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C’est bien meilleur que [b]Trop n’est pas assez[/b] selon moi, mieux construit et aussi graphiquement plus abouti, quelques belles pleines pages. Mais c’est peut-être justement graphiquement que le bât blesse chez moi. Je ne suis pas un adepte à tout pris du « beau dessin », loin de là , et ce n’est pas le propos ni l’objectif dans cette autobiographie, mais j’ai du mal à adhérer à son graphisme. Autant j’ai eu l’effet inverse avec, dans le même registre, Xavier Mussat et [b]Sainte Famille[/b] ou surtout [b]Carnation[/b] (qui pourrait, par son propos, se rapprocher de ce livre), c’est à dire un graphisme que je trouve hyper attractif et intéressant, mais un propos qui ne me touche guère (sa relation avec Sylvia est tellement insupportable que j’avais hâte de finir Carnation...!).
Autant ici la manière de raconter n’est pas dénuée intérêt ni de créativité, mais son graphisme dessert son histoire je trouve. Une relation avec les 3 hommes de sa vie à 23 ans : son homme de cœur, son amant et son fils. Elle aurait très bien pu se contenter d’une pure narration sans images que cela n’aurait pas changé grand chose, et c’est un peu le même sentiment que j’ai eu pour sa précédente autobiographie.
Donc un bouquin intéressant, avec des qualités, mais aussi des défauts qui m’ont encore une fois laissé un peu en dehors de l’histoire.
C’est bien meilleur que [b]Trop n’est pas assez[/b] selon moi, mieux construit et aussi graphiquement plus abouti, quelques belles pleines pages. Mais c’est peut-être justement graphiquement que le bât blesse chez moi. Je ne suis pas un adepte à tout pris du « beau dessin », loin de là , et ce n’est pas le propos ni l’objectif dans cette autobiographie, mais j’ai du mal à adhérer à son graphisme. Autant j’ai eu l’effet inverse avec, dans le même registre, Xavier Mussat et [b]Sainte Famille[/b] ou surtout [b]Carnation[/b] (qui pourrait, par son propos, se rapprocher de ce livre), c’est à dire un graphisme que je trouve hyper attractif et intéressant, mais un propos qui ne me touche guère (sa relation avec Sylvia est tellement insupportable que j’avais hâte de finir Carnation...!).
Autant ici la manière de raconter n’est pas dénuée intérêt ni de créativité, mais son graphisme dessert son histoire je trouve. Une relation avec les 3 hommes de sa vie à 23 ans : son homme de cœur, son amant et son fils. Elle aurait très bien pu se contenter d’une pure narration sans images que cela n’aurait pas changé grand chose, et c’est un peu le même sentiment que j’ai eu pour sa précédente autobiographie.
Donc un bouquin intéressant, avec des qualités, mais aussi des défauts qui m’ont encore une fois laissé un peu en dehors de l’histoire.