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Un récit aigre-doux empreint de mélancolie et d'une justesse parfois douloureuse. La quête d'amour et de sens de l'héroïne renvoie la lectrice à des situations connues (qu'elle les ait elle-même vécues ou rencontrées chez des amies). En même temps, il est pourtant difficile de ne pas penser : "mais pourquoi se laisse-t-elle faire ?". Quelque part, la narration et la mise en scène de l'histoire de cette jeune femme consentant à un amour sans retour est à double tranchant : on la comprend et on aimerait la secouer comme un prunier‎.
La résignation de Yûko renforce certaines tendances intimes tout en semblant exagérée, déplacée, agaçante même. Quelque chose dans la solitude de l'héroïne est dérangeant (cf. ce qu'elle dit dans la planche de la Bel).
Le coup de crayon, clair, ne s'embarrasse guère de fioritures. Il peint les personnages dans leur quotidien et laisse sentir le décalage qui sembe exister entre le tumulte de la vie et l'existence de Yûko (pourtant chargée mais si désespérement vide).
Un récit aigre-doux empreint de mélancolie et d'une justesse parfois douloureuse. La quête d'amour et de sens de l'héroïne renvoie la lectrice à des situations connues (qu'elle les ait elle-même vécues ou rencontrées chez des amies). En même temps, il est pourtant difficile de ne pas penser : "mais pourquoi se laisse-t-elle faire ?". Quelque part, la narration et la mise en scène de l'histoire de cette jeune femme consentant à un amour sans retour est à double tranchant : on la comprend et on aimerait la secouer comme un prunier‎.
La résignation de Yûko renforce certaines tendances intimes tout en semblant exagérée, déplacée, agaçante même. Quelque chose dans la solitude de l'héroïne est dérangeant (cf. ce qu'elle dit dans la planche de la Bel).
Le coup de crayon, clair, ne s'embarrasse guère de fioritures. Il peint les personnages dans leur quotidien et laisse sentir le décalage qui sembe exister entre le tumulte de la vie et l'existence de Yûko (pourtant chargée mais si désespérement vide).