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Entre aventure et imaginaire, Milo Manara s'éclate sur les péripéties de ce fameux Guiseppe. Et si le trait de Manara est toujours aussi propre, défini et sexy, le scénario part, lui ,dans tout les sens, un peu comme le cerveau et la conscience qui prend des portes ouvertes au moment venu et quand il est attiré par celle-ci. Si le T1 à T5 (T1 à T2 dans l'ancienne édition chez Casterman) s'avère être des tomes imaginatif et avec d'excellent passage malgré le flou "artistique" et les coupures fréquentes en plein milieu de l'aventure, je peux moins dire du bien des T6 à T8 (T3 à T4 dans l'ancienne édition chez Casterman) qui se perdent complétement dans leur propos malgré un dessin toujours très plaisant, mais un humour moins subtil et marquant. Un Giuseppe qui ressemble étrangement à son dessinateur, une sorte de portrait psychique de l'artiste. je reste partagé sur l'ensemble de l’œuvre tellement la série est une représentation d'un genre à elle seule. Le T3 (ancienne édition Casterman) reste le plus complexe et difficile à lire. En 2004 est sortie "L'Odyssée de Giuseppe Bergman" (nommé T9 dans la nouvelle édition), et il reste une très agréable surprise qui relève en bien le niveau général de la série.
Entre aventure et imaginaire, Milo Manara s'éclate sur les péripéties de ce fameux Guiseppe. Et si le trait de Manara est toujours aussi propre, défini et sexy, le scénario part, lui ,dans tout les sens, un peu comme le cerveau et la conscience qui prend des portes ouvertes au moment venu et quand il est attiré par celle-ci. Si le T1 à T5 (T1 à T2 dans l'ancienne édition chez Casterman) s'avère être des tomes imaginatif et avec d'excellent passage malgré le flou "artistique" et les coupures fréquentes en plein milieu de l'aventure, je peux moins dire du bien des T6 à T8 (T3 à T4 dans l'ancienne édition chez Casterman) qui se perdent complétement dans leur propos malgré un dessin toujours très plaisant, mais un humour moins subtil et marquant. Un Giuseppe qui ressemble étrangement à son dessinateur, une sorte de portrait psychique de l'artiste. je reste partagé sur l'ensemble de l’œuvre tellement la série est une représentation d'un genre à elle seule. Le T3 (ancienne édition Casterman) reste le plus complexe et difficile à lire. En 2004 est sortie "L'Odyssée de Giuseppe Bergman" (nommé T9 dans la nouvelle édition), et il reste une très agréable surprise qui relève en bien le niveau général de la série.