Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Les cookies sur Bedetheque.com :
Nous respectons votre vie privée, et n'utilisons que des cookies internes indispensables au fonctionnement du site.
En savoir plus Fermer
Alabaster, c’est un peu la création d’un nouveau Fantômas suite à une expérience sur l’invisibilité qui tourne mal. On assiste à la naissance d’un monstre qui est le fruit d’un amour contrarié et impossible. J’ai du mal à faire le lien avec ce qui poussera cet individu malheureux à en vouloir au reste du monde au point de le détruire mais bon, passons. Il y a malheureusement un peu trop de facilités comme le fait de pouvoir tuer par une simple pichenette avec un caillou. Le style est résolument naïf ce qui me paraît le trait commun avec les auteurs japonais.
Le récit va s’intéresser respectivement à 4 personnages qui vont être plus ou moins développés au fil de cette intrigue aux frontières du fantastique. Cela se lit avec facilité malgré le volume qui peut faire peur. Il y a une réelle densité psychologique qui donne un certain crédit à l’ensemble.
Cette œuvre a été écrite en 1970 par le maître du manga. Elle a certes perdu un peu de sa fraîcheur mais pas tant que cela. C’est surprenant de maîtrise et d’inventivité pour l’époque. C’est également avec une fin assez sombre que l’on retrouve dans la plupart des one-shot de l’auteur. Je retiendrais surtout la qualité narrative et la précision du dessin qui laisse entrevoir les émotions des personnages.
Alabaster, c’est un peu la création d’un nouveau Fantômas suite à une expérience sur l’invisibilité qui tourne mal. On assiste à la naissance d’un monstre qui est le fruit d’un amour contrarié et impossible. J’ai du mal à faire le lien avec ce qui poussera cet individu malheureux à en vouloir au reste du monde au point de le détruire mais bon, passons. Il y a malheureusement un peu trop de facilités comme le fait de pouvoir tuer par une simple pichenette avec un caillou. Le style est résolument naïf ce qui me paraît le trait commun avec les auteurs japonais.
Le récit va s’intéresser respectivement à 4 personnages qui vont être plus ou moins développés au fil de cette intrigue aux frontières du fantastique. Cela se lit avec facilité malgré le volume qui peut faire peur. Il y a une réelle densité psychologique qui donne un certain crédit à l’ensemble.
Cette œuvre a été écrite en 1970 par le maître du manga. Elle a certes perdu un peu de sa fraîcheur mais pas tant que cela. C’est surprenant de maîtrise et d’inventivité pour l’époque. C’est également avec une fin assez sombre que l’on retrouve dans la plupart des one-shot de l’auteur. Je retiendrais surtout la qualité narrative et la précision du dessin qui laisse entrevoir les émotions des personnages.