Alix
19. Le Cheval de Troie
Une BD de
Jacques Martin
chez Casterman
- 1988
Martin, Jacques
(Scénario)
Martin, Jacques
(Dessin)
Pleyers, Jean
(Dessin)
Crognaletti, Rosanna
(Couleurs)
04/1988 (01 avril 1988) 46 pages 220331219X Format normal 15 à 20 euros 53
Le jeune Héraklion est le seul survivant des derniers Spartiates. Horatius, le général romain qui a mené la sanglante expédition punitive, est pris de remords et veut adopter l'enfant. Il invite Alix, Enak et Héraklion à Priène, où se trouve gardé le véritable cheval de Troie. Mais les anciens Troyens veulent le détruire pour effacer la honte infligée à leur ville et à son peuple des siècles plus tôt. Des alliances vont se faire dans l'ombre des temples. Les "hommes-cheval", des pirates menés par Adroclès - frère d'Arbacès et pire ennemi d'Alix... Lire la suite
-
Tome 1 -
Tome 2 -
Tome 3 -
Tome 4 -
Tome 5 -
Tome 6 -
Tome 7 -
Tome 8 -
Tome 9 -
Tome 10 -
Tome 11 -
Tome 12 -
Tome 13 -
Tome 14 -
Tome 15 -
Tome 16 -
Tome 17 -
Tome 18 -
Tome 19 -
Tome 20 -
Tome 21 -
Tome 22 -
Tome 23 -
Tome 24 -
Tome 25 -
Tome 26 -
Tome 27 -
Tome 28 -
Tome 29 -
Tome 30 -
Tome 31 -
Tome 32 -
Tome 33 -
Tome 34 -
Tome 35 -
Tome 36 -
Tome 37 -
Tome 38 -
Tome 39 -
Tome 40 -
Tome 41 -
Tome 42 -
Tome 43 -
CC2002 -
HS1980 -
HS1984 -
HS1984 -
HS1987 -
HS1990 -
HS1992 -
HS1999 -
HS1999 -
HS2007 TL -
HS2010 -
HS2018 -
HS2021 -
INT en Cof -
INT01 -
INT02 -
INT1 -
INT2 -
Rom01 -
Rom02 -
Rom03
Nul, atroce, les personnages sont la plupart laids moralement. Pourtant, ça faisait plaisir de retrouver enfin Héraklion et j'aime bien le personnage d'Adroclès. J'ai mis une étoile car "Le fleuve de Jade" a été encore pire. Un seul point rigolo dans cette histoire hyper violente : c'est la première fois qu'une belle fille célibataire ne s'entiche pas d'Alix. Il faut croire qu'elle pense que c'est trop risqué de courir 2 lièvres à la fois.
Pour apprécier cet album, il faut, d abord, lire « Le dernier Spartiate ». On retrouve Héraklion, l héritier grec, pris à parti par des descendants des Troyens. Jacques Martin nous rejoue ici la scène plus mythique des batailles antiques celle du « cheval de Troie ». Sur ce coup là, la véracité historique n est pas vraiment au rendez-vous.
Confuse, boursouflée, cette aventure pourtant originale n'a guère d'intérêt même si son début est tonitruant. Là encore la pseudo société secrète de près de 1.200 ans prête davantage à sourire qu'autre chose.
Quant aux péripéties connexes, elles sont purement et simplement assomantes.
Le problème de Martin, si problème il y a, est d'être celui d'un homme de grande culture, particulièrement bien sûr sur l'antiquité. Il tient à nous faire partager son savoir et ses passions. Il se focalise donc davantage sur celles-ci que sur l'histoire proprement dite, alors qu'à ses débuts c'était évidemment l'inverse.
Rendez nous un Martin d'abord conteur, l'historien suivra. L'inverse n'est pas vrai.