Info édition : Avec jaquette, sens de lecture d'origine (droite vers gauche). Monica Rossi est créditée pour l'adaptation graphique.
Info édition : Avec jaquette, sens de lecture d'origine (droite vers gauche). Marqué 6° Edition. Pas de mois pour le DL. Monica Rossi est créditée pour l'adaptation graphique.
J'adore cet série , je n'en suis qu'au tome 13 , mais je suis captivé de voir comme l'auteur garde l'intrigue aussi prenante sur autant de tomes , tout est lié , chaque personnage est intéressant , c'est génial !!!!!
A la dernière page de ce 12è tome, nous savons (enfin, après plus de 2400 pages ? Déjà, alors qu'il en reste presque autant ?) qui est "Ami" ! Et on réalise alors qu'on a tout simplement négligé de relier entre eux des fils de récit que Urasawa a laissé trainer à notre intention tout au long de son "grand oeuvre" (ce que Donkey a vu dans le laboratoire de Biologie, ce qui s'est vraiment passé la nuit du "bain de sang" sur le toit, ce que dissimule le numéro 606 et ses enfants affamés, que signifiait la soirée des retrouvailles des anciens écoliers, etc.). Alors on se retrouve en train de parcourir au pas de charge - il m'a fallu une heure et quart, quant à moi - les 11 tomes précédents, pour reconstituer la logique imparable qui mène à cette dernière page, et au masque qu'on retire du visage d'Ami. Et si on répétait que Urasawa a fait oeuvre de génie avec "20th Century Boys" ?
Grandiose. Voilà le terme qui défini le mieux ce douzième tome. En effet le suspense est haletant. Urasawa ne cesse de faire monter la pression de plus en plus insoutenable avant de nous révéler la terrible véritée : l'identitée d'Ami. Certe la révélation peut paraître à la fois surprenante mais aussi terriblement logique. Cependant est ce bien la véritable identitée d'Ami ? On est tellement habitué aux rebondissements sans cesse surprenant tout au long de cette série qu'on en viens à douter de tout même de ce qui semble acquis. Un tome à ne pas manquer qui marque un tounant majeur de la série.