100 Bullets (albums brochés)
8. Le bal des marionnettes
Une BD de
Brian Azzarello
et
Eduardo Risso
chez Panini Comics
(100% Vertigo)
- 2009
Azzarello, Brian
(Scénario)
Risso, Eduardo
(Dessin)
Mulvihill, Patricia
(Couleurs)
Pini, Gianluca
(Lettrage)
Johnson, Dave
(Couverture)
Digital Chameleon
(Autres)
Manesse, Jérémy
(Traduction)
06/2009 (09 juin 2009) 141 pages 9782809407754 Format comics 88418
Contient : # 37 - Accidents prémédités # 38 - Le lieu du crime # 39 - Audition pour l'ambition # 40 - Le retour de l'ascenceur # 41 - Collision # 42 - En route vers la falaise Le mystérieux agent Graves a avancé ses pièces sur l'échiquier, une par une, en vue de la confrontation finale avec le Trust. Et un par un, ses adversaires ont eux aussi pris leurs dispositions... contre Graves, mais aussi les uns contre les autres. Voilà que la partie se complique encore et s'ils veulent survivre, les joueurs vont tous devoir faire face à la vérité sur leurs... Lire la suite
Un grand bof pour cet épisode qui n'apporte rien de neuf.
Il s'agit d'un patchwork de petites histoires peu interressantes et s'éloignant parfois du polar pur et dur.
Seuls les dessins sauvent quelque peu les meubles.
A tel point que je décoche cette série de mes favoris.
A reserver aux fans dont je ne fais plus partie.
4/10.
6 épisodes qui se fixent chacun sur un personnage central de la saga (Dizzy, Cole Burns, Benito Medici, Lono, Graves et Willy), avec souvent en arrière plan de petites scénettes très réussits comme Azzarello sait si bien en parsemer sa série
J'ai trouvé ce tome magistral. L'ambiance et les compositions de Risso sont à tomber par terre, les dialogue au scalpel d'Azzarello toujours aussi efficaces, les personnages bien traités et l'ensemble très prenant...
De plus l'intrigue générale avance de manière assez significative et il semble que ce soit un volume charnière entre deux périodes, là on va vraiment rentrer dans le vif du sujet et ça risque de se corser.
Au niveau de la maîtrise graphico-scénaristique le tout est une merveille, la scène devant le Maximo Gomez Park de l'épisode 3 en est pour moi l'exemple le plus parfait
Bref, une série qui même après 42 épisodes continue de m'enchanter