Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Les cookies sur Bedetheque.com :
Nous respectons votre vie privée, et n'utilisons que des cookies internes indispensables au fonctionnement du site.
En savoir plus Fermer
Avant toute chose, je tiens à parler du dessin de G. Le Coz dans cet album.
En général lorsqu'on connaît les œuvres d'un dessinateur BD, on est habitué à son style et on peut repérer assez facilement sa "patte" et ainsi reconnaître ses illustrations.
Pour la première fois, si je n'avais pas su que c'était Gilles qui avait illustré "Nous irons tous au bois", je ne suis pas du tout sûr que j'aurais reconnu sa griffe...
Ayant découvert (et beaucoup aimé) G. Le Coz avec "Mourir nuit gravement à la santé", je n'ai à quelques expressions de visages près, jamais pu faire le lien graphique entre ses deux œuvres...
Vous me direz, "Mourir..." étant des dessins plus "squelettiques" que "Nous irons tous...", cela n'aide pas ! Ce n'est pas faux ! Mais cela va au delà de ça.
Dans "Nous irons tous au bois", G. Le Coz manie de façon impressionnante le N&B qui s'associe parfaitement avec le scénario concocté par le duo A. Austini & A. Sentenac. Est ce que ce sont ses talents en calligraphie qui lui permettent d’être aussi varié dans ses traits ? En tout cas, c'est graphiquement, un bel album qui nous aide un peu + à s’imprégner de cette histoire bien sombre...
Car ce trio d'auteurs ne laisse aucune chance à leurs personnages... Quelqu’ils soient....
Il m'a fallu quelques pages avant de faire les liens entre les différents protagonistes et afin de comprendre où les auteurs voulaient nous emmener. Une fois le train pris, j'ai vraiment beaucoup aimé cette façon de dépeindre la réalité d'une certaine classe sociale....
Dans ce contexte très noir, où chacun doit vivre avec ses propres démons, angoisses, se ressent malgré tout une espèce d'humanité : par cet oiseau, par cette femme dans son camion, par ce flic et son dévouement, par cet homme qui ne veut que justice et son compère qui l'accompagne dans cette voie sans issue...
Même si aucun espoir n'est ressenti pour ces personnages, on aimerait malgré tout qu'ils soient en paix, tant la vie ne les a pas épargnés.
C'est une histoire touchante où la colorisation n'aurait pas eu sa place. C'est un vrai polar qui tient en haleine jusqu'à la fin.
Avec cet excellent thriller servi par un beau graphisme il faut être attentif à la moindre case, à la moindre expression des personnages, fouiller les décors pour se rendre compte de la qualité et de la force du récit. Je regrette juste que l’histoire s’achève au bout de 72 planches, cela aurait surement mérité une histoire sur une plus grande longueur. Mais beaucoup de plaisir à la lecture.
Avant toute chose, je tiens à parler du dessin de G. Le Coz dans cet album.
En général lorsqu'on connaît les œuvres d'un dessinateur BD, on est habitué à son style et on peut repérer assez facilement sa "patte" et ainsi reconnaître ses illustrations.
Pour la première fois, si je n'avais pas su que c'était Gilles qui avait illustré "Nous irons tous au bois", je ne suis pas du tout sûr que j'aurais reconnu sa griffe...
Ayant découvert (et beaucoup aimé) G. Le Coz avec "Mourir nuit gravement à la santé", je n'ai à quelques expressions de visages près, jamais pu faire le lien graphique entre ses deux œuvres...
Vous me direz, "Mourir..." étant des dessins plus "squelettiques" que "Nous irons tous...", cela n'aide pas ! Ce n'est pas faux ! Mais cela va au delà de ça.
Dans "Nous irons tous au bois", G. Le Coz manie de façon impressionnante le N&B qui s'associe parfaitement avec le scénario concocté par le duo A. Austini & A. Sentenac. Est ce que ce sont ses talents en calligraphie qui lui permettent d’être aussi varié dans ses traits ? En tout cas, c'est graphiquement, un bel album qui nous aide un peu + à s’imprégner de cette histoire bien sombre...
Car ce trio d'auteurs ne laisse aucune chance à leurs personnages... Quelqu’ils soient....
Il m'a fallu quelques pages avant de faire les liens entre les différents protagonistes et afin de comprendre où les auteurs voulaient nous emmener. Une fois le train pris, j'ai vraiment beaucoup aimé cette façon de dépeindre la réalité d'une certaine classe sociale....
Dans ce contexte très noir, où chacun doit vivre avec ses propres démons, angoisses, se ressent malgré tout une espèce d'humanité : par cet oiseau, par cette femme dans son camion, par ce flic et son dévouement, par cet homme qui ne veut que justice et son compère qui l'accompagne dans cette voie sans issue...
Même si aucun espoir n'est ressenti pour ces personnages, on aimerait malgré tout qu'ils soient en paix, tant la vie ne les a pas épargnés.
C'est une histoire touchante où la colorisation n'aurait pas eu sa place. C'est un vrai polar qui tient en haleine jusqu'à la fin.
Merci aux auteurs !
Avec cet excellent thriller servi par un beau graphisme il faut être attentif à la moindre case, à la moindre expression des personnages, fouiller les décors pour se rendre compte de la qualité et de la force du récit. Je regrette juste que l’histoire s’achève au bout de 72 planches, cela aurait surement mérité une histoire sur une plus grande longueur. Mais beaucoup de plaisir à la lecture.
Excellent polar dessiné par Gilles Le Coz, qui chez Sandawe nous propose 'Yoyo post-mortem' vol.2.
Humour noir et bon jeux de mots au menu
Un polar vraiment atypique sans fioriture et sans concession. Un bijou pur noir servi dans un écrin de superbes planches !