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A chaque fois que "20th Century boys" change d'époque et - largement - de protagonistes, on a un peu de mal à s'y faire, tant Urasawa a réussi à nous faire aimer et vibrer avec ses personnages. Ce 17ème tome ne déroge pas à la règle, en nous faisant avant tout découvrir les horreurs du monde post-cataclysme : retour à un système féodal, barbarie des rapports (on n'oubliera pas de sitôt les scènes terribles d'une humanité renonçant à toute compassion, toute fraternité, pour s'entretuer pour quelques fioles de virus), le monde de demain tel qu'Urasawa le décrit est accablant. Et puis, et puis, à son habitude, 10 pages magiques suffisent à Urasawa pour nous bouleverser : à partir de l'inépuisable mythe "rock'n'rollien" de crossroads, Urasawa invente une légende moderne, nous rassure : oui, le rock'n'roll peut encore sauver le monde ! La dernière page du tome 17, pourtant logique, a tout du tsunami.
Ce 17ième tome se concentre uniquement sur la période après la propagation du virus à échelle mondiale en 2015. Il nous donne des informations sur la réaction des gens après le désastre et sur la campagne de vaccination.
Plusieurs membres de la bande à Kanna finissent également par se rejoindre 3 ans après AMI, dans ce tome qui paraît bien calme après les nombreux rebondissements des tomes précédents. Un tome de respiration qui sert principalement à combler le vide entre le moment de la propagation du virus et la période «3 ans après AMI».
Ah là là Urasawa est quand même un sacré auteur il faut bien le dire. Même au bout de 17 volumes il arrive encore à nous concocter une suite passionnante et quasiment parfaite. C'est avec plaisir que 'on retrouve un nouvel épisode de cette série. Il arrive à rendre cohérent et très réaliste le comportement des être humains avec leur dualité, leur complexité et leur ambiguité. Les personnages évoluent tous en fonction de leur expérience et à mon avis ce n'est pas prêt de s'arrêter. Les rebondissement promettent d'être encore nombreux.
A chaque fois que "20th Century boys" change d'époque et - largement - de protagonistes, on a un peu de mal à s'y faire, tant Urasawa a réussi à nous faire aimer et vibrer avec ses personnages. Ce 17ème tome ne déroge pas à la règle, en nous faisant avant tout découvrir les horreurs du monde post-cataclysme : retour à un système féodal, barbarie des rapports (on n'oubliera pas de sitôt les scènes terribles d'une humanité renonçant à toute compassion, toute fraternité, pour s'entretuer pour quelques fioles de virus), le monde de demain tel qu'Urasawa le décrit est accablant. Et puis, et puis, à son habitude, 10 pages magiques suffisent à Urasawa pour nous bouleverser : à partir de l'inépuisable mythe "rock'n'rollien" de crossroads, Urasawa invente une légende moderne, nous rassure : oui, le rock'n'roll peut encore sauver le monde ! La dernière page du tome 17, pourtant logique, a tout du tsunami.
Ce 17ième tome se concentre uniquement sur la période après la propagation du virus à échelle mondiale en 2015. Il nous donne des informations sur la réaction des gens après le désastre et sur la campagne de vaccination.
Plusieurs membres de la bande à Kanna finissent également par se rejoindre 3 ans après AMI, dans ce tome qui paraît bien calme après les nombreux rebondissements des tomes précédents. Un tome de respiration qui sert principalement à combler le vide entre le moment de la propagation du virus et la période «3 ans après AMI».
Ah là là Urasawa est quand même un sacré auteur il faut bien le dire. Même au bout de 17 volumes il arrive encore à nous concocter une suite passionnante et quasiment parfaite. C'est avec plaisir que 'on retrouve un nouvel épisode de cette série. Il arrive à rendre cohérent et très réaliste le comportement des être humains avec leur dualité, leur complexité et leur ambiguité. Les personnages évoluent tous en fonction de leur expérience et à mon avis ce n'est pas prêt de s'arrêter. Les rebondissement promettent d'être encore nombreux.