4. Corail noir | PHILGUZZ | Très bon état | 49.99€ | |
4. Corail noir | largowinch11 | Comme neuf | 40.00€ | |
4. Corail noir | stan prozak | Très bon état | 35.00€ | |
4. Corail noir | largowinch11 | Très bon état | 30.00€ | |
4. Corail noir | Chezbigben | Bon état | 28.00€ | |
4. Corail noir | JBBD | Très bon état | 19.00€ | |
4. Corail noir | Barry lyndon | Bon état | 15.00€ | |
4. Corail noir | jim mac clure | Bon état | 14.00€ | |
4. Corail noir | mtintin | Etat moyen | 9.00€ | |
4. Corail noir | GrégoireBD | Comme neuf | 9.00€ | |
4. Corail noir | phildegomme | Comme neuf | 9.00€ | |
4. Corail noir | largowinch11 | Très bon état | 8.00€ | |
4. Corail noir | vladimir2 | Comme neuf | 8.00€ | |
4. Corail noir | jim mac clure | Très bon état | 7.00€ | |
4. Corail noir | kikofoxy | Très bon état | 7.00€ | |
4. Corail noir | JBBD | Bon état | 7.00€ | |
4. Corail noir | kibur | Très bon état | 6.00€ | |
4. Corail noir | ALE2000 | Très bon état | 5.00€ | |
4. Corail noir | ALE2000 | Bon état | 3.50€ | |
4a1998. Corail noir | amandpaul2000 | Très bon état | 7.00€ | |
4a1998. Corail noir | makou42 | Très bon état | 5.00€ | |
4b2006. Corail noir | GregoireBD | Bon état | 8.00€ |
Info édition : Avec un cahier graphique de 16 pages.
Info édition : 7 tomes parus en page 2. 4e plat bleu (et non noir), pas de tomes parus.
Info édition : Conception graphique : Trait pour trait.
Info édition : 13 tomes parus
Info édition : Édition anniversaire. Tirage limité à 4 000 exemplaires. Contient en bonus la reproduction de la couverture de l'édition normale. Fred Blanchard est crédité comme "guest designer".
Info édition : 250 exemplaires n°/s. avec sérigraphie, fac-similé de la planche 29 en N&B et dossier 16 pages.
Album un peu moins réussi que le précédent, bien que cela reste de très bonne facture. L'intrigue principale et on attend la suite impatiemment.
Aquablue est une série à l'univers marin et au message écologique crée par Thierry Cailleteau et Olivier Vatine. Elle a connu un incontestable succès dans les années 90 car c'était le must de la création pour l'époque en matière de science-fiction.
Pour ma part, je trouve que l'univers décrit est un cran en dessous des séries de Léo (Aldébaran, Betelgeuse) qui possède le talent de décrire au mieux la faune et la flore et de les mettre en valeur. C'est un peu dommage de ne pas avoir exploité ce potentiel pour les créatures marines.
L'histoire demeure très intéressante jusqu’au tome 5 d'un point de vue scénaristique (cela forme le premier cycle). Les deux auteurs qui sont alors en mésentente vont se séparer ce qui aura un fort impact sur la suite.
Le second cycle sous la houlette de Cailleteau (album 6 et 7) passe encore car on revient sur les origines de Nao. Tota remplace Vatine au dessin et cela se sent tant les univers graphique de ces deux dessinateurs sont différents. Cela deviendra très "commercial" par la suite et pour tout dire sans grand intérêt pour le lecteur. Il n'en demeure pas moins qu'il s'agit d'une référence pour les amateurs du genre.
Je trouve personnellement que le dessin va en s'améliorant au gré de la succession des différents dessinateurs sur cette série ce qui lui confère un caractère très inégal par rapport à la baisse de la qualité scénaristique. Certes, beaucoup de lecteur regretteront le départ de Vatine qui conférait une véritable âme à chaque personnage grâce à un style particulier. On reprochera à Tota d'avoir transformé Nao en espèce de super héros bodybuildé aux antipodes de ce qu'il était à l'origine.
Ce n'est plus une série intime et mâture : c'est le moins qu'on puisse dire surtout au vu des derniers tomes où Nao est devenu une espèce de justicier écologique interplanétaire qui n'hésite pas à tromper sa pauvre femme. Aquablue a beaucoup perdu de son charme notamment au niveau de son scénario qui sombre dans le manichéisme le plus total. Il s'agirait véritablement d'arrêter le massacre à l'avenir. C'est un véritable gâchis!!!
J'ai décidé de revenir sur ma note et de mettre un 4 étoiles tout en précisant que cela concerne que les 7 premiers tomes où l'achat sera conseillé. La série Astérix a connu également les mêmes déboires. Néanmoins, cela reste un classique. Pareil pour Aquablue qui a quand même marqué le monde de la bande dessinée moderne. Si on fait la moyenne, cela reste confortable.
Fort heureusement, le 12ème tome semble tirer les leçons des derniers échecs avec ce retour aux sources. Une nouvelle équipe d'auteurs a prit le relai. Le dessin ressemble à un montage photo informatique mais je dois bien avouer que le résultat est franchement réaliste. C'est moderne dans le concept et je doute que cela plaise aux puristes de la première heure. Il s'agira de voir si la suite tient ses promesses au niveau du scénario.
Cela ne sera pas vraiment le cas avec un 13ème tome qui joue à Star Wars et qui semble un peu plat au niveau de l'intrigue. Le 14ème tome développe le concept de la série Golden City. Il y aura un fait dramatique d'importance mais on a l'impression qu'il n'y a que cela. Le scénario semble manquer d'inventivité. Ce cycle compte déjà 4 tomes et n'est pas à la hauteur de ce qu'on pouvait attendre. Le rendu graphique devient très mauvais au fil des tomes. Certes, la faute à l'informatisation des images qui l'éloigne un peu plus de son passé glorieux. Le pire étant qu'il manque cruellement une intrigue digne de ce nom. Et pourtant, le nouveau cycle semble s'étirer artificiellement sans nous apporter l'essence. Aquablue n'est plus ce qu'il était. La série aurait dû s'arrêter. Voilà, c'est dit.
Quatrième tome d'Aquablue. Retour à la case départ pour les autochtones qui subissent la loi des armes. Pendant ce temps, Nao et ses alliés tentent d'entrer en contact avec une autre civilisation de la planète. L'intensité baisse un peu dans ce volume de transition.
Le scénario revient sur les manipulations sans limite des entreprises. Le P.D.G. de la Texec, Walsh, atterrit sur Aquablue et ordonne aux légionnaires de massacrer les habitants d’Aquablue et fait assassiner toute personne susceptible de lui nuire. Le scénario traite aussi de l’esclavagisme que les entreprises riches appliquent aux peuples les plus pauvres (Mi- Nuée et son père, Melkeïok, sont rendus en esclavage par Morgenstern) et Thierry Cailleteau suggère aussi l’utilisation de la science à des fins peut avouable (Phlebs demande un scientifique véreux, le docteur Fershid, de créer un virus qui les détruirait lentement le peuple d’Aquablue).
Au top,
on aurait pu s’arrêter la, en nous laissant sur notre faim, mais au moins au n'aurait pas été déçu par les tomes suivants .....