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Couverture de L'arabe du futur -4- Une jeunesse au Moyen-Orient (1987-1992)
©Allary Éditions 2018 Sattouf
Parution le 27/09/2018. Vous pouvez commander l'album chez nos partenaires suivants : Acheter sur Amazon Acheter chez BDfugue Acheter à la FNAC Acheter sur Rakuten
Album créé dans la bedetheque le 05/09/2018 (Dernière modification le 05/02/2023 à 15:59) par choregraphe

L'arabe du futur

4. Une jeunesse au Moyen-Orient (1987-1992)

Une BD de chez Allary Éditions - 2018
Sattouf, Riad (Scénario) Sattouf, Riad (Dessin) <Trichromie> (Couleurs)

09/2018 (27 septembre 2018) 274 pages 9782370731258 Autre format 343480

Ce quatrième tome du succès mondial L'Arabe du futur couvre les années 1987-1992. Âgé de neuf ans au début de ce volume, le petit Riad devient adolescent. Une adolescence d'autant plus compliquée qu'il est tiraillé entre ses deux cultures – française et syrienne – et que ses parents ne s'entendent plus. Son père est parti seul travailler en Arabie saoudite et se tourne de plus en plus vers la religion... Sa mère est rentrée en Bretagne avec les enfants, elle ne supporte plus le virage religieux de son mari. C'est alors que la famille au complet... Lire la suite

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Note: 4.3/5 (63 votes)

  • L'arabe du futur -1- Une jeunesse au Moyen-Orient (1978-1984)

    Tome 1
  • L'arabe du futur -2- Une jeunesse au Moyen-Orient (1984-1985)

    Tome 2
  • L'arabe du futur -3- Une jeunesse au Moyen-Orient (1985-1987)

    Tome 3
  • L'arabe du futur -4- Une jeunesse au Moyen-Orient (1987-1992)

    Tome 4
  • L'arabe du futur -5- Une jeunesse au Moyen-Orient (1992-1994)

    Tome 5
  • L'arabe du futur -6- Une jeunesse au Moyen-Orient (1994-2011)

    Tome 6
  • L'arabe du futur - Moi, Fadi le frère volé Tome 1 (1986-1994)

  • L'arabe du futur -INT- Édition intégrale

    INT

Les petites annonces

4. Une jeunesse au Moyen-Orient (1987-1992) bden73 Comme neuf 15.00€

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L'avis des visiteurs

    Le 06/05/2024 à 18:08:23

    Le climax de la série...

    ...qui permet aussi à Riad Sattouf de se libérer d'un tabou familial.

    En apparence, la couverture est semblable aux trois autres. Mais l’arrière-plan s’est considérablement assombri, rehaussé par un dessin vert, représentant Sadam Hussein en chef de guerre. A gauche de l’image, juste en dessous de la figure du dictateur, on voit Abdel-Razak Sattouf, le père de Riad. Il semble s’éloigner, car sa silhouette s’amenuise et il esquisse un geste d’adieu. De l’autre côté, on distingue le reste de la famille, la mère Clémentine et ses trois fils. Au premier plan, ils semblent beaucoup plus grands et s’avancent vers la droite, vers leur futur. Comme toujours sur les couvertures de cette série, Riad Sattouf est colorié en blanc, ce qui le fait ressortir par rapport aux autres. Il est maintenant adolescent et répond au salut de son père, avec un beau sourire et un geste de la main. En quatrième de couverture, le taureau paternel est toujours là, placé au-dessus de la télévision, au milieu des jouets des trois garçons.

    Par-delà l’œuvre et le renom de son auteur, Allary Éditions a encore fait du très bon travail, que ce soit pour l’objet BD ou son marketing (nombreuses interviews, publicités etc.). En 2016 à titre d’exemple, le tome 3 de L’Arabe du futur avait été tiré à 220 000 exemplaires (Gilles Ratier – ACBD). Au jour d’aujourd’hui, la série a atteint le cap des 3 millions d’exemplaires vendus en France (Allary Editions) et dans le monde, dans plus d’une vingtaine de langues (dont le coréen, le catalan, le grec ou le japonais, mais toujours pas en arabe).

    Quoique plus volumineux que les autres (288 pages), le tome 4 de l’Arabe du futur garde une forme similaire. En mains, cette BD à la couverture souple et au papier épais reste très agréable à lire. La constance de la forme et de son contenu rassurent, tout comme sa charte graphique, qui demeure toujours la même. Rien n’a changé : que ce soit le trait du stylet tactile, la composition des pages, le lettrage biscornu parfois souligné à la main... Pourquoi changer, après avoir trouvé l’alchimie parfaite, les clés de la réussite ?

