Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Les cookies sur Bedetheque.com :
Nous respectons votre vie privée, et n'utilisons que des cookies internes indispensables au fonctionnement du site.
En savoir plus Fermer
Après tant d'heures de lecture, ce dernier tome est tout de même très décevant.
SURTOUT, j'admets parfaitement le mystère, les intrigues ouvertes,.....Mais au final, je n'ai pas compris grand-chose et je referme 22 tomes sans savoir qui est Ami.
Bref, quelle déception !
"Si on le veut vraiment, il y a toujours un truc qui lâche...". Et ce qui lâche, dès les premières pages du 22ème (et dernier) tome de "20th Century Boys", ce sont les barrières qui retenaient encore nos larmes. Comment lire un manga alors que nos yeux n'arrêtent pas de couler ? Heureusement, l'action et le suspense prennent ensuite le pas sur l'émotion (et le rock'n'roll, jusqu'à la scène finale, qui montre - si l'on avait un doute - que Urasawa est un frère pour nous, dans sa passion pour la musique et l'émotion qu'elle peut provoquer..) : les 200 dernières pages de la saga sont une décharge continuelle d'adrénaline, alors que se déploie la dernière machination du maître des marionnettes... Jusqu'au face à face (triangulaire, puisque le roi des masques a toujours été là, dans les coulisses, toujours ignoré, toujours invisible) entre Ami et Kenji, attendu depuis 4400 pages, forcément avorté puisqu'il ne peut exister une fin à une telle aventure. "20th Century Boys" peut se clore, en toute logique, et de manière finalement satisfaisante : nous avons été témoin de la "faute originelle" de Kenji, de ce micro-événement ridicule qui a donc mis en branle la machine destructrice, et nous avons compris encore une fois que l'enfant (et ses jeux) en nous ne meurt jamais. Bien sûr, la principale question, au centre de l'histoire, reste irrésolue. Bien sûr, il y a désormais chez Kenji l'indestructible, au delà de sa mélancolie noire, un élément insaisissable, qui nous échappe ("Je ne suis pas comme vous", crie-t-il sur la scène du néo-Woodstock... Frustration ? Non, il est seulement temps d'entamer "21st Century Boys"...
Après tant d'heures de lecture, ce dernier tome est tout de même très décevant.
SURTOUT, j'admets parfaitement le mystère, les intrigues ouvertes,.....Mais au final, je n'ai pas compris grand-chose et je referme 22 tomes sans savoir qui est Ami.
Bref, quelle déception !
"Si on le veut vraiment, il y a toujours un truc qui lâche...". Et ce qui lâche, dès les premières pages du 22ème (et dernier) tome de "20th Century Boys", ce sont les barrières qui retenaient encore nos larmes. Comment lire un manga alors que nos yeux n'arrêtent pas de couler ? Heureusement, l'action et le suspense prennent ensuite le pas sur l'émotion (et le rock'n'roll, jusqu'à la scène finale, qui montre - si l'on avait un doute - que Urasawa est un frère pour nous, dans sa passion pour la musique et l'émotion qu'elle peut provoquer..) : les 200 dernières pages de la saga sont une décharge continuelle d'adrénaline, alors que se déploie la dernière machination du maître des marionnettes... Jusqu'au face à face (triangulaire, puisque le roi des masques a toujours été là, dans les coulisses, toujours ignoré, toujours invisible) entre Ami et Kenji, attendu depuis 4400 pages, forcément avorté puisqu'il ne peut exister une fin à une telle aventure. "20th Century Boys" peut se clore, en toute logique, et de manière finalement satisfaisante : nous avons été témoin de la "faute originelle" de Kenji, de ce micro-événement ridicule qui a donc mis en branle la machine destructrice, et nous avons compris encore une fois que l'enfant (et ses jeux) en nous ne meurt jamais. Bien sûr, la principale question, au centre de l'histoire, reste irrésolue. Bien sûr, il y a désormais chez Kenji l'indestructible, au delà de sa mélancolie noire, un élément insaisissable, qui nous échappe ("Je ne suis pas comme vous", crie-t-il sur la scène du néo-Woodstock... Frustration ? Non, il est seulement temps d'entamer "21st Century Boys"...