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Il s'agit d'une adaptation en bande dessinée d'un célèbre livre (prix de l'Interallié en 1969) relatant les aventures d'un déserteur de la Seconde Guerre Mondiale qui devient le roi d'une peuplade de Malaisie en lutte contre l'envahisseur japonais. Il sera utilisé plus tard par les Alliés lors de la reconquête de l'île de Bornéo.
Pour la petite histoire, le scénariste Pierre Schoendoerffer n'est autre que le cinéaste ayant notamment réalisé "le crabe-tambour". Ce dernier a été fait prisonnier à Diên Biên Phu. Il en a gardé des séquelles qu'il exprimera plus tard dans ses oeuvres. L'adieu au roi est marqué par ses expériences au combat. Mais ce récit est surtout une histoire de liberté et d'amitié. C'est d'ailleurs traité avec beaucoup de retenue.
C'est une oeuvre tout à fait louable mais qui souffre selon moi de pas mal de défaut à commencer par le rythme. Ainsi, les deux premières parties qui devraient nous aider à cerner le personnage principal qui voulu être roi n'en révèlent pas toute l'ambiguïté ni la complexité. Si "l'adieu au roi" peut plaire, il peut également profondément ennuyer son lecteur.
J'avoue ne pas avoir lu le roman de Schoendorffer.
En revanche, j'avais eu l'occasion de voir le film de John Milius avec Nick Nolte.
Aussi n'ai-je guère hésité pour acheter cette BD à l'époque.
Les deux versions diffèrent bien sûr quelque peu et comme c'est l'auteur qui est sensé faire l'adaptation de son roman en BD, je n'ai nul doute à ce que la version BD soit fidèle au roman, ou plus fidèle en tout cas.
On ressent bien ce dégoût de la guerre, son absurdité, sa violence, la beauté et la fragilité de la vie. Et à la fin ce clin d'oeil à Stevenson.
Bruyninx nous livre un dessin et des couleurs de qualité.
Pourtant, j'avoue que le film avait, à mes yeux en tout cas, une puissance épique supplémentaire.
adapter en bande dessinée le livre eponyme peut paraitre relever de la gageure.
Et pourtant le défi est relevé par Bruyninx,sans doute plus connu pour sa serie "max"
on suit donc les aventures d'un deserteur de la deuxieme guerre mondiale qui devient roi d'une peuplade malaise en lutte contre l'envahisseur japonais
Il est utilisé ,a son corps defendant par les alliés.
vision pessimiste,degout du genre humain mais heros attachants
certaines planches sur l'errance de soldats japonais dans la jungle sont tres dures (comme certaines scenes du film "la ligne rouge")
un one shot de qualité
Il s'agit d'une adaptation en bande dessinée d'un célèbre livre (prix de l'Interallié en 1969) relatant les aventures d'un déserteur de la Seconde Guerre Mondiale qui devient le roi d'une peuplade de Malaisie en lutte contre l'envahisseur japonais. Il sera utilisé plus tard par les Alliés lors de la reconquête de l'île de Bornéo.
Pour la petite histoire, le scénariste Pierre Schoendoerffer n'est autre que le cinéaste ayant notamment réalisé "le crabe-tambour". Ce dernier a été fait prisonnier à Diên Biên Phu. Il en a gardé des séquelles qu'il exprimera plus tard dans ses oeuvres. L'adieu au roi est marqué par ses expériences au combat. Mais ce récit est surtout une histoire de liberté et d'amitié. C'est d'ailleurs traité avec beaucoup de retenue.
C'est une oeuvre tout à fait louable mais qui souffre selon moi de pas mal de défaut à commencer par le rythme. Ainsi, les deux premières parties qui devraient nous aider à cerner le personnage principal qui voulu être roi n'en révèlent pas toute l'ambiguïté ni la complexité. Si "l'adieu au roi" peut plaire, il peut également profondément ennuyer son lecteur.
J'avoue ne pas avoir lu le roman de Schoendorffer.
En revanche, j'avais eu l'occasion de voir le film de John Milius avec Nick Nolte.
Aussi n'ai-je guère hésité pour acheter cette BD à l'époque.
Les deux versions diffèrent bien sûr quelque peu et comme c'est l'auteur qui est sensé faire l'adaptation de son roman en BD, je n'ai nul doute à ce que la version BD soit fidèle au roman, ou plus fidèle en tout cas.
On ressent bien ce dégoût de la guerre, son absurdité, sa violence, la beauté et la fragilité de la vie. Et à la fin ce clin d'oeil à Stevenson.
Bruyninx nous livre un dessin et des couleurs de qualité.
Pourtant, j'avoue que le film avait, à mes yeux en tout cas, une puissance épique supplémentaire.
adapter en bande dessinée le livre eponyme peut paraitre relever de la gageure.
Et pourtant le défi est relevé par Bruyninx,sans doute plus connu pour sa serie "max"
on suit donc les aventures d'un deserteur de la deuxieme guerre mondiale qui devient roi d'une peuplade malaise en lutte contre l'envahisseur japonais
Il est utilisé ,a son corps defendant par les alliés.
vision pessimiste,degout du genre humain mais heros attachants
certaines planches sur l'errance de soldats japonais dans la jungle sont tres dures (comme certaines scenes du film "la ligne rouge")
un one shot de qualité