    En effet, la série reste toujours aussi accrocheuse, presque addictive, avec un sujet de société fort, qui arrive à son point culminant. La technique du cliffhanger, propre aux séries à succès, est maîtrisée, quasiment de manière naturelle, puisqu’il s’agit de l’histoire personnelle de l’auteur...

    De plus en plus intense, le drame n’est pas loin... D’aucuns se retrouveront dans ce déchirement familial ou cette vie éclectique. La majorité pourra toujours s’identifier au jeune Sattouf, ou à l’un de ses camarades de classe, face aux difficultés du collège et de l’adolescence. Je ne peux que me réjouir du regard nouveau porté par Riad Sattouf sur ce thème (cela depuis Retour au collège).

    L’AduF c’est aussi une série qui évolue, puisque Riad grandit. On le voit dès les premières pages, notamment à la page 7 où l’auteur décrit sa propre évolution physique, avec des informations fléchées emplies d’auto-dérision... En accompagnant le jeune Sattouf dans son histoire, on redécouvre aussi des émotions, celles de l’adolescence et en premier lieu de l’apprentissage de la sexualité.

    On constate également que la série est plus longue que prévue, puisqu’elle avait été annoncée initialement en 3 tomes. Est-ce parce que Riad Sattouf a eu un afflux de souvenirs, comme il l'évoque en interview ? La bonne fortune de son projet lui a donné les moyens de le prolonger.

    Pourtant, la "loi des séries" veut aussi que certains problèmes reviennent constamment. Ici, la famille fait inéluctablement des allers-retours entre la Bretagne et la Syrie (bien malgré eux), le père de Riad accumule les mensonges...

    Est-ce que l’on reverra sa figure taurine dans les prochains tomes ?

    Inquiétant...

    Le 26/02/2023 à 09:57:35

    Ce quatrième tome qui couvre la période 1987-1992 est celui de l’adolescence de l’auteur Riad Sattouf qu’il va passer en Bretagne.

    On en était resté avec un départ probable en Arabie Saoudite. Fort heureusement, cela ne va concerner que le père de famille qui obtient un poste de professeur dans ce merveilleux pays qui a compensé son amitié pétrolière avec les USA avec un peu plus de rigueur dans la religion afin de s’acheter une respectabilité au Moyen-Orient. Evidemment, ce sont les femmes qui ont payé le plus lourd tribut en étant déposséder de pas mal de droits élémentaires. On peut comprendre aisément que la mère de famille a préféré rester en France avec les enfants qui y sont scolarisés.

    Le père devient de plus en plus religieux mais également raciste. Il déteste au plus haut point les juifs mais également les occidentaux et en tout premier lieu les français qui l’ont pourtant bien accueilli. Il pense que la vie est bien meilleure en Syrie ou en Arabie Saoudite alors que ces pays sont totalement fermés sur la liberté de penser autrement. Il en fera d’ailleurs l’amer expérience durant l’épisode de la première guerre en Irak en critiquant le cheikh du Koweït.

    En réalité, on s’aperçoit qu’il se tourne vers la religion car il est en perpétuelle recherche de reconnaissance entre un frère qui l’avait brimé durant son enfance et une mère religieuse lui faisant des reproches incessants. Dans le village, il n’était pas du tout respecté malgré son statut de professeur. Idem sur son lieu de travail à l’Université. Cependant, en devenant un homme pieu appliquant strictement les règles du Coran, il apporte un autre regard et gagne petit à petit la confiance de ses semblables.

    Cependant, il a construit sa vie avec une française ce qu’il semble regretter amèrement. Il dira que la femme syrienne est beaucoup plus obéissante car elle ne fait pas ce qu’elle veut. Je me rends compte que c’est un homme entièrement tourné sur lui qui préfère garder son argent que partager avec sa famille. La séparation avec son épouse devient inévitable car elle va commencer sérieusement à se rebeller surtout depuis qu’elle a pu échapper à un effroyable cancer sans son soutien.

    Le modèle politique du père en France est Jean-Marie le Pen. Il est vrai qu’il appréciait déjà grandement Mouammar Kadhafi, Hafez-el-Assad ou encore Saddam Hussein dans les pays arabes. La mouvance est clairement d’extrême-droite et nationaliste. Il pense que le peuple est plutôt ignare et a besoin d’un dirigeant assez fort pour les mener sur le chemin de la dignité. On peut quand même s’interroger surtout venant d’un homme soi-disant érudit.

    Je dois bien avouer que j’ai été extrêmement choqué par une scène pour le moins banale. Le chien de la grand-mère fait la fête à toute la famille et il lui balance un coup de pied comme si de rien n’était en réponse à cet acte d’amour animal. Il déteste également les chiens qui dans sa bouche est synonyme d’insulte. Comment peut-on se comporter aussi mal et ne pas se remettre en cause ? Je trouve que la famille française a fait preuve de beaucoup d’indulgence à son égard.

