Jean-Luc Sala est né en 1968. Il passe deux années de son enfance dans le désert de l’Iran, relié à l’Occident par son seul abonnement au magazine Spirou. Un lien assez fort pour le décider à se consacrer de manière assidue au dessin. C’est en France qu’il fait une rencontre importante, celle de Tabary, le papa d’Iznogoud, qui l’encourage dans cette voie. Il entre dans un lycée artistique à Paris pour y apprendre l’histoire de l’art et le dessin. Son bac littéraire en poche, Il fréquente l’Atelier Hourdé, une école de prépa aux Beaux-Arts. Longtemps plongé dans de la BD classique franco-belge, c’est une amie, de retour du Japon, qui lui fait découvrir « Akira » dont le découpage, la dynamique et surtout le rythme de narration le fascinent et l’inspirent. Il poursuit donc son apprentissage BD à l’école des Beaux-Arts de Liège, en Belgique, où il fera des rencontres décisives pour son avenir de scénariste. En 1990, il remporte avec Henri Reculé, le prix Lombard de meilleur jeune auteur européen suivi en 1991 de la sortie de l’album « La Légende de Kynan » chez ce même éditeur. S’en suivent diverses illustrations pour l’armée, lors de son service militaire et pour des magazines et livres de jeux de rôles tels que « Hawkmoon », « Pendragon », « Elric », « Cyberpunk », « Runequest ». Après 10 années passées dans le monde des jeux vidéos, il collabore à l’adaptation du scénario d’Ubik de Philip K Dick, une collaboration qui lui redonne le goût de l’écriture. 2002 est une année charnière puisqu’il revient à ses premiers amours : la bande dessinée. Deux projets se concrétisent, le premier concerne l’album Cross-Fire avec Pierre-Mony Chan. Le deuxième se matérialise en atelier BD, Le Bocal Studio, qu’il monte à Bordeaux avec la coloriste Nadine Thomas, Pierre-Mony Chan et Serge Meirinho.
Texte et photo © Soleil
Jean-Luc Sala est né en 1968. Il passe deux années de son enfance dans le désert de l’Iran, relié à l’Occident par son seul abonnement au magazine Spirou. Un lien assez fort pour le décider à se consacrer de manière assidue au dessin. C’est en France qu’il fait une rencontre importante, celle de Tabary, le papa d’Iznogoud, qui l’encourage dans cette voie. Il entre dans un lycée artistique à Paris pour y apprendre l’histoire de l’art et le dessin. Son bac littéraire en poche, Il fréquente l’Atelier Hourdé, une école de prépa aux Beaux-Arts. Longtemps plongé dans de la BD classique franco-belge, c’est une amie, de retour du Japon, qui lui fait découvrir « Akira » dont le découpage, la dynamique et surtout le rythme de narration le fascinent et l’inspirent. Il poursuit donc son apprentissage BD à l’école des Beaux-Arts de Liège, en Belgique, où il fera des rencontres décisives pour son avenir de scénariste. En 1990, il remporte avec Henri Reculé, le prix Lombard de meilleur jeune auteur européen suivi en 1991 de la sortie de l’album « La Légende de Kynan » chez ce même éditeur. S’en suivent diverses illustrations pour l’armée, lors de son service militaire et pour des magazines et livres de jeux de rôles tels que « Hawkmoon », « Pendragon », « Elric », « Cyberpunk », « Runequest ». Après 10 années passées dans le monde des jeux vidéos, il collabore à l’adaptation du scénario d’Ubik de Philip K Dick, une collaboration qui lui redonne le goût de l’écriture. 2002 est une année charnière puisqu’il revient à ses premiers amours : la bande dessinée. Deux projets se concrétisent, le premier concerne l’album Cross-Fire avec Pierre-Mony Chan. Le deuxième se matérialise en atelier BD, Le Bocal Studio, qu’il monte à Bordeaux avec la coloriste Nadine Thomas, Pierre-Mony Chan et Serge Meirinho.
Texte et photo © Soleil