Abymes
2. Deuxième partie
Une BD de
Valérie Mangin
et
Loïc Malnati
chez Dupuis
(Aire Libre)
- 2013
Mangin, Valérie
(Scénario)
Malnati, Loïc
(Dessin)
Garavagno, Damien
(Dessin)
Picard, Benoît
(Dessin)
Malnati, Loïc
(Couleurs)
02/2013 (22 février 2013) 46 pages 9782800154435 Grand format 178427
Henri-Georges Clouzot, alors jeune cinéaste, travaille d'arrache-pied au film qui, selon lui, doit consacrer sa carrière. Soutenu par son producteur, ancien résistant, envers et contre toutes les accusations de collaboration dont Clouzot fait l'objet, il pousse à bout ses acteurs, et notamment la comédienne Suzy Delair dont il partage la vie. Intransigeant, autoritaire et obsédé par son film, il croit devenir fou quand il se rend compte, en visionnant les rushes, qu'en lieu et place de ses bandes, ce sont des prises de vue dérangeantes du tournage... Lire la suite
Un poil meilleur que le premier opus, mais il y a toujours un manque cruel de suspense (on se doute de la chute très rapidement tellement les indices disséminés le sont assez grossièrement).
Cette partie est complétement loupé, l'imbriquement avec le tome 1 est très faible, scénario très faible, la mise en abyme decrite par l'auteur comme un jeu de miroir, bon franchement, il faudra travailler bcp plus niveau scénario ( a part qu'on fait un film sur Balzac et qu'avant dans le tome 1 on parlé de Balzac)
j'ai trouvé cette histoire très fade
heureusement j'ai payé la BD 6.20euros
Alors que le tome 1 m'avait particulièrement plu, ce tome 2 me laisse vraiment sur ma fin.
Le premier volet était séduisant par son originalité, son scénario et sa partie graphique. Cette deuxième partie est moins réussie. Le dessin de Malnati est honnête mais manque de charme si on le compare au travail de Griffo. Et surtout, le scénario de Valérie Mangin paraît à la fois poussif et creux. On apprécie de voir mis en scène un réalisateur de renom mais je trouve les dialogues plats et on peine à s'intéresser à ce qui nous est montré. Le principe de l’œuvre manipulée évoque trop le premier album alors qu'on n'a plus le plaisir de la découverte.