    Un mot également sur sa radinerie qui dépasse quand même l’entendement. Je veux bien qu’il pique l’argent que les enfants reçoivent en cadeau. Je veux bien qu’il utilise le téléphone de la grand-mère où il désire être rappelé quand il appelle sa famille d’Arabie Saoudite afin d’économiser le coût d’un appel. Mais comment peut-il donner si peu d’argent à une mère de famille élevant ses trois enfants alors qu’il aurait de quoi mieux les aider ? Oui, une attitude normale serait d’être scandalisé par ce type de comportement outrancier.

    Les trois garçons ont gouté au mode de vie occidental et il n’y a pas photo. Certes, il y a également des imbéciles en France qui sont racistes mais c’est sans commune mesure avec le monde arabe. On se souvient de l’école élémentaire syrienne où les enfants étaient embrigadés contre tout ce qui pourrait s’apparenter à un juif. Notre auteur en a d’ailleurs vécu l’amer expérience, devant à chaque fois se justifier de ne pas l’être.

    Les divergences de pensées et ce mode de vie à l'occidental aura eu raison de cette relation avec le père. Il y aura des moments assez forts dans ce déchirement. Le style narratif de l'auteur fait que cela reste à la fois poétique et drôle. La vie peut être parfois assez complexe. On voit bien que l’auteur se contente de décrire les faits sans apporter une once de jugement afin de rester neutre. J’aime bien cette retenue qui fait dans la mesure.

    La personne du père, vu au départ comme l’arabe du futur, est totalement haïssable. Certains y ont vu une œuvre qui renforce les stéréotypes sur les arabes. Je ne pense pas qu’il faut le voir ainsi. L’auteur ne se dérange pas non plus pour taper sur le monde occidental qui n’est pas toujours clean dans son attitude.

    La lecture est toujours aussi agréable grâce à un graphisme assez fluide. Le trait est simple mais efficace. A noter également que les personnages sont assez expressifs.
    Par ailleurs, l'auteur est sans complaisance pour lui-même ce qui le rend d'autant plus sympathique. On arrive à ressentir les choses qu’il a traversé.

    Et que dire de cette fin qui plonge la famille dans un véritable drame ! Ce tome prend une tournure tragique que l'on refusait de voir arriver. Le récit devient bouleversant et il a encore gagné en intensité. C'est tout simplement magistral. C’est ce qui fait d’ailleurs tout le charme de cette série qui a été plébiscité dans le monde entier (sauf le monde arabe curieusement). Je comprends désormais un peu mieux le succès de cette BD qui a contribué à amener un nouveau public au roman graphique.

    C'est assurément un ouvrage de qualité, et un graphisme singulier qui fait que je ne regrette absolument pas mon achat. Pour l'instant, c'est le meilleur tome de la saga familial.

    Au final, je dirai que c'est un tome de grande modernité qui parvient à imbriquer la petite histoire dans la grande ! C'est un incontournable, tout simplement !

    Le 01/02/2020 à 14:38:53

    Excellent album sur la suite des aventures de jeunesse de Riad Sattouf.
    On adore détester son père, qui est un sacré connard !
    C'est drôle et tragique à la fois.

    Le 16/03/2019 à 18:54:42

    Je m'étais déjà frottée à L' Arabe du Futur mais j'avoue que ma lecture ne m'avait pas laissée un souvenir impérissable. Mais ayant eu de très bons échos du tome 4, j'ai décidé de poursuivre ma lecture. Grâce au Festival de la BD du site Rakuten, j'ai pu recevoir ce dernier tome.Nous découvrons donc le petit Riad dans les prémices de son adolescence. Ballotté entre la Syrie et la France, entre son père et sa mère, le jeune homme tente de se construire sa propre identité.Je comprends que Riad Sattouf  est fait plusieurs tomes avec sa vie car il y a énormément de choses à dire. Sa vie est un véritable roman! Le scénario de cette BD est terriblement prenant. Je me suis complètement laissée happer par le tourbillon de la vie de l'auteur et en un rien de temps, je me suis retrouvée à la fin de ce roman graphique. Alors que les précédents tomes étaient agréables à lire mais sans plus, ce dernier est une véritable bombe! Et que dire de la fin qui nous laisse tout pantelant! On veut connaître désespérément la suite! Alors, vivement le tome 5!Quant à l'esthétique, elle reste fidèle à elle même, des dessins simples mais efficace et une ambiance en noir et blanc qui sont la signature de Riad Sattouf.

