Lucky Luke (Les aventures de)
4. Lucky Luke contre Pinkerton
Une BD de
Pennac, Daniel
et
Achdé
chez Lucky Comics
- 2010
Pennac, Daniel
(Scénario)
Benacquista, Tonino
(Scénario)
Achdé
(Dessin)
Ducasse, Anne-Marie
(Couleurs)
10/2010 (15 octobre 2010) 44 pages 9782884712576 Format normal 115925
Rentré d'une mission secrète au Mexique, Lucky Luke découvre qu'un nouveau héros a conquis l'Ouest. Allan Pinkerton, adepte de méthodes d'investigation révolutionnaires et de la tolérance zéro, veut pousser le justicier solitaire vers la retraite afin de gagner les faveurs du président Lincoln.Daniel Pennac et Tonino Benacquista signent à quatre mains un Lucky Luke exceptionnel sur lequel souffle l'esprit du grand Goscinny, un western subtil pour petits et grands, merveilleusement mis en scène par Achdé.
C’était une bonne idée de consacrer un album de Lucky Luke à Pinkerton, un Pinkerton qui ringardiserait Lucky Luke en le reléguant au rang de has been. Malheureusement malgré ce point de départ intéressant, l’histoire cale vite et les gags et le comique de situation n’e sont pas au rendez-vous. Je suis bien déçu par cet album, moi qui attendait beaucoup des scénaristes, excellents quand il s’agit d’écrire des romans.
Heureusement que les dessins sont vraiment excellents et nous immergent avec bonheur dans l'univers de Lucky Luke , par contre que dire de ce scénario pour bobos conspirationnistes qui voient des Big Brother partout.
Pitié , laissez nous réver encore un peu , en lisant une BD de Lucky Luke par exemple....
Peut-être le meilleur de la série post Morris.
le mélange Pinkerton - Dalton - Luke fonctionne bien.
Un album qui devrait bien veillir.
Un album bien décevant. Le personnage de Pinkerton est désagréable et le scénario est construit sur la forme de petite scènes qui s'enchaînent les unes à la suite des autres sans vraiment de lien. Les gags sont faibles et le dessin est moyen qui plus est.
Malgré le trait toujours aussi précis de Achdé, très Morris-like, le scénario pêche une nouvelle fois. Tout va trop vite, les gags sont trop légers (même ceux de Gerra étaient plus réussis), ça sent trop le déjà vu. Bref, un tome qui n'est guère passionnant.