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Alix vit maintenant à Rome. Il est devenu citoyen romain. C’est un proche de César qui poursuit la guerre en Gaule (le siège d’Alésia n’a pas encore eu lieu).
Une nuit d’orage, Alix décide de sortir de son lit pour contempler l’obscurité de la ville déchirée par les éclairs. Il aperçoit un homme sautant de toit en toit. L’individu est poursuivi par des militaires. On dirait des hommes de Pompée. Le solitaire brandit une épée et se défend comme un beau diable, mais seul, face à un groupe, il finit par tomber du haut d’un toit. Alix, qui a assisté impuissant à la scène, décide de se rendre dans la rue où le fuyard est probablement tombé. Notre jeune héros est convaincu que ce dernier a crié son nom…
Critique :
Jacques Martin nous entraîne dans un complot mené par Pompée pour se débarrasser de son rival, César, qui guerroie en Gaule. Le troisième consul, Crassus, a avalé de travers l’or que les Parthes, dont il voulait s’approprier les terres, ont versé dans sa bouche. Il ne reste plus que deux candidats assoiffés de pouvoir. Au moment du récit, Pompée occupe une position avantageuse puisqu’il est à Rome. Il nuirait beaucoup à César si les Germains et les Gaulois s’alliaient. Jules ne tiendrait probablement pas face à ces deux peuples réunis sous un même commandement.
L’auteur prend fait et cause pour César qu’il présente comme un bienfaiteur apportant en Gaule la « paix » et la civilisation… Mouais…
Dans l’édition grand format publiée par Casterman en association avec quotidien belge LE SOIR, il y a, en plus de l’aventure d’Alix, un cahier fort bien fait qui publie, non seulement des planches et des dessins originaux, mais qui fait aussi la distinction entre ce que l’on sait aujourd’hui de César et de Pompée.
Une magnifique édition, hélas difficile à trouver.
Alix vit maintenant à Rome. Il est devenu citoyen romain. C’est un proche de César qui poursuit la guerre en Gaule (le siège d’Alésia n’a pas encore eu lieu).
Une nuit d’orage, Alix décide de sortir de son lit pour contempler l’obscurité de la ville déchirée par les éclairs. Il aperçoit un homme sautant de toit en toit. L’individu est poursuivi par des militaires. On dirait des hommes de Pompée. Le solitaire brandit une épée et se défend comme un beau diable, mais seul, face à un groupe, il finit par tomber du haut d’un toit. Alix, qui a assisté impuissant à la scène, décide de se rendre dans la rue où le fuyard est probablement tombé. Notre jeune héros est convaincu que ce dernier a crié son nom…
Critique :
Jacques Martin nous entraîne dans un complot mené par Pompée pour se débarrasser de son rival, César, qui guerroie en Gaule. Le troisième consul, Crassus, a avalé de travers l’or que les Parthes, dont il voulait s’approprier les terres, ont versé dans sa bouche. Il ne reste plus que deux candidats assoiffés de pouvoir. Au moment du récit, Pompée occupe une position avantageuse puisqu’il est à Rome. Il nuirait beaucoup à César si les Germains et les Gaulois s’alliaient. Jules ne tiendrait probablement pas face à ces deux peuples réunis sous un même commandement.
L’auteur prend fait et cause pour César qu’il présente comme un bienfaiteur apportant en Gaule la « paix » et la civilisation… Mouais…
Dans l’édition grand format publiée par Casterman en association avec quotidien belge LE SOIR, il y a, en plus de l’aventure d’Alix, un cahier fort bien fait qui publie, non seulement des planches et des dessins originaux, mais qui fait aussi la distinction entre ce que l’on sait aujourd’hui de César et de Pompée.
Une magnifique édition, hélas difficile à trouver.