Alix
9. Le Dieu sauvage
Une BD de Jacques Martin chez Casterman - 1970
01/1970 54 pages Format normal 50 à 75 euros 48
Alix, accompagné d'Enak et Héraklion aborde la côte Africaine de Cyrénaïque où le général Horatius l'y a invité par courrier. Il se présente dans la ville romaine d'Apollonia mais le gouverneur lui apprend que le Général Horatius n'y a jamais été présent et que le courrier d'invitation est un faux. Qui donc a voulu attirer Alix et ses compagnon sur cette côte perdue, et pourquoi ? Pendant ce temps, une statue d'Apollon est installée dans le temple en fin de construction prévu pour honorer ce dieu dont la ville porte le nom. Mais à la nuit tombée,... Lire la suite
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CC2002 -
HS1980 -
HS1984 -
HS1984 -
HS1987 -
HS1990 -
HS1992 -
HS1999 -
HS1999 -
HS2007 TL -
HS2010 -
HS2018 -
HS2021 -
INT en Cof -
INT01 -
INT02 -
INT1 -
INT2 -
Rom01 -
Rom02 -
Rom03
Le début de la fin ? Cet album est un peu moins bon que les 3 précédents. Après, il n'y en aura plus que quelques uns de temps en temps pour être excellents. On est très contents - et très tristes - de retrouver Adrea et Astyanax et l'intrigue en Lybie est une bonne idée. Mais c'est aussi le premier album avec une part de surnaturel qui ne donnera rien de bon par la suite, en particulier dans les délires d'"Alix Senator". Mention spéciale pour Héra, l'amoureuse de service mais avec beaucoup de personnalité.
Jacques Martin nous plonge en Lybie dans une cité dédiée à Apollon où trône une étrange statue lumineuse du dieu de la beauté. Jacques Martin suit, ici, le thème cher aux années 70: les radiations atomiques et leur méfait. On retiendra un dessin remarquable quant du désert libyen.
C'est le premier album d'Alix où l'on passe de 62 à 54 pages (en attendant moins !).
L'histoire de cette cité maudite est certes intéressante mais ne se hisse pas, à mon sens, au niveau des histoires précédentes.