Né en 1958, Michel Valdman a passé sa scolarité dans plusieurs lycées du Sud-Ouest : Périgueux, Cahors, Toulouse. Après un bac E, il réussit à échapper au destin qui lui était promis, et lui faisait horreur.Il choisit alors les Beaux-Arts de Toulouse puis ceux de Cergy Pontoise, puis les Arts Déco et un petit peu les Beaux-Arts de Paris.Il abandonne tout en 82, sa fille a alors un an et pour assurer la subsistance de la famille, il est alors obligé de travailler. Il découvre par hasard le métier de roughman, bien payé, et ce n'est que du dessin. Le rêve, en sortant de toutes ces écoles pénibles et trop bavardes. Pendant 11 ans, il a travaillé comme un forcené, il a dessiné des milliers de story-board pour à peu près toutes les agences de pub parisiennes mais aussi, de courts instants à Francfort, Genève et Libreville (Gabon). Il est maintenant plus libre financièrement, pour des travaux moins lucratifs, mais, beaucoup plus intéressants et moins frustrants.
Né en 1958, Michel Valdman a passé sa scolarité dans plusieurs lycées du Sud-Ouest : Périgueux, Cahors, Toulouse. Après un bac E, il réussit à échapper au destin qui lui était promis, et lui faisait horreur.Il choisit alors les Beaux-Arts de Toulouse puis ceux de Cergy Pontoise, puis les Arts Déco et un petit peu les Beaux-Arts de Paris.Il abandonne tout en 82, sa fille a alors un an et pour assurer la subsistance de la famille, il est alors obligé de travailler. Il découvre par hasard le métier de roughman, bien payé, et ce n'est que du dessin. Le rêve, en sortant de toutes ces écoles pénibles et trop bavardes. Pendant 11 ans, il a travaillé comme un forcené, il a dessiné des milliers de story-board pour à peu près toutes les agences de pub parisiennes mais aussi, de courts instants à Francfort, Genève et Libreville (Gabon). Il est maintenant plus libre financièrement, pour des travaux moins lucratifs, mais, beaucoup plus intéressants et moins frustrants.