1. Le déluge | michel.jottard | Comme neuf | 9.50€ | |
1. Le déluge | danibou | Comme neuf | 9.00€ | |
1. Le déluge | largowinch11 | Comme neuf | 9.00€ | |
1. Le déluge | largowinch11 | Comme neuf | 9.00€ | |
1. Le déluge | jim mac clure | Très bon état | 8.00€ |
Info édition : tirage 199 ex, 1 ex-libris, carnet croquis 8 pages, couv inédite, dos toilé
Pour une fois le dessin me plaît mais pas l'intrigue... Que je suis vraiment difficile! Et pourtant, c'est signé par l'un de mes scénaristes préférés. Mais bon, c'est comme ça : cela passe ou pas !
Tout d'abord, il y a toutes ces cases qui nous abreuvent de mots rares et argotiques qu'il faut rechercher dans un glossaire situé à la fin de l'album. C'est pas marrant et surtout pas pratique.
Maintenant, j'ai bien apprécié la description de ce monde un peu fantastique. Il y a véritablement une ambiance gothique que j'apprécie. Néanmoins, ces compagnons qui ressemblent à des farfadets et cette Sally qui a la tête d'une sirène.
Finalement, cela manque de profondeur et on n'y croit pas une seconde. Il manque de la magie. Pourtant, il y a bien un Harry dans tous ces personnages. Cependant, c'est pas celui qu'on connaît tous communément !
Un premier tome surprenant qui relève plus du conte que de la BD.
Les dessins sont extraordinaires de simplicité.
Une histoire à suivre sans nulle doute.
7/10.
Cette série est vraiment d'un bizzare.
D'une part pour son dessin qui est assez spécial, de mon coté j'en suis pas trop fan, de l'autre le scénario est très spécial, du fantastique mais pas facile à bien cerner.
Un jeune étudiant en médecine décide de quitter subitement ses études parcequ'il a révé d'une fille qui allait etre noyé.
Voici un album quelque peut hors du commun. Malgrès un début peu crédible pour le moment (sous réserve d'une explication satisfaisante qui interviendrait dans la suite de l'histoire) ce polar fantatisque est plutôt réussi. L'intrigue mêle enquete et science de manière étroite sans être très rébarbative. Le monde dans lequel se déroule l'histoire est relativement restreint ce qui limite les possibilités d'évolution mais peu être consiéré comme une garantie de ne pas avoir une série à ralonge. Cependant le plus génant reste quand même le vacabulaire particulier des habitants de ce monde. Certe il y a un glossaire en fin d'album pour expliquer certaines expressions mais s'y référer systématiquement casse la lecture et empêche le lecteur de bien "s'imprégner" de l'histoire.
Le dessin est plutôt pas mal et la mise en couleur superbe et rend parfaitement l'aspect assez étrange de ce monde et des évènements qui s'y déroule.
Même si je ne suis pas déçu par mon achat j'attendrais quand même la suite pour juger réellement de la qualitée de la série. En effet le potentiel est intéressant mais tout dépend de la façon dont la suite va être traitée.
Ce que l’on peut se dire à la lecture de cette BD, c’est : drôle d’histoire !
Le scénario se passe dans un autre monde, situé entre notre début du XXème siècle et entre Le Réseau Bombyce.
Un jeune étudiant en médecine (Howard), décide de quitter l’université à quelques jours de la remise des diplômes pour retrouver sa petite amie (Sally). En effet, il l’a vu se noyer lors d’un déluge dans un rêve peut-être prémonitoire.
Il décide donc de la rejoindre sur une autre île de l’archipel. A son arrivée, il ne peut que se rendre à l’évidence, la ville a été inondé lors d’un cataclysme digne d’une fin du monde. Il ne peut que constaté la mort horrible des habitants ou presque…
Il s’ensuit une enquête ou se mêle fantastique et science pour comprendre ce qui c’est déroulé à Bartlebooth et surtout retrouver sa bien aimé.
L’idée de départ est intéressante et l’enquête nous plonge dans un bon suspense. Corbeyran semble avoir élaboré un monde assez complexe ne vivant qu’en vase clos : l’archipel. Ce qui m’a le plus dérangé, c’est peut-être le vocabulaire un peu spécial qu’emploi les gens de ce monde.
Les dessins sont assez surprenant et m’ont fait hésiter à acquérir ce premier tome. Barbay doit avoir été influencé par Yslaire (Sambre) ou encore Malnati (Anahire). Les traits sont très serrés, nerveux et aiguisés. Les visages semblent avoir été taillés à la serpe. Aux premier abords, cela peu déconcerter. Ce fut mon cas d’ailleurs.
Les couleurs sont assez particulières. Tout est dans des tons sombres (brun, gris et noir). On a l’impression d’évoluer dans un monde onirique (à l’image du Roi des Méduses de Ségur). C’est assez étrange !
Je dirais que la suite me permettra de me faire une idée plus précise. Pour l’instant, je ne regrette pas de l’avoir lu mais sans plus.