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Angora est une jeune fille qui aime bien se dénuder à tout va. Bon, après tout, elle est chez elle donc elle peut faire ce qu'elle veut. Je sens que cela va attirer les voyeurs ! Pour ma part, j'ai trouvé que cela manquait singulièrement de consistance même si le charme est présent. Le trait est également un peu brouillon mais on pardonnera car il s'agit d'une première oeuvre d'une jeune auteure qui fera parler d'elle.
Par ailleurs, le découpage entre les différentes petites histoires est assez classique. Les réflexions un peu crues de cette gamine qui se découvre un corps de femme m'a plutôt interloqué. Cependant, force est de reconnaître que la liberté de ton me plaît assez ainsi que ce graphisme tout en rondeur.
J'avoue également (mais c'est sans doute hors-sujet) que je n'ai pas trop apprécié la préface. Son auteur Charles Berberian décrit la bande dessinée du siècle dernier comme réellement ringarde tout en faisant la critique de ces auteurs qui ont choisi un pseudo clinquant en associant les initiales de leur nom et de leur prénom comme Débé, Puhé ou Morlé.
A côté de ces auteurs signant leurs dédicaces dans une salle polyvalente dénudée, il y aurait des exceptions parmi lesquels Hergé (je veux bien mais c'est quand même poussiéreux), Manara (on sent l'inspiration) ou encore tenez vous bien Michel Schetter : c'est qui celui là ? Quelqu'un le connait ? C'est quoi ce délire ?!
Après, il enchaîne sur le fait que la jeune génération d'auteur a choisi de biens meilleurs pseudo que leur ainés. Bon, ce qui m'intéresse, c'est le plan artistique et pas les pseudos !
Angora est une jeune fille qui aime bien se dénuder à tout va. Bon, après tout, elle est chez elle donc elle peut faire ce qu'elle veut. Je sens que cela va attirer les voyeurs ! Pour ma part, j'ai trouvé que cela manquait singulièrement de consistance même si le charme est présent. Le trait est également un peu brouillon mais on pardonnera car il s'agit d'une première oeuvre d'une jeune auteure qui fera parler d'elle.
Par ailleurs, le découpage entre les différentes petites histoires est assez classique. Les réflexions un peu crues de cette gamine qui se découvre un corps de femme m'a plutôt interloqué. Cependant, force est de reconnaître que la liberté de ton me plaît assez ainsi que ce graphisme tout en rondeur.
J'avoue également (mais c'est sans doute hors-sujet) que je n'ai pas trop apprécié la préface. Son auteur Charles Berberian décrit la bande dessinée du siècle dernier comme réellement ringarde tout en faisant la critique de ces auteurs qui ont choisi un pseudo clinquant en associant les initiales de leur nom et de leur prénom comme Débé, Puhé ou Morlé.
A côté de ces auteurs signant leurs dédicaces dans une salle polyvalente dénudée, il y aurait des exceptions parmi lesquels Hergé (je veux bien mais c'est quand même poussiéreux), Manara (on sent l'inspiration) ou encore tenez vous bien Michel Schetter : c'est qui celui là ? Quelqu'un le connait ? C'est quoi ce délire ?!
Après, il enchaîne sur le fait que la jeune génération d'auteur a choisi de biens meilleurs pseudo que leur ainés. Bon, ce qui m'intéresse, c'est le plan artistique et pas les pseudos !