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Des histoires comme la série l'Agence en produit, j'en ai déjà lu des dizaines à la pelle. Il n'y a rien de vraiment singulier dans les aventures de cette bande d'enquêteurs. On nous présente le trafic d’œuvres d'art comme une originalité en bd. Ce n'est pas vraiment tout à fait le cas.
Le dessin est à l'image des personnages c'est à dire froid et impersonnel. On ne s'attache véritablement à personne. Il y a d'ailleurs toute la panoplie presque habituelle : la top modèle reconvertie, l'ancien agent secret, le prodige des technologies modernes...
C'est de la bd d'action où cela tire dans tous les sens et qu'on traverse sans éprouver le moindre plaisir. Oui, cela se laisse lire mais c'est tout. Je déplore un sérieux manque de créativité ! C'est vraiment l'agence sans risque.
Le scénario prend en haleine dès le début. Bon, encore des détectives, oui, mais cette fois, ils sont spécialisés dans l’Art. Le scénario de Bartoll traite d’un thème, un peu oublié, le vol des œuvres d’art par les Nazis pendant la guerre. Le dessin de Legrain est irréprochable. On y croit.
Un peu déçu par ce premier tome. Assurément les auteurs auraient du nous offrir un scénario à 2 tomes au lieu de cela on a une enquête très vite aboutie, presque un peu baclée.
On attendra mieux du tome 2.
5/10.
Avec le Dossier Léda, Agnès et Jean-Claude Bartoll invitent le lecteur à suivre les aventures de « L'Agence », une organisation engagée contre le trafic d'œuvres d'art. Le postulat de base est plutôt original car ce thème n'avait pour le moment guère été abordé.
Ainsi, nous suivons l'évolution d'une équipe énigmatique composée de quatre agents, style "Mission Impossible", dont les moyens semblent presque illimités (matériels high-tech, jet privé et QG à l'avenant). Au fil de leurs pérégrinations, les protagonistes nous emmènent dans diverses villes du monde telles Paris, Londres, Venise ou Hong-Kong afin de mieux nous faire sentir le coté international des malversations. Les scénaristes nous livrent un récit captivant agrémenté de rappels historiques qui renforcent la cohérence de l’enquête.
Après « Mortelle Riviera », Jean-Claude Bartoll fait de nouveau appel à Thomas Legrain pour signer les dessins de sa nouvelle série. Pour l'une de ses premières réalisations, ce jeune auteur s'en tire plutôt pas mal avec un trait classique et réaliste. Les planches sont bien découpées et la mise en couleur assez réussie. Les décors et autres sites d'action sont bien rendus et favorisent l'entrée du lecteur dans l'histoire. Le seul petit reproche portera sur l'expressivité des personnages qui pourra être améliorée par Thomas Legrain au fur et à mesure de ses prochaines productions.
Au final, une première aventure divertissante bouclée en un seul tome.
Ce premier album que j'ai relu est sympas.
On découvre une agence secréte qui a pour mission d'empécher la disparition et le pillage des oeuvres d'arts dans le monde.
Le dessin est plutot bien réussi.
Bien sûr l'idée de départ est excellente : une agence destinée à sauver le destin des plus belles oeuvres d'art de la planète. Vous argumenterez qu'une telle agence internationale existe déjà et qu'elle s'appelle l'Unesco.
Oui mais celle-là, elle est secrète et même qu'elle détourne les satellites espions américains pour mieux surveiller les méchants contrabandiers de l'art.
Ça vous paraît exagéré ? Si peu !
C'est là où le bât blesse car le point de départ de cette histoire (le vol d'oeuvres d'art, elles mêmes dérobées par les nazis) est excellent (et véridique même si ce n'est pas sous la forme décrite).
Mais on l'aura compris le traitement est moins bon. Tout comme les dessins d'ailleurs.
Bref, une bonne idée pas très bien finalisée. On demande à voir pour la suite.