêve que de la reconquérir, mais ayant perdu son travail de tailleur de pierres il est obligé de s’engager comme gladiateur.
Dans ce nouvel épisode, Vitalis attend le résultat de la personne qu’il a engagée pour trouver des informations concernant sa femme et son fils. Malheureusement, celui-ci est un escroc qui se contente de prendre l’argent de Vitalis sans contrepartie. Son ami Tillius lui ouvrira les yeux sur cette escroquerie.
Plusieurs intrigues se mêlent parfaitement dans cet album. Ainsi, on peut assister à l’affrontement entre deux crapules Hortensis et Crassus empêtrés dans une histoire de fausse monnaie.
L’histoire se termine avec un immense incendie initié par la corporation des nautes lancées elle aussi dans une affaire malhonnête.
Arelate (aujourd’hui Arles) est le centre de toutes ces histoires. L’originalité, par rapport à Murena de Dufaux et Delaby, est de montrer la vie de personnes du commun à l’époque romaine.
Les tons sépias des albums d’Arelate s’harmonisent magnifiquement avec cette époque révolue. Du grand art, et pour les amoureux de la Rome antique, cet épisode d’Arelate se termine par un dossier pédagogique détaillé effectué par des archéologues de l’INRAP.
Bravo et merci pour cette excellente BD.