Orbital
4. Ravages
Une BD de
Sylvain Runberg
et
Serge Pellé
chez Dupuis
- 2010
Runberg, Sylvain
(Scénario)
Pellé, Serge
(Dessin)
Pellé, Serge
(Couleurs)
Glogowski, Philippe
(Lettrage)
10/2010 (24 septembre 2010) 54 pages 9782800147116 Grand format 114864
Orbital, la porte des mondes. La station "Orbital" est une gigantesque porte Crop, capable de transporter aux quatre coins de l'univers les agents de l'ODI qui tentent de préserver la paix intermondiale...
Dans la lignée du tome 3 , on est tenu en haleine et les dessins restent au même niveau avec une fin qui nous maintient en alerte , plus on avance plus toit s’améliore : dessin , psychologie des héros , histoire , on attend la suite avec impatience
Toujours autant de virtuosité dans ce cycle 2.
L'inventivité des lieux, décors, races est toujours aussi présente. Tout a son identité propre et distincte, le tout s'imbriquant dans un univers magiquement orchestré.
Le scénario de ce cycle 2 est haletant, plein de suspens sans jamais se perdre, l'action est toujours aussi dynamique, surtout s'agissant de Mézoké.
L'histoire se mêle habilement aux conséquences de la mission 1 et promet un retentissement dans la mission 3, tout en restant autonome. (bien sûr il est recommandé de lire la série dans l'ordre).
Sylvain Runberg arrive parfaitement a tenir son univers.
Et cela doit être une immense fierté pour lui de le voir dessiner par Serge Pellé.
Un indispensable de la SF
Suite et fin de ce deuxième dyptique et quelle fin !!!
L'histoire se poursuit là où on l'a laissé dans le précédent tome, les pêcheurs locaux croyant que les Rapakhuns ont tué 4 des leurs, font monter la pression et déclenchent des émeutes qui ne sont pas pour plaire à l'ODI et Caleb qui tient mordicus à ce qu'ait lieu la cérémonie, quitte à en subir les conséquences... Sans se douter de la menace invisible mais réelle qui menace toute la population.
Il n'y a pas à dire, Runberg maîtrise son histoire et Pellé lui donne une vie et un souffle nouveau à chaque fois.
Une série INDISPENSABLE à n'en point douter :D
On ne peut qu'adorer l'univers de cette BD.
Le scénario repousse les limites de l'imagination et nous fait découvrir sans cesse de nouvelles espèces extra-terrestres.
La psychologie de nos héros s'épaissit de tomes en tomes.
L'action est omniprésente et l'ensemble se lit comme un film d'aventure mais c'est plus que cela.
du grand.
9/10.
Ravages approfondit l'intrigue et la divergence de caractère entre le duo de héros. L'extrémisme de Caleb confine à l'entêtement et à l'aveuglement. Les mises en garde de Mézoké ne sont pas prises en compte, les préjugés reprennent le dessus, la mission tourne au fiasco et Caleb en paiera le prix fort. Ce quatrième album met en valeur Nina,la pilote stellaire, et Angus, le névronome.
Un quatrième album réussi qui fait progresser cette superbe série de SF.
L'identité graphique est toujours présente avec dessins et couleurs constants.
La série gagne en intensité avec une menace invisible et bien réelle. La diplomatie laisse place à l'action. Différentes pistes se résolvent, alors que d'autres questions émergent.
Ce tome conclut le deuxième diptyque avec brio et sur un beau cliffhanger.
Cette critique porte sur les tomes 3 et 4.
Grâce à ce deuxième diptyque, cette magnifique série de SF prend beaucoup plus d’épaisseur et s’annonce comme une grande série de BD.
Pour le dessin, Pelléest toujours bien aux commandes. Je reprends ici les éléments de ma critique précédente. Le dessin est vraiment très intéressant. La technique employée, l’ambiance froide des couleurs, certains aspects de l’allure des personnages font fortement penser au dessin et à l’univers de Bilal. Mais c’est vraiment pour le meilleur. J’adore la manière dont sont dessinés les personnages, ainsi que l’ambiance rendue. Il y a une bonne mise en scène, et les décors sont très bons.