    http://aufildesplumesblog.wordpress.com

    Le 06/01/2019 à 21:53:18

    J’ai relu les trois premiers volumes de "l’arabe du futur",dont le dernier remonte à 2016 avant de me lancer dans la lecture de cet imposant quatrième opus de 280 pages que j’ai dévoré d’une traite.
    J’ai trouvé cet opus encore plus passionnant que les autres pour plusieurs raisons. Peut-être que les années « collèges » de Riad Sattouf m’ont directement fait écho à certains souvenirs personnels. Les rapports entre le père et la mère de Riad , de plus en plus tendus, donnent à cette histoire du piment à cette aventure. D’ailleurs plus on avance dans l’histoire personnelle de Riad Sattouf, plus on a de la sympathie pour cette femme, qui a tant endurée. Et puis, il y a les premières amours du petit Sattouf qui sont assez drôles
    Au début des albums, le père apparait comme le plus souvent maladroit, radin, distrait et drôle, souvent loin des considérations matérialistes mais au fur et mesure des livres, l’obscurantisme de son père devient flagrant (on se demande encore comment un docteur diplômé de la Sorbonne puisse s’offusquer d’une reproduction d’un Degas affiché dans l’appartement) pour arriver à la page dramatique finale.
    Quelle évolution ! Car ce n’est pas seulement de sa jeunesse que nous parle Riad Sattouf, mais aussi d’une certaine vision politique de notre société.
    Bref, j’ai adoré ce quatrième opus. Pour tout dire, j’ai lu en deux jours les quatre volumes qui composent cette saga familiale encore inachevée. Vivement le suivant.

    une de mes meilleures lectures pour un livre de 2018.

    Le 15/11/2018 à 17:37:29

    Bien que les premiers tomes ne m'aient pas du tout emballé, j'ai quand même fait l'effort (c'est le mot) de poursuivre la lecture de L'ARABE DU FUTUR. Eh bien, j'avoue que plus cette série progresse, plus elle s'améliore. Pas au niveau du dessin bien sûr, toujours aussi naïf et inintéressant à mon goût. Mais l'autobiographie de Riad Sattouf devient de plus en plus accrocheuse, je trouve.
    Déjà parce que l'auteur n'a pas son pareil pour raconter des événements graves ou tragiques de manière drôle et légère, ce qui fait que la lecture de ce quatrième opus est vraiment amusante (en particulier les séquences - aussi cruelles que ridicules - où Riad se retrouve au collège en France, qui m'ont rappelé mes propres années collèges au début des années 90). Et puis, l'histoire familiale de Riad Sattouf devenant de plus en plus compliquée, on a vraiment envie de savoir comment tout ça va évoluer, et quelles répercussions elle aura sur l'auteur.
    Toutefois, si la lecture est souvent drôle, elle est aussi souvent dérangeante, notamment lorsque Sattouf met en scène son père. Le portrait peu élogieux que dresse Riad de son père (raciste, misogyne, intégriste, arriviste, révisionniste, lâche, menteur ...) rend ce dernier de plus en plus détestable, au point qu'on peut se demander si l'auteur n'a pas forcé le trait pour régler ses comptes avec son paternel.
    Ce qui ne semble malheureusement pas être le cas, vu la manière effroyable dont se termine ce tome 4. Une fin totalement hallucinante qui me fait maintenant attendre avec impatience le volume suivant, alors que cette série ne me passionnait pas du tout au départ. Bien joué Riad !

    Le 30/09/2018 à 17:58:15

    Enfin une histoire des arabes vue de l'intérieur.
    Les grincheux qui donnent de mauvaises notes n'ont rien compris à la sincérité de l'auteur.
    Il y a des passages très durs mais c'est l"apprentissage de la vie et les petits français peuvent aussi être méchants.
    Riad a souffert dans les deux cultures car chaque pays a ses codes personnels et les enfants binationaux doivent apprendre 2 fois.
    Encore bravo pour sa lucidité et son talent.
    Vivement le tome 5.

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Toutes les éditions de cet album

  • L'arabe du futur -4- Une jeunesse au Moyen-Orient (1987-1992) ©Allary Éditions 2018 Sattouf

    4 . Une jeunesse au Moyen-Orient (1987-1992)

    • 343480
    • Sattouf, Riad
    • Sattouf, Riad
    • <Trichromie>
    • 09/2018 (Parution le 27/09/2018)
    • 08/2018
    • non coté
    • Allary Éditions
    • Autre format
    • 978-2-370-73125-8
    • 274
    • 942 g
    • 05/09/2018 (modifié le 05/02/2023 15:59)

    Info édition : Format 170 x 240 mm. Couverture avec rabats.