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Elles sont collégiennes la journée et filles de joie la nuit. Elles ont à peine 15 ans et sont plutôt d'un milieu bourgeois. Elles sont inséparables. Elles partagent tout ensemble et jouent à être des femmes avant l'heure pour éviter l'ennui d'une vie où elles possèdent déjà tout via leurs parents.
Au début, on a droit à une page qui affiche les prix de ce qu'elles portent comme vêtements. J'ai fais le calcul : la bagatelle de 2895 euros. Bon, on a droit également à une scène où elles n'hésitent pas à voler dans les grands magasins. Ben oui, les pauvres petites filles riches en ont jamais assez. Je ne vais pas multiplier les exemples mais vous aurez tout compris ...
Cerise sur le gâteau : on a même droit à leurs pensées les plus intimes en bas de chaque case. Pour autant, celles-ci sont dénuées de tout intérêt à moins de s'intéresser aux futilités.
On aurait pu croire à des scènes osées avec ces adorables putains mais il n'en sera fort heureusement rien. Je pense que cela tomberait sous le coup de la loi pour la protection des mineurs. D'ailleurs, l'auteur se joue de cela. L'audace graphique est de mise mais cela ne suffit pas.
Pour moi, cela manque de crédibilité et plus encore, je n'arrive pas à m'intéresser à ces filles qui veulent jouer à être des femmes en se servant du vice où le sexe n'est qu'un jeu. Pour justifier de leurs actes entre manipulation et luxe, on nous balance des excuses atténuantes : mensonge et désespoir, parents absents, etc...
Est-ce que pour autant cela doit les rendre adorables entre perdition et auto-destruction ? Autant vous dire que je n'ai décidément pas accroché. Il y a d'autres drames en ce monde qui me touchent beaucoup plus.
Elles sont collégiennes la journée et filles de joie la nuit. Elles ont à peine 15 ans et sont plutôt d'un milieu bourgeois. Elles sont inséparables. Elles partagent tout ensemble et jouent à être des femmes avant l'heure pour éviter l'ennui d'une vie où elles possèdent déjà tout via leurs parents.
Au début, on a droit à une page qui affiche les prix de ce qu'elles portent comme vêtements. J'ai fais le calcul : la bagatelle de 2895 euros. Bon, on a droit également à une scène où elles n'hésitent pas à voler dans les grands magasins. Ben oui, les pauvres petites filles riches en ont jamais assez. Je ne vais pas multiplier les exemples mais vous aurez tout compris ...
Cerise sur le gâteau : on a même droit à leurs pensées les plus intimes en bas de chaque case. Pour autant, celles-ci sont dénuées de tout intérêt à moins de s'intéresser aux futilités.
On aurait pu croire à des scènes osées avec ces adorables putains mais il n'en sera fort heureusement rien. Je pense que cela tomberait sous le coup de la loi pour la protection des mineurs. D'ailleurs, l'auteur se joue de cela. L'audace graphique est de mise mais cela ne suffit pas.
Pour moi, cela manque de crédibilité et plus encore, je n'arrive pas à m'intéresser à ces filles qui veulent jouer à être des femmes en se servant du vice où le sexe n'est qu'un jeu. Pour justifier de leurs actes entre manipulation et luxe, on nous balance des excuses atténuantes : mensonge et désespoir, parents absents, etc...
Est-ce que pour autant cela doit les rendre adorables entre perdition et auto-destruction ? Autant vous dire que je n'ai décidément pas accroché. Il y a d'autres drames en ce monde qui me touchent beaucoup plus.