Le scénario est toujours aussi bon, solide et cohérent. La trame de l’histoire prend encore plus d’ampleur dans la mesure où la psychologie des personnages commence à être approfondie de manière très intéressante ; autant le premier diptyque ne s’attachait pas forcément aux personnages, autant celui-ci commence à plus sérieusement m’intéresser. Il y a toujours beaucoup de rythme. L’ensemble me semble beaucoup plus harmonieux que le premier diptyque. Les bases de l’histoire à long terme sont fermement ancrées dans ces premiers albums, on sent qu’il y a encore un gros potentiel, tant au niveau de l’intrigue que de la psychologie des personnages, et ceci pour au moins 3 diptyques supplémentaires.
Les deux héros participent à l’organisation d’une rencontre au sommet entre les gouvernants humains et sandjars. Hors il se trouve que des nomades extra terrestres ont fait étape sur Terre au même moment (au même endroit), et qu’une suite d’événements étranges se produit autour des mangroves et du quartier des pêcheurs.
Je recommande plus jamais cette magnifique série, qui parvient à exister brillamment et à se démarquer du lot. Vite la Suite !
Encore un excellent diptyque formé par les tomes 3 et 4...
Un très bon scénario et des dessins soignés.
Exaltant, on ne s'ennuie pas un instant et ce space opéra est en passe de devenir une série culte...
Je regrette juste le manque de complicité entre les 2 héros...Plus tard peut-être?
8/10
Un bon quatrième tome d'une très bonne série de SF.
Le scénario est enlevé et plein de surprises surtout le final. On regrette que par moment le duo des agents intergalactiques soit si peu complémentaires. Peut-être pourrait-on plus insister sur la description des diverses civilisations.
Les dessins sont excellents, un constante dans toute cette série.
A suivre
7/10.
Toujours fan des dessins de Pellé et reconnaissant le talent de conteur de Runberg, je commence malgré tout à me lasser des aventures de Caleb et Mézoké, car n'étant pas amateur de science-fiction, je n'arrive pas à m'identifier à leurs personnages qui malgré leurs failles n'ont plus le côté attachant de débutants maladroits qu'ils avaient à leur début.
Une solide histoire, des dessins top, mais un univers qui ne m'attire pas et que je vais donc laisser aux amateurs qui eux ne seront pas déçus.
C'est du grand, c'est du lourd.
Le scénario d'abord:
Compliqué, mais pas trop ce quatrième album clos le diptyque, et de quelle manière !
Beaucoup de suspens et d'action, des effets spéciaux, des extra terrestres ...
Bref de la bonne SF, saga qui va séduire les fans de valérian, sillage, l'incal, ....
Le dessin ensuite:
Le tome est était bien, mais, là, c'est de mieux en mieux...
Les influences de cromwell et de bilal se sentent, mais la personnalité se Serge Pellé est là, les personnages sont travaillés, nouveaux, les ambiances sont très réussis.
La dynamique est bluffante.
La cerise sur le gâteau: La couleur ...
Monstrueux, a l'époque du tout photoshop, ca arrache les yeux, magnifique ....
Tout à l'acrylique ...
A avoir absolument.
La deuxième mission s'achève dramatiquement pour Caleb et Mezoké. Si cet épisode garde un style narratif alerte et laisse une large part à l'action, les auteurs n'en sacrifient pas pour autant les personnages et leur environnement. Les planches sont toujours aussi réussies et l'on y retrouve encore un peu de BILAL, sans la dimension politique, dans l'ambiance des matchs. Un bémol cependant concernant le scénario qui conclut un peu trop précipitamment, contraintes financière oblige. De ce fait nous percevons moins bien la menace que représente l'intrus. Un développement de quelques pages supplémentaires aurait donné une dimension supérieure au récit et rendu la chute encore plus captivante. Malgré cette restriction, ORBITAL reste une de mes séries de SF préférée.
En marge des cérémonies de réconciliation entre sandjarrs et humains, Nina, Caleb et Mézoké se trouvent confronter à un danger que personne ne pensait avoir à combattre...
Avec ce 4ème album, Orbital s’inscrit comme une future référence en matière de BD de science-fiction et ceci ne doit rien au hasard.
En effet, Serge Pellé a su créer un univers graphique particulier et unique qui associe créativité onirique, rigueur architecturale et réalisme : ainsi Caleb et Mésoké évoluent dans un futur des plus crédibles. Parallèlement, Sylvain Runberg développe des scénarii complexes, tout en nuances, et n’hésite pas à exposer ses héros au-delà de ce qu’il est coutume de voir.
Au final une série qui se démarque tant par sa qualité que par son originalité et ce pour notre plus grand plaisir.