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Résumer la vie d'Alexandre en 48 pages est un exercice difficile, globalement l'essentiel est vue. Cette B.D il est vrai est influencée par le film tournée en 2004. Elle a le mérite de ne pas oublier la jeunesse d'Alexandre. Toutefois,était il necessaire de réserver un page entière à la mort d'Hephaistion? rien n'est dit sur les noces de Suse. Il es dommage que les éléphants soient absents de la bataille de Gaugamele. Il y'a une erreur dans la note de la page 16, les Médares?? se révoltent or la note dit qu'on est en 356 av JC , et l'on voit dessiné un jeune Alexandre dans la fin de l'adolenscence. Quant on sait qu'Alexandre est né en 356...Nous sommes en fait en -340 puisque Philippe II combat Byzance. On regrette aussi le manque de chronologie qui est réduit à la portion congrue.
Pour ce qui est du graphisme, il reste agréable, classique, dans la lignée de J Martin
Torton avait fait ses premières armes de dessinateur dans de courts récits historiques du journal Tintin. Il avait ainsi entre autre dessiné la fameuse rencontre de Bucéphale et du futur conquérant.
Il était donc intéressant de voir sa vision des choses 40 ans plus tard.
Premier constat et première déception, le livre s'appuie sur le film d'Oliver Stone au point qu'Alexandre a les traits de Colin Farrell.
Deuxième constat on ne raconte pas la vie d'Alexandre dans un album de 46 pages (ni d'ailleurs un film de 2 heures !). Résultat des courses l'ensemble est aussi boîteux que Philippe de Macédoine, le père du héros.
Certes les reocnstitutions de Torton sont soignées mais c'est le projet lui même qui est fautif car on ne trouvera pas son compte dans cette épopée forcément mutilée, sabordée, raccourcie.
C'est grand dommage !
Résumer la vie d'Alexandre en 48 pages est un exercice difficile, globalement l'essentiel est vue. Cette B.D il est vrai est influencée par le film tournée en 2004. Elle a le mérite de ne pas oublier la jeunesse d'Alexandre. Toutefois,était il necessaire de réserver un page entière à la mort d'Hephaistion? rien n'est dit sur les noces de Suse. Il es dommage que les éléphants soient absents de la bataille de Gaugamele. Il y'a une erreur dans la note de la page 16, les Médares?? se révoltent or la note dit qu'on est en 356 av JC , et l'on voit dessiné un jeune Alexandre dans la fin de l'adolenscence. Quant on sait qu'Alexandre est né en 356...Nous sommes en fait en -340 puisque Philippe II combat Byzance. On regrette aussi le manque de chronologie qui est réduit à la portion congrue.
Pour ce qui est du graphisme, il reste agréable, classique, dans la lignée de J Martin
Torton avait fait ses premières armes de dessinateur dans de courts récits historiques du journal Tintin. Il avait ainsi entre autre dessiné la fameuse rencontre de Bucéphale et du futur conquérant.
Il était donc intéressant de voir sa vision des choses 40 ans plus tard.
Premier constat et première déception, le livre s'appuie sur le film d'Oliver Stone au point qu'Alexandre a les traits de Colin Farrell.
Deuxième constat on ne raconte pas la vie d'Alexandre dans un album de 46 pages (ni d'ailleurs un film de 2 heures !). Résultat des courses l'ensemble est aussi boîteux que Philippe de Macédoine, le père du héros.
Certes les reocnstitutions de Torton sont soignées mais c'est le projet lui même qui est fautif car on ne trouvera pas son compte dans cette épopée forcément mutilée, sabordée, raccourcie.
C'est grand dommage !