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Que dire des âmes sombres ? Beaucoup de choses. J’évacue tout de suite la forme : le dessin est sympa. C’est dans la droite ligne de ce qu’on peut attendre. Rien d’exceptionnel mais un travail correct.
L’histoire se concentre sur une vieille dame sans domicile fixe. Sa bouille inspire tout de suite la confiance aux lecteurs. On pourrait facilement s’attacher à ce type de personnage s’il n’y avait pas un côté extrêmement moralisateur avec des proverbes diffusés à profusion. Cela me rappelle une mauvaise expérience de bd à savoir Le Chat qui déblatère tous ces dictons à visées philosophiques. Comme si la vie pouvait se résumer en une ou quelques phrases bien placées... Il n’y a rien de pire que ces gens qui croient tout savoir car ils ont du vécu. Nous avons tous des choix de vie différents et il faut les respecter sans émettre de jugement.
La confrontation va avoir lieu avec un chef de bande assez violent. Cela me fait bien rigoler car on a une bande de squatteurs sans domicile fixe à l’allure d’un gang mafieux. Il y a comme qui dirait une erreur de casting avec des dialogues trop soutenus pour des voyous. Ces crapules sans foi ni loi sont les âmes sombres. La vieille dame va essayer de sauver ces âmes. Le doute sera laissé jusqu’à la fin sur le fait de savoir si cette dame qui entend des voix est un ange gardien. Jamais le seuil du fantastique ne sera franchi. Tant mieux car on aurait basculé dans la facilité.
Au final, malgré toutes les imperfections inhérentes à ce genre d’histoire, j’avoue avoir plutôt aimé. On a envie que cette dame s’en sorte au milieu de toute cette pauvreté, au milieu des sans-abris. On est ému par son humanisme et sa foi en la vie et en l’homme. Si seulement cela pouvait être aussi simple... On y croirait bien !
Dans le talmud il y a une phrase qui dit: qui sauve une vie, sauve l'humanité.
Tout est donc résumé ici par cette phrase.
Une bd dure, qui effleure le monde dur des sans-abris qui choisissent de rester
dans la colère, l'aggressivité et la misère. La rencontre du noir et du blanc,
représenté par cette drôle de petite bonne femme qui a quitté son métier de
pharmacienne et erre où la mène les voix qu'elle entend.
Que dire des âmes sombres ? Beaucoup de choses. J’évacue tout de suite la forme : le dessin est sympa. C’est dans la droite ligne de ce qu’on peut attendre. Rien d’exceptionnel mais un travail correct.
L’histoire se concentre sur une vieille dame sans domicile fixe. Sa bouille inspire tout de suite la confiance aux lecteurs. On pourrait facilement s’attacher à ce type de personnage s’il n’y avait pas un côté extrêmement moralisateur avec des proverbes diffusés à profusion. Cela me rappelle une mauvaise expérience de bd à savoir Le Chat qui déblatère tous ces dictons à visées philosophiques. Comme si la vie pouvait se résumer en une ou quelques phrases bien placées... Il n’y a rien de pire que ces gens qui croient tout savoir car ils ont du vécu. Nous avons tous des choix de vie différents et il faut les respecter sans émettre de jugement.
La confrontation va avoir lieu avec un chef de bande assez violent. Cela me fait bien rigoler car on a une bande de squatteurs sans domicile fixe à l’allure d’un gang mafieux. Il y a comme qui dirait une erreur de casting avec des dialogues trop soutenus pour des voyous. Ces crapules sans foi ni loi sont les âmes sombres. La vieille dame va essayer de sauver ces âmes. Le doute sera laissé jusqu’à la fin sur le fait de savoir si cette dame qui entend des voix est un ange gardien. Jamais le seuil du fantastique ne sera franchi. Tant mieux car on aurait basculé dans la facilité.
Au final, malgré toutes les imperfections inhérentes à ce genre d’histoire, j’avoue avoir plutôt aimé. On a envie que cette dame s’en sorte au milieu de toute cette pauvreté, au milieu des sans-abris. On est ému par son humanisme et sa foi en la vie et en l’homme. Si seulement cela pouvait être aussi simple... On y croirait bien !
Dans le talmud il y a une phrase qui dit: qui sauve une vie, sauve l'humanité.
Tout est donc résumé ici par cette phrase.
Une bd dure, qui effleure le monde dur des sans-abris qui choisissent de rester
dans la colère, l'aggressivité et la misère. La rencontre du noir et du blanc,
représenté par cette drôle de petite bonne femme qui a quitté son métier de
pharmacienne et erre où la mène les voix qu'elle entend.