



Bruno Brazil
5. La nuit des chacals
Une BD de Albert, Louis et Vance, William chez Lombard - 1973
10/1973 44 pages Format normal 30 à 50 euros 49585
Pour le Commando Caïman, ce n'est jamais la dolce vita! Cela faisait un bon bout de temps que Bruno Brazil et ses équipiers ne s'étaient plus offerts de vacances. Cette fois, ils ont décidé de s'octroyer une pause de quelques semaines et Gaucho Morales profite de l'occasion pour rentrer à Sacramento où résident ses parents. Mais, un curieux climat de terreur semble règner sur la ville. Morales ne tarde pas à comprendre que les commerçants, dont son père, sont victimes d'une bande de racketteurs. Sa décision d'en découdre seul avec ces sbires de... Lire la suite
Excellent cinquième épisode de Bruno Brazil. L’équipe du commando Caïman se voit octroyer quinze jours de congés. Gaucho Morales décide de rendre visite à ses parents à Sacramento. Ceux-ci ont un commerce et cherchent à cacher à leur fils qu’ils sont rançonnés par la mafia locale. Gaucho va y mettre son grain de sel et se faire tabasser. C’est alors que le commando rapplique à Sacramento soudé comme jamais. Ils vont s’apercevoir que la police et la presse sont déjà gangrenées. Pas le temps de s’ennuyer dans ce nouvel opus qui décoiffe. Quelques répliques font sourire tellement elles sont policées (l’utilisation de galopin pour un truand… trop drôle à notre époque). Il faut dire que dans les années 70, les livres pour la jeunesse étaient très contrôlés.
Gaucho Moralès rentre à Sacramento pour revoir sa famille mais se trouve confronté à la mafia. le commando Caïman va devoir abréger ses vacances pour mettre de l'ordre dans la ville. Pas de temps morts pour Bruno Brazil et ses amis dans cet album enlevé.
On quitte l'espionnage de haute volée pour la banditisme du quotidien.
L'histoire se passe en grande partie sans les membres du commando caïman qui ne retrouve Gaucho que sur la fin.
Cette dernière est trop rapide et bâclée.
Mais la suite semble prometteuse.
Un ton au dessous des tomes précédents tout de même.
6